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TITRE:

SWIM IN STYX (LE 8 OCTOBRE 2008)


TYPE:
INTERVIEWS
GENRE:

HEAVY METAL



Ping Ping a rencontré Cyril, le guitariste de Swim In Styx responsable de la bombe surprise meshuggesque de 2008 ! Une interview brûlante contrairement à ce que pourrait laisser entendre le titre de l'opus...
STRUCK - 12.11.2008 -
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Salut c’est Ping Ping, l’interviewer star de Music Waves ; vous me remettez ?
La photo me dit quelque-chose

Pouvez-vous présenter vous et votre groupe ?
Swiminstyx donc, composé de Renaud au chant, Krys à la basse, Tof a la batterie et moi-même, Cyril aux guitares et programations et aux interviews.
Je vais pas faire la bio détaillée mais en gros, on vient tous de Bordeaux et alentours, on joue ensemble depuis 2002.

Pourquoi ce nom de Swim In Styx ? A-t-il une signification particulière ?
Au départ, non car il a été trouvé par mon frère, il y a fort longtemps.
Ça sonnait et on avait besoin d’un nom de groupe. A l’époque, on avait 18 ans, on débutait, on ne faisait pas du tout ce genre de musique mais peu importe, on ne voulait pas un truc qui finisse en A genre Metallica, Sepultura, blablabla
Maintenant, qu’on a un peu plus de vocabulaire et de culture, on peut arriver à dire des trucs du genre, oui le Styx rendait quiconque se trempait dedans, invincible, ce qui par un effort métaphorique peut etre transposé à notre groupe qui traverse les années et les galères mais qui depuis qu’il s’est immergé dans le metal ne craint plus personne !
Bref, des conneries quoi. Swiminstyx, ça veut rien dire, ça remonte à très loin. On l’a gardé comme un vieux slip dans lequel on se sent bien.

Comment définiriez-vous votre musique ? Et à qui s’adresse-t-elle ?
C’est du metal, tout simplement. Il y a tellement de genres musicaux maintenant. Si on rentre dans les détails, il faudrait trouver une appellation pour chaque groupe.
Bien sur, il y a des particularités propres à ce que l’on fait. On essaye d’incorporer dans nos morceaux une certaine ambiance. On joue sur le coté répétitif voire hypnotisant des riffs et des structures.

[IMG]http://www.musicwaves.fr/pics/upload/articles/extras/SIS01.jpg[/IMG]

Pouvez-vous nous raconter la rencontre qui a débouché sur ce petit bijou de thrash / death technique « Zero Kelvin » ?
Il n’y a pas vraiment de rencontre « choc » qui nous a fait aboutir à cet album. C’est juste le fruit de pas mal de temps passé à composer, enfermés dans notre local. On a pris le temps, même lors de l’enregistrement, de chercher des sonorités pour réellement créer les ambiances que l’on avait dans la tête.

« Zero Kelvin » justement : pouvez-vous nous en parler un peu plus en détail ? La signification du titre, le sujet traité, l’écriture, l’enregistrement… ?
Le titre découle directement de l’ambiance dont je parle plus haut, une ambiance froide, évoquant une certaine immensité, c’est un peu comme l’espace finalement. « Zero Kelvin » est l’autre nom donné au zéro absolu, soit -273°c, température théorique à laquelle toute molécule ou particule se trouve figée y compris la lumière !
Ce qui nous plaisait également dans ce concept, c’est le fait que cette température est simplement théorique, impossible a reproduire humainement, à l’instar d’un idéal que l’on chercherait à atteindre sans jamais pouvoir y arriver, simplement s’en approcher…

Quelle est la signification des titres et en particulier celle de « 565 f.a. » ou « nwte » ?
« 565 fa » signifie « 565 First Avenue », l’adresse de Ted Bundy, le serial killer américain. C’est un texte écrit par Tof , le batteur. On y parle de ce qui peut se passer dans la tête d’un type comme lui lorsqu’il passe à l’acte. On essaye ainsi de mettre en évidence certains aspects de la personnalité humaine, même les plus sombres ou inavouables.

« NWTE » signifie « No Way To Escape ». C’est un morceau qui figurait sur notre première démo. Il a été remanié mais il collait déjà au concept de cet album. C’est une sorte d’introspection, comme beaucoup de nos textes. On y parle du sentiment d’impuissance que l’on peut éprouver face à la difficulté de vivre en harmonie avec soi-même, les autres, une société écrasante avec des codes et des lois sociales qui tendent toujours un peu plus à restreindre les libertés et le libre arbitre…

Dans cet album, pourquoi avoir mis la partie 2 de « Embryonic » au début, et la 1ère partie en plage 6 ?
« Embryonic » est en fait un seul et même texte, trop long pour n’en faire qu’un morceau. Nous l’avons donc coupé en deux, privilégiant l’enchaînement « musical » des morceaux entre eux, plutôt que la continuité du texte. Mais cela n’a pas une grande incidence au niveau de la compréhension puisque ces textes faisant référence encore une fois à des impressions de vie, le désordre est acceptable. Un peu comme lorsque l’esprit humain va de pensée en pensée. Il n’y a pas forcément de suite logique.

Un détail appréciable dans « Zero Kelvin » est cette sorte de boucle bouclée lorsque le dernier titre « Anguish » débute avec l’intro de « Embryonic part 2 » : pourquoi cet effet de style ?
C’est une sorte de gimmick qui marquait l’ouverture de l’album ainsi que sa fermeture, tout l’album étant comme un livre ou un recueil de pensés. Cela pouvait s’apparenter au geste que l’on fait en ouvrant un livre puis en le refermant à la fin.

La faiblesse, ou la force, de votre style musical est qu’aucun titre ne ressort vraiment du lot tant ils sont similaires : comment l’expliquez-vous ? En êtes-vous conscients ? Comptez-vous y remédier à l’avenir en faisant des titres très différents les uns des autres ou au contraire accentuer cette atmosphère générale chaotique répétitive ?
L’idée était d’avoir une continuité de style tout au long de l’album. Nous le concevions comme un bloc assez uniforme et compact. On a donc choisi une certaine homogénéité pour accentuer encore l’effet de malaise comme les pensées qui tournent en rond dans nos esprits…
Nous aurions pu aussi ne faire qu’un seul morceau de la durée de l’album, on nous aurait certainement dit que Meshuggah entre autres l’a déjà fait, mais voilà, on a fait plusieurs morceaux. Certains trouveront qu’ils sont tous pareils, certains saisiront les nuances et peut-être adhèreront au concept…
Nous avons composé cet album de façon hyper consciente. Cela nous a pris beaucoup de temps. Tout y est soigneusement réfléchi. Il fallait que cette musique sorte de nous telle que nous l’imaginions à ce moment.
Tout est toujours perfectible et nous pourrions encore être en train de changer quelque chose aujourd’hui, mais il y a un moment où il faut arrêter de se poser des questions. Il faut sortir le son, même avec les maladresses éventuelles.
A l’avenir, nous continuerons de créer en fonction de ce qu’on a dans le bide uniquement. Nous avons déjà une idée de l’orientation du prochain album mais qui sait, la musique est intimement liée au ressenti, aux impressions donc cela peut aboutir à quelque chose d’inattendu. C’est trop tôt pour dire qu’il sera de telle ou telle façon. Ca sera du metal et nous y incorporeront toujours des ambiances, peut-être plus de mélodies…

Quelles sont vos influences ? Qui vous a donné envie de faire cette musique ?
Nos influences sont très variées, bien sur, nous avons écouté beaucoup de metal, Pantera, Slipknot, Machine Head, Meshuggah, Mnemic etc... Cela nous a fatalement influencé, mais nous écoutons beaucoup d’autres choses aux antipodes du metal dans lesquelles nous trouvons une influence peut-être moins consciente ou en tout cas moins flagrante.
Je pourrais citer des groupes comme Depeche Mode, Radiohead, Ratatat, Royksopp, ou encore Sigur Ros, Massive Attack, etc…

L’une des particularités de la musique de Swim in Styx est le parallèle avec Meshuggah : comment vivez-vous cette comparaison ?
On ne peut pas le nier : Meshuggah, c’est notre bible. On a pas de souci avec ça. On assume pleinement la comparaison. On en est flattés, même si l’on sait qu’ils sont vraiment très loin devant nous. Ce sont des précurseurs, ils ont emmenés le métal dans une autre dimension, c’est indéniable.
Pourtant, si notre musique en emprunte les codes, nous nous sommes appliqué à créer une atmosphère autre, par petites touches. Des choses qui peuvent paraître infimes mais qui font une réelle différence pour nous. Des structures, des samples, des patterns rythmiques n’obéissant pas à la même logique que Meshug.
OUI, ce qu’on joue est influencé par Meshug. Encore une fois, il y a ceux qui s’arrêteront à cette conclusion au bout d’une écoute, et il y à ceux qui essaieront de creuser un peu, qui entendront les subtilités, et qui rentreront dans notre univers.
C’est notre premier album, le prochain sera certainement aussi impliqué mais plus « personnel »

[IMG]http://www.musicwaves.fr/pics/upload/articles/extras/SIS02.jpg[/IMG]


Il est un peu tôt, mais au regard des retours, comptez-vous faire évoluer votre musique afin qu’elle soit cataloguée « clone de Meshuggah » : un chant moins thash, plus death avec des éléments clairs comme le font des groupes comme Hacride, Textures… ?
Ce que l’on peut dire, c’est qu’il est sûr qu’on ne fera pas « Zero Kelvin 2 ». Le prochain sera forcément différent. Les gens changent, nous parlons souvent entre nous de nos « orientations musicales » qui évoluent sans cesse.
Effectivement, on a déjà quelques pistes, des idées de compos qui pour le moment confirment le fait qu’on recherche des morceaux plus courts plus « in your face », en insistant sur les ambiances. Le coté harmonique reste a être exploré plus à fond.

Pour pouvoir faire une telle musique, des qualités de musiciens émérites sont nécessaires : pouvez-vous nous donner vos « formations » respectives ?
Je suis le seul a avoir suivi une formation au MAI de Nancy. Les autres membres sont tous des autodidactes acharnés de boulot !!!

Quelle est la place de l’artwork dans la musique de Swim In Styx ? Justement ne vous donnez-vous pas le bâton pour vous faire battre avec une pochette aux relents très « Nothing » ?
Pour le coup, là je vois pas. Mis à part le coté minimaliste qui nous tenait à cœur de par ce qu’il évoque de pur et puissant, c’est une pochette aux relents métal, sombre et froid.
« Nothing » est assez flashy, dans des tons chauds. Pour la version que j’ai, on y voit clairement un visage…
Que je sache, Meshuggah n’a pas déposé de brevet pour le concept des pochettes de groupes de métal. Que dire des pochettes de groupes de death ? Ils obéissent tous à une certaine esthétique commune : des typos déchirées gothico-illisible, des pentacles , des démons, etc… Bref, personne n’en fait tout un plat.

Etes-vous inspirés par la science-fiction, notamment comme on peut l’imaginer au regard de l’artwork et des titres ? En gros, la trilogie Matrix a-t-elle été source d’inspiration comme on peut le voir sur l’artwork du Cd et si oui, a-t-elle été juste une inspiration visuelle ou aussi musicale ?
Pour ce qui est de l’inspiration visuelle, en l’occurrence, l’artwork, nous nous sommes beaucoup plus inspirés d’« Aliens » que de « Nothing » de Meshuggah…
Quant aux textes, c’est vrai que le concept de Matrix est énorme. Il a notamment inspiré «Embryonic » : la réalité est-elle celle que l’on croit ? Les rêves sont parfois si réels et plus agréables que la réalité ! Ca pose directement des questions métaphysiques. C’est ce côté la de la SF qu’on aime exploiter, plutôt que le néo-cyber-curé en soutane de cuir et shoes de goth qui latte la gueule du smith. Je suis pour ma part un inconditionnel de « Dune » de Franck Herbert.

Vous êtes signé sur Brennus : pourquoi ? N’est-ce pas bizarre au regard des artistes signés par ce label plutôt AOR ?
Nous sommes en fait chez Symbol, qui est effectivement dépendant de Brennus, mais c’est une branche plus orientée métal « open minded ». Nous avons démarché, le courant est passé, voilà, ça s’est fait sans prise de tête.

Vous êtes issus de la scène bordelaise : n’est-ce pas trop dur de percer en venant de cette région, surtout quand on fait ce type de musique ?
Si, c’est l’enfer ! Il n’y a pas d’endroits pour jouer, et le public pas du tout métal, ne se déplace que très peu. C’est bizarre, il y a toujours eu des groupes de métal qui déchirent a Bordeaux. Nos potes de Warattah ou Sunken pour ne citer qu’eux, se sont bien bougés pour faire des trucs, mais ça reste super chaud de faire sortir de chez lui un bordelais ! Dès lors, il faut arriver à se déplacer, mais tout cela à un coût, rarement amorti par un cachet. On y va quasiment toujours de notre poche, donc chaud !

A ce titre, quel est votre avis sur l’association Klonosphère dont sont issus des groupes du centre comme Hacride, Klone, GTI, Anthurus…. ?
Se constituer une sorte de crew est certainement quelque chose de très positif, mais nous ne nous sommes pas du tout occupés de ça par manque de temps. On ne peut malheureusement pas consacrer autant de temps et d’argent d’énergie à promouvoir notre groupe comme on le souhaiterait…

Avez-vous eu des contacts avec Guillaume de Klonosphère justement ?
Non, mais pas par choix !!!

A propos de Klonosphère, quel est ton avis sur la nouvelle scène métal française qui compte un nouveau membre en votre personne ?
Je trouve que beaucoup de groupes français ont un niveau excellent et méritent bien plus que ce qu’ils ont aujourd’hui. Tu me parles d’Hacride, ce sont des tueurs ces mecs ! Je pourrais aussi te citer Ananta ou End… Je trouve que le niveau a considérablement augmenté et je ne peux pas m’empêcher de penser que c’est grâce à Meshuggah, entre autres, qui a influencé beaucoup de groupes de metal « new school ».

A ce titre, et au regard de votre « succès », trouvez-vous que la France mérite des groupes aussi bons (en gros vous vendez plus à l’étranger et à l’étranger vous auriez nettement plus de succès) ?
C’est clair qu’on est pas dans le bon pays pour le metal mais même de façon plus générale, c’est pas le bon pays pour la musique. Je ne sais pas si c’est une vision erronée ou juste, mais on a l’impression que tout le monde s’en fout d’écouter de la bonne zik -je te parle même pas du metal- de chercher du bon son. Pourtant, maintenant c’est facile avec les myspaces ! C’est à chaque fois un sujet qui nous ulcère. Il suffit de balancer un « Star’ac », un « Nouvelle Star » et un Taratata minable avec 3 bobos tendances qui font pouet pouet avec un élastique et une caisse en carton et les gens ont leur dose… pfffff !

Est-ce que ça explique pourquoi ne chantez-vous pas en français ?
On ne chante pas en français car selon notre goût, ça ne colle pas à l’esthétique du genre.

[IMG]http://www.musicwaves.fr/pics/upload/articles/extras/SIS03.jpg[/IMG]

Outre les retours dithyrambiques des chroniques, commencez-vous à avoir des retours de vente ? Si oui, sont-ils bon ?
Ils sont meilleurs à l’étranger qu’en France no comment.

A propos de chronique, que pensez-vous de celle de Noise dans Music Waves ?
Je ne l’ai pas en tête. On en a eu plusieurs, des bonnes des moins bonnes, normal quoi. Ça fait, ou pas, plaisir sur le moment mais on oublie vite !

Quel est l’avenir de Swim In Styx ? Promotion, tournée… Mais ensuite, à quelle évolution musicale vos fans sont en droit de s’attendre ? Comment arrivez-vous à concilier vos vies professionnelles ?
C’est toute la difficulté. Si nos métiers nous permettent de répéter régulièrement en semaine, il nous reste en revanche seulement les week-ends pour les concerts, donc ça limite évidemment le champ d’action, en plus des questions financières et familiales ou personnelles ! Mais nous en avons pris notre parti. Cela fait parti du jeu, nous ne vivons pas de notre musique, nous faisons tout à notre rythme, sans concessions musicales et, dans la mesure du possible, par rapport à nos vies respectives.

On voit sur le cd que vous remerciez General Store : hormis le fait qu’ils soient aussi de Bordeaux, il n’y a aucun point commun ?
Ce sont des potes avec qui on se marre bien

A propos de nouvelles technologies : que pensez-vous d’Internet ? Ses inconvénients (téléchargement illégal…) et ses avantages (promotion grâce à des sites comme Music Waves) ?
Nous pensons honnêtement que c’est un des rares moyens pour des groupes, et à plus forte raison pour ceux ne jouant pas un style de musique vendeur ou formaté, donc non diffusé, de se faire connaître. C’est un énorme média d’autopromotion, notamment les myspaces. Sans cela, jamais tu n’aurais entendu parler de nous et je n’aurais certainement pas entendu parler d’Hacride ou de Tesseract.
Le téléchargement illégal, je comprends l’argument très recevable du pillage, mais bon, pour le moment, il n’a pas mis Madonna au chômage et il n’a pas fait chuter les ventes de Swiminstyx au point de les faire passer de disque de platine à groupe local obligé de bosser à coté de la musique pour pouvoir bouffer et louer un camion de temps en temps pour aller jouer dans une salle des fêtes…

Question « Lost », votre avion se crashe sur une île déserte, mais le scénariste est sympa : il vous laisse 3 albums dans votre valise : lesquels ?
Disons, l’intégrale de Gabriel Fauré pour l’étude harmonique et la culture (ça fait con mais j’adore Fauré), « Chaosphère » de Meshuggah, pour rester en terrain connu et Rihana pour……….
Non de toute façon swiminstyx ne pars pas encore en tournée en avion !

Si vous deviez choisir un titre pour faire découvrir votre musique à un néophyte, vous choisiriez lequel et pourquoi ?
« Anguish » car il résume bien l’album. C’est une sorte de teaser à lui tout seul. On y trouve à peu près tout ce qu’on peut trouver dans l’album. En fait, pourquoi on s’est fait chier à faire un album, on aurait juste du faire « Anguish » finalement héhé.

Imagions que tu es vendeur : quel(s) argument(s) utiliserais-tu pour vendre « Zero Kelvin » ? Attention la force n’est pas permise ?
La force car les lois sont faites pour être contournées !

Que vouliez-vous faire quand vous étiez gamin ? Pilote de chasse, snowboarder, rockstar ? Êtes-vous fiers de ce que vous êtes devenus ?
Pffff… je sais pas ! C’te question !
- Oui sauf que j’ai le mal de l’air.
- Non peut mieux faire
- On est comme on est, on fait ce qu’on peut avec ce qu’on a…
Elle est chelou ta question !

Avant de finir, comment peut-on avoir pour manager un mec qui vénère Bon Jovi ?
Ah bon ? Ah merde alors ! Ça on savait pas ! En même temps, on a un batteur -avec son ancien groupe- qui a fait la première partie de Bon Jovi à Bercy!! Hahahaha
Putain il est fan de Bon Jovi, sérieux ? Ben je mets Non à la question d’avant alors.

Un dernier mot : que voudriez-vous dire aux lecteurs de Music Waves ?
Merci d’avoir lu cette interview. Ce n’était pas celle de Meshuggah, mais c’est pas grave, c’est la nôtre et c’est déjà pas mal ! Ecoutez de la bonne musique, soyez curieux et achetez l’album, ça nous fera plaisir et ça lutte contre le réchauffement de la terre puisque ça s’appelle « Zero Kelvin »… ouh là là, c’est très froid !
Merci.

Et de mon côté, j'adresse un grand merci à un certain Loloceltic pour avoir rendu possible cette rencontre.


Plus d'informations sur http://www.myspace.com/swiminstyx
 
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