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L'influence de Steven Wilson était palpable sur le précédent opus, là c'est clairement la tendance Porcupine Tree qui se dégage de "Out of Step", troisième album d'Esthesis.
On y ajoute un gros soupçon de post-rock pour les atmosphères planantes qui sont agrémentées de gros riffs de guitare ou de basse, des montées en puissance hypnotiques ('The Storm' ...') et vous obtenez 45 minutes de musique ciselée jusque dans les moindres détails, avec un professionnalisme dont beaucoup de groupes bien plus en vogue pourraient s'inspirer.
Album beaucoup moins immédiat que ses prédécesseurs, "Out of Step" nécessite quelques écoutes pour s'immerger dedans. Et comme l'exprime si bien Aurélien dans son interview, concentration de mise pour en explorer tous les détails !
Superbe réussite d'un groupe qui, lui aussi, mériterait une exposition bien plus importante que celle de notre tout petit milieu progressif.
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Take a Deep Breath, and relax.
Gazpacho est de retour avec un album plein de subtilités, de celles que l'on trouvait notamment sur "Night".
Entre dentelles mélodiques et chorus contenus, tout le savoir faire du groupe se retrouve dans ce nouvel album qu'il convient d'écouter au calme pour profiter une nouvelle fois du savoir-faire incomparable des norvégiens.
Une galette idéale pour les soirées d'hiver invitant à la mélancolie.
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90 minutes d'une variété de styles loin de se cantonner à l'electro comme ont pu l'être de précédentes productions de Lunatic Soul.
Mister Duda aborde de nombreux rivages, parfois proches de Riverside, mais aussi de Dead Can Dance ('Self in Distorted Glass'), avec une énergie tribale hypnotisante.
Immense réussite que ce nouvel album, incontestablement le meilleur jusqu'alors du projet Lunatic Soul qui offre une grande liberté d'expression au chanteur/bassiste de Riverside.
Hautement recommandé.
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One of this days...Ce titre a pour moi, près de 25 ans d'avance, une fulgurance incroyable de Momentary laps of reason. Quand cet album est sorti , j'ai eu comme un flash et ai de suite réécouté Meddle et cette ouverture, et, vraiment, c'est comme s'ils s'étaient acharné à produire une dynamique énorme avec des moyens qui n'existaient pas au travers de mélodies ravageuses. Ce titre fait l'entièreté de Meddle, c'est ce que me disent mes oreilles !
Puis, on revient dans le psychadélisme des débuts, où il y a du bon, très bon et médiocre.
Echoes est une synthèse de tout ça.
C'est tout de même toujours bon à écouter !
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Superbe chronique de Rhum1. Dès ‘Wraith’, Ihlo capte l’attention avec une intro presque cinématographique, où chaque note semble suspendue avant d’exploser dans une intensité maîtrisée. Ce qui séduit, c’est cette manière de toujours laisser une émotion filtrer dans chaque morceau à travers la précision : un accord qui s’attarde puis qui accélère, une montée qui se retient, une voix qui effleure plus qu’elle ne domine. ‘Cenotaph’ illustre parfaitement cette dualité, alternant tension et apaisement avec une fluidité remarquable. Les claviers, d’une belle richesse, enveloppent l’ensemble d’une dimension électronique fine et texturée, sans jamais trahir la sincérité du propos.
S’il s’inscrit dans la lignée de l’école TesseracT, Ihlo s’en démarque par une approche peut être plus moderne, plus atmosphérique en y apportant une sensibilité qui lui est propre. Là où ses aînés privilégient une tension plus brute, Ihlo fait le choix d’y apporter un tout autre relief, de la nuance et d’une émotion maîtrisée, donnant à “Legacy” une intensité singulière qui s’impose naturellement parmi les grandes réussites de l’année.
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Ce groupe, que j'écoute depuis le début ou presque, continue de m'étonner, dans le bon sens du terme. Quel album encore une fois ! Il sonne un peu comme un compilation de ce que ce groupe sait faire de mieux. De toute façon, même quand il s'essaient à l'électro ou à du Depeche Mode, ils sont bons, on ne peut pas lutter 😄
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