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FAÎTES DE LA MUSIQUE !


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DOSSIERS
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A l’occasion de cette journée bien particulière imaginée en 1976 par le musicien américain Joel Cohen, adaptée par Maurice Fleuret après les élections de 1981 et mise en place par Jack Lang, l’équipe de Progressive Waves a détaillé SON 21 Juin…
STRUCK - 26.06.2007 -
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Téméraires aux découvertes prog, pantouflards, sportifs, travailleurs, grognons voire même philosophes… : un riche panel d’émotions -recueilli par notre grand reporter Ping-Ping- qui permet d’en savoir un peu plus sur vos chroniqueurs adorés !


Torpedo : La fête de la musique fut très riche en émotions : j'ai regardé deux épisodes de « Prison Break » saison 2 et j'ai ralé après un crétin qui a passé son temps à klaxonner dans toute la ville.


Batric : Alors moi, cette année, c'était la première fois que le village dans lequel je viens de m'installer organisait une fête de la musique. Au programme de ma soirée :
- cors de chasse, mamies du coin qui reprenaient à leur sauce des tubes du moment pour faire jeunes, chorale des enfants de l'école primaire, groupe de qinqua qui jouaient leurs propres compos.
Un extrait des paroles de la chanson que j'ai préféré :
"Oh l'a buffé
Crois-tu qu'oh l'a buffé ?
Toutes les cornes
Des cocus s'sont envolées
Oh l'a buffé
Crois-tu qu'oh l'a buffé ?
J'ai r'trouvé mon gorêt
A l'aut' bout d'l'ile de Ré"

J'ai adoré ma soirée, perso…


Mistick : La Rochelle, vous connaissez ? Son ensoleillement, ses ports de plaisance, ses légendaires tours ouvrant sur l'océan, sa douce atmosphère.....
Le 21 juin, fête de la musique, les tours et les bateaux étaient bien à leur place, manquait juste le reste...Pour faire court, après 40 minutes de stress au volant passées à chercher LA place que tout le monde convoite et que personne n'aura, nous avons (ma compagne, un ami et moi même) fini par trouver notre bonheur loin du centre ville (ce qui a pour avantage de retrouver la voiture exempte de vomi et de papier toilette après la fête).

1er constat : la bière doit avoir bon goût cette année vu les kilos de viande saoule qui traînent déjà (20h30) sur les trottoirs et qui chahutent les passants...
2eme constat : Pour qu'il y ait un monde pareil dans les rues, c'est que TF1 a dû programmer une bouse, genre "concert de ceux qui ne marqueront jamais l'histoire de la musique" suivie d'un "vis ma vie de nudiste à limoges".
Concrètement, nous avons croisé une samba pleine de bonne humeur, un groupe de rock français original appuyé d'une violoniste et de bons textes (si, si, ça existe), un groupe de punk bien traditionnel (contrebasse, crête et têtes de mort sur fond noir), des gamines jouant de la flûte et de l'accordéon, des papis jouant de la sèche sur des textes d'il y à 50 ans, des groupes pop rock fans des Red Hot ou de Téléphone, et un remake des choristes façon 3ème âge.

Il y avait bien plus de groupes que ça, bien entendu, et sûrement des choses intéressantes, mais il se faisait déjà tard, les basses ostentatoires d'un show de techno agressaient nos oreilles, et on n'a plus 20 ans...alors nous sommes rentré siffler une bière dans la douceur reposante de notre logis.
En conclusion une soirée correcte, parfois amusante (le gars bourré qui danse tout seul devant les enceintes en insultant tout le monde, une vraie tradition !) et parfois gonflante (les bouchons, la foule). Reste l'éternel débat sur la valeur de la musique, l'intérêt porté aux groupes, le prétexte économique ..... Une chose est sûre, ça ne vaut pas un vrai concert ou un festival, mais si ça peut donner des envies de jouer à certains, alors pourquoi pas!


Peter Hackett : Après un week-end de fou avec des fous avec un concert annulé pour cause de pluie ou de beau temps, je suis parti deux jours à Marseille. De retour pour le jour de ladite fête, je n’ai pas eu l’envie ou le courage (voire les 2 ?) de sortir pour la teuf de la zicmu !!
Enchaînant le lendemain un aller-retour express au Pays Basque sur 2 jours ; je suis crevé d’avance !
En conclusion, je veux dormir !


Nuno777 : Pour moi comme pour d’autres, la fête de la musique représente beaucoup de choses vues et surtout entendues. Mais plus particulièrement en tant que modeste guitariste puisque c’est l’occasion de déballer le matos dans la rue sans ce faire prendre pour un fou. Le privilège de jouer sa musique devant du monde sans se soucier du reste est un sentiment assez grisant que cette manifestation permet.

Mais cette année pas de répèt’, pas de groupe au complet, pas la galère de trimballer les amplis et la batterie dans trois voitures et pas d’excitation au moment d’attaquer la première note.
Bref, il a fallu me résigner à aborder la fête de la musique d’une autre manière. Descendre dans la rue et déambuler de groupe en groupe ? Pas ce soir, non. Rester chez moi et écouter de la musique ; mais ce ne serait pas un jour particulier alors !

La fête de la musique est l’occasion d’écouter de la musique, certes, toute sorte de musique, tout style de son… je voulais que cette soirée soit l’expérience de cette multitude et variété mais d’une autre façon.
Il ne m’a pas fallu longtemps pour me prononcer au bénéfice du silence. Bel hommage à la musique que le silence. Cette quantité de non-son qui remplit chaque morceau de musique, quel que soit le style. Respiration rythmant l’écoute et la structurant. Un titre de musique se compose d’une intro, de couplets, de refrains, de ponts, d’instrumentaux, de chants, de solo et de beaucoup de silence. Alors je ne vais pas faire l’apologie du silence comme d’une revendication mais plutôt en faire l’expérience personnelle, allez découvrir ce silence protéiforme, qui peut mettre mal à l’aise, ce silence assourdissant de certaines situations… en bref le maximum d’expérience de silence possible.
Faire l’expérience du silence est chose peu aisée et que l’on ne maîtrise pas vraiment. On ne sait pas trop quoi chercher car finalement on ne le connaît que très peu. J’ai voulu m’enfermer dans mon appartement pour obtenir le silence mais habitant dans une région fortement urbanisée (les Hauts-de-Seine) ce silence n’a plus grand chose à voir avec l’insonorité, car un bruit sourd persiste toujours, fruit de l’activité humaine quasi-incessante et de la circulation.

J’ai donc dû m’exporter pour trouver un autre silence ailleurs, comme on change de rue pour aller écouter le groupe suivant. J’ai pris ma voiture direction l’extrême ouest des Yvelines à la porte de la Normandie, à moins d’une heure de chez moi.
Déjà dans ma voiture, je découvre un silence différent de mon appartement, mais toujours aussi impur. La nuit commençait à tomber franchement et j’arrivais quelque part dans cette campagne francilienne. Je coupais le moteur et instantanément un tout autre silence m’interpella, un silence que je n’avais pas entendu depuis des années, je crois. Je fus réellement surpris, et pendant quelques minutes déstabilisé, par ce silence, comme on peut l’être en présence d’une expérience musicale nouvelle. Je me délectais de ce moment comme d’un moment rare et qui ne se réitèrerait pas de sitôt.

Ce silence d’une grande qualité fut paradoxalement propice à une autre perturbation, inattendue et incontrôlable : la voix intérieure. Bizarrement, je recherchais un silence le plus absolu possible depuis des heures et maintenant que je pensais avoir trouvé une certaine quiétude, c’est ce foutu for intérieur qui se mit à se faire entendre. Et si, le silence n’était fait, en réalité, que pour nous permettre de nous connaître en profondeur, nous découvrir et réfléchir, dans notre plus intime solitude ? Donner la possibilité à cette voie intérieure, que l’on peut appeler la conscience, de nous interpeller ?

Finalement, je rentrais chez moi en ayant plus appris sur moi que sur la principale question de ma soirée, le silence. Arrivé dans mon appartement, le silence de toute à l’heure avait changé.

Il devait être près d’une heure du matin quand je décidais d’arrêter l’expérience, pour la reproduire peut être plus tard peut-être, et avant d’aller rejoindre le sommeil j’ai allumé ma télé en fumant ma dernière clope de la soirée. Quelle surprise de découvrir une jeune chanteuse et son groupe dans un mutisme absolu, invités pour clôturer une émission de débat en musique. En ce jour de la fête de la musique, ces jeunes artistes ont réussi à imposer le silence sur le plateau d’une émission en direct pendant plusieurs longues secondes, chronomètre à l’appui.
Leur démarche était sûrement différente de la mienne mais je n’étais peut être pas si seul ce soir à fêter la non-musique. »


Noise : Envoyé spécial de Progressive Waves au festival métal Graspop, il a été dispensé de fête de la musique !


TonyB : Pour ma part, j'ai fait comme les années précédentes : je suis resté chez moi !
Ca permet d'éviter la pluie, qui vient de manière récurrente doucher les ardeurs en ce premier jour d'été?
Ca permet d'éviter la foule et quelques sensations claustrophobes dans les rues très étroites de Poitiers ainsi que dans les éventuels lieux "protégés" (c'est-à-dire ceux où l'on n'entend qu'un seul groupe à la fois)?
Je trouve personnellement insupportable cette espèce de zapping musical : on navigue d'un groupe à l'autre, sans forcément prendre le temps d'écouter telle ou telle performance, et l'espace sonore est pollué par les sonos qui s'entremêlent, les gens qui parlent, les voitures qui passent. Bref, vraiment pas des bonnes conditions pour écouter de la zik.
Last but not least, la qualité musicale (ou plutôt le genre musical) des gens qui se produisent : hélas, dans l'air du temps, donc pas forcément en phase avec ce que j'apprécie.

Finalement, c'est coincé entre femme et enfants qui, alléchés par un passage de Yannick Noah en début de soirée sur France 2, se sont plantés devant la boite à image, que j'ai passé cette 26è fête de la musique.
Après notre super ex-tennisman et la désormais célèbre tortue, le programme de la chaîne publique s'est irrémédiablement dégradé, faisant la part "belle" aux performances soutenues par la radio sponsorisant l'événement.

Aussi, après un "formidable" medley de la troupe du Roi Soleil, je me suis résolu à jouer de la zapette pour voir si le son était plus beau sur le satellite. Dans l'ordre de zapping, voilà ce que cela donne :
- Canal Evénement : concert de la dernière tournée de Madonna. Pardon, concert n'est pas le terme approprié : il faut plutôt utiliser le mot spectacle, la performance musicale n'étant plus que secondaire, à se demander même si la madonne prend encore la peine de chanter. Spectaculaire, mais rapidement insupportable pour mes oreilles.
- RTL 9 : Spice World, le film du météorique girls band de la femme à Beckham. A retenu mon attention environ 30 secondes.
- TMC (je crois) : Grease ! Avec le svelte et virevoltant John Travolta, et la non moins célèbre Olivia Newton John, tous les deux rois du twist. Quelques refrains mémorables, mais tout cela a mal vieilli (25 ans déjà).
- Les chaînes dites musicales : passent de la "musique" toute l'année, donc pas de raison de changer de programme en ce 21 juin. Des clips (toujours les mêmes) et encore des clips. Seule exception, Trace TV, avec un concert, mais pas franchement dans mon style de musique.
- la chaîne Voyage, et enfin un truc original et intéressant : concert de Rachid Taha enregistré à Angoulème en 2006, et une performance fabuleuse. Suivi d'un documentaire sur le même bonhomme.

Voilà qui m'a réconcilié avec cette soirée, qui s'est terminée ensuite avec l'audition privée dans mon salon de trois monuments musicaux : Misplaced Childhood, A Trick of the Tail et Amarok.
Ma fête de la musique en live, ce sera dans une semaine, avec enfin un concert digne de ce nom à Poitiers : 2 groupes de progressif offerts gratuitement dans le cadre des "Terrasses de l'été", dont Taal, le King Crimson français. Vivement vendredi !


Joe Mezcal : Le 21 Juin, comme tous les autres jours, c'est la fête du mixage et du mastering chez moi...


Struck : Y’avait quoi ? Hein ? La fête de la musique ? Ah, je comprends mieux l’estrade posée pour l’occasion au plein milieu de la place principale de la ville !
Franchement, écouter les vindictes de jeunes des cités n’est pas ma tasse de thé et encore moins quand elle est suivie d’une troupe d’autres jeunes tapant comme des sourds sur des djembés!

Aller sur Paris se mêler à une foule compacte pas forcément amicale et donc réitérer ce que je fais pendant 2 heures quotidiennement dans les transports en commun : très peu pour moi !
Beaucoup de contraintes, pour malheureusement, trop peu de bonnes surprises dans la cacophonie parisienne…

En bon pantouflard que je suis, j’ai donc préféré me délecter des 2 derniers épisodes de la première saison de la sanguinolente série télévisée « Dexter »…
En ce qui me concerne et notamment grâce à Progressive Waves, la musique est fêtée 364 jours par an excepté donc le 21 Juin que je laisse volontiers aux autres !


Aladdin_Sane: : 21 juin ou pas : pour moi c’est soirée… DVD !


Rick : Un coup d'œil vite fait au programme de ces fêtes de la musique aura suffit à me décourager d'y aller. Du jazz, du rap, du r'n'b, des DJ’s à la pelle… et le prog' dans tout ça ?
Pour rester quand même dans l'ambiance, je me suis mis devant la TV quelques minutes pour avoir un aperçu des gros shows en France pour ce 21 juin. A l'affiche Vitaa sur TF1 ! Double peine ! Courageux mais pas téméraire, je sélectionne ipso facto des CD's et file avec le casque.
Rien à faire ; ces fêtes de la musique se passeront dans ma chambre. Et puis, c'est bien de ne pas bouger, ça me permettra de prendre un peu d'avance pour la chronique du dernier album de « Milk ».

De toute façon, c'est la fête de la musique toute l'année sur PW… Nous n'avons pas besoin d'excuse pour rendre hommage aux mélodies de par le monde.


Abaddon : J’étais sac au dos pour une randonnée… Ce soir-là pas de concert prévu dans les bivouacs !


El-Bia : 21 juin 2007, 21H. Le temps est plutôt en notre faveur à Lyon ! J'ai rendez-vous avec des potes en vue d'une petite sortie : Steven, guitariste de Catharsys, superbe groupe de métal symphonique français à voix féminine, ainsi que son batteur Rémy. C'est donc entouré de musiciens que je débute cette fête de la musique !

22H, nous arrivons à l'Hôtel de ville de Lyon, place des Terreaux. Les rues sont bondées de monde, et une ambiance festive se dégage de tous ces va-et-vient incessants. Sur la place, de tendres flûtes soutenues par un chant folklorique venu tout droit d'Asie nous attendent : c'est la fête qui commence ! Ou plutôt la fête qui a déjà commencé sans nous, mais bon… Là, nous retrouvons quelques autres amis afin de grossir les rangs et d'affronter les différentes curiosités que nous allons trouver.
Nous continuons notre escapade en direction de la place Bellecour (la plus grande place de Lyon) avec l'espoir de tomber sur des combos efficaces et talentueux, pouvant faire honneur à ce premier jour d'été. Arrivés à la croisée d'une rue, nous entendons rugir une guitare sur le légendaire « Paranoïd » de Black Sabbath : un petit groupe de reprise en perspective, de quoi nous occuper quelques minutes… Mais le temps est compté ! Nous devons continuer notre expédition !

C'est en farfouillant dans des ruelles que nous trouvons un amas de personnes attendant apparemment quelque chose. Des guitares ainsi qu'une batterie sont entreposées sur un trottoir : un bar pour leur prêter une `scène' ? Non ! Apparemment, ils vont jouer dehors en pleine rue ! On attend plus de dix minutes, et le groupe se lance enfin. Ils nous jouent quelques petites compos bien de chez eux, la première musique étant intitulée « Attitude ». Il s'agit là d'un groupe de Rock français doté d'un chanteur très pressé, articulant plus vite que son ombre !!! La musique n'est pas si passionnante, les guitares (deux pour une suite d'accords de cinquième !) ont un son qui laisse très dubitatif… Heureusement, la basse apporte une bonne dose de punch au tout. Mais c'est plus le gars en plein milieu de la rue, sautant comme un cabri afin d'attirer l'attention sur lui, qui intrigue la foule plus que le groupe lui-même…
Nous partons donc, avant de tomber sur des trompettes festives rythmées par des percussions folles. N'étant pas attiré par ce genre de chose, je décide de partir lorsque retenti la musique du film Taxi : les filles ne veulent plus partir ! Bon aller, il faut continuer !!

Nous marchons un peu plus loin, traversant des lieux tous aussi festifs où se produisent divers groupes de Rock (et oui, que des groupes de Rock !) devant une foule admirative jusqu'à entendre une douce voix féminine provenant du fin fond d'une ruelle… Je me dirige vers cette musique calme et éthérée en simple curieux avant de découvrir des morceaux envoutant, teintés d'une superbe voix cristalline omniprésente, le tout sur une musique acoustique calme, avec un piano aux envolées trépidantes. Le guitariste nous sert des soli de guitare électrique à la technique et au feeling impressionnants, les parties instrumentales lors des interludes étant orientées très prog, en contraste avec les couplets/refrain restant très accessibles. Ce groupe s'appelle The Sterians et est, vous l'aurez compris, la bonne trouvaille de la soirée !
Après un moment d'écoute passionnée, nous continuons notre marche vers Bellecour où nous espérons trouver une scène géante remplie de musiciens. Néanmoins, une fois sur place, RIEN ! Seulement un stand de Techno couinant à l'autre bout de la place… Il est prêt de minuit, et c'est alors que je propose d'aller à St Jean (le vieux Lyon) dans un ultime élan. En effet, c'est dans le vieux Lyon que vivent traditionnellement les métalleux lyonnais ! Nul doute que là-bas, concert de Métal on trouvera !!
Nous traversons le pont reliant Bellecour à St Jean, et une fois sur place, c'est la déroute ! La terre du Métal se trouve assiégée par un stand de musique Techno devant lequel se dandinent une cinquantaine de personnes… Je continue, espérant que ce n'était qu'une mauvaise farce… Et là, c'est maintenant des trompettes, puis plus loin un tam tam qui nous attendent ! Pas de Métal ni même de Rock ici… Et encore moins de prog !

C'est fini ! Nous abandonnons ! On rentre à la maison !
1H30 : fin de la soirée qui, bien que très agréable, n'a pas été musicalement enrichissante… On retiendra tout de même The Sterians qui sont, à mon avis, un groupe à suivre…


Megadave : En ce qui me concerne, le 21 juin a été une journée comme les autres sauf que je m'occupe davantage, depuis ces jours derniers, de poster des annonces immobilières et rechercher des crédits etc...
En effet, envers toutes mes démarches dissuasives et mes tentatives de freinage, ma femme a décidé qu'il nous fallait acheter une maison (en préparation du deuxième enfant qui devrait arriver dans 4 mois). Et ce que femme veut...
Donc, c'est fait : compromis signé y'a une semaine.
Maintenant, c'est la course aux démarches : vente appartement, recherche de crédit, etc...
Ca n'est que le début !!!
Ma soirée du 21 juin a donc été consacrée à poster des annonces de vente immobilière concernant mon appart actuel... Rien d'excitant !!!


Boulisto : Ma soirée pour la fête de la musique ? Je l'ai passé à faire un inventaire dans un magasin de prêt-à-porter pour un job d'été. Mais pour marquer le coup, j'ai tout de même sifflé en travaillant !



Rendez-vous l’année prochaine avec –au train où les choses vont- une équipe encore plus étoffée à défaut d’être plus compétente !!!
 
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