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Un mélange de métal mélodique, AOR, rock FM, avec quelques bons moments et beaucoup de poncifs. Le chant est juste mais le timbre un peu passe-partout. Un album qui manque trop de personnalité et qui sombre parfois dans la guimauve.
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A la lecture de tant de sévérité (surtout sur MW du reste), je me suis empressé d'écouter le petit dernier des Germaniques. Effectivement, la musique du groupe a perdu beaucoup de sa finesse. Certaines compositions (milieu de l'album) ont peu d'intérêt... Déception pour un "Alias Eye", mais voilà un album qui est tout de même dans la moyenne des productions du moment, dirais-je... Parlons d'un essai peu concluant.
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Une terrible sensation de lourdeur émane de cet opus. Il est trop dommage que l'album ne décolle qu'à partir du huitième titre avec des solis assez réussis. Un album qui aurait sans doute été mieux noté si les deux premiers opus de ce groupe n'avaient pas été aussi bons.
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Pas grand chose à ajouter à la chronique de Batric : les guitares sont la plupart du temps insupportables pour nos oreilles peu habituées à ce traitement. Quant aux morceaux qui retiennent malgré tout l'attention, ils se terminent en queue de poisson au moment où l'on souhaiterait qu'ils se poursuivent. Une formidable sensation de gâchis que cet album, en espérant que ce ne sera qu'une simple anicroche dans le parcours de ce groupe si intéressant jusque là.
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Mais qu’est-il donc arrivé à Alias Eye ? En changeant de guitariste, le groupe semble avoir perdu la recette quasi-miraculeuse qui faisait son originalité : une rythmique millimétrée, jamais surlignée, toute en délicatesse, servie par des musiciens précis et un chanteur en état de grâce.
Après deux premiers disques qui ont soulevé l’enthousiasme chez MW, voici donc In Focus; le troisième album, qui est souvent celui de la maturité, était donc attendu comme le cadeau de Noël de cette année 2006.
L’inquiétude qui se fait jour dès l’écoute des premières mesures n’ira qu’en s’amplifiant tout au long de l’album : on n’attendait certes pas chez ce groupe l’intrusion d’une grosse guitare “vroum-vroum” venant mammouthiser la rythmique ! Du coup, la batterie suit le même chemin, et le vocal également. Ceux qui ont écouté Phillip Griffiths dans ses précedentes prestations savent combien ce chanteur est un exceptionnel interprète : la précision de sa diction et son swing naturel sont tout à fait hors du commun. Ici, il en fait des tonnes et fait disparaître tout ce qui faisait son talent.
Sans être franchement catastrophiques, les compositions ne sont plus au niveau de ce que l’on a connu par le passé. Plus ordinaires, moins méticuleusement arrangées, le groupe paraît nettement moins à l’aise sur ce nouveau terrain.
Ce qui pourrait passer pour un disque honnête chez un groupe lambda apparaît donc comme un faux pas et une sérieuse faute de goût pour Alias Eye, qui nous a livré deux opus finement ciselés : il nous doit une revanche !
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Album Evolution d'alias Eye qui ne s'est pas endormi sur ses lauriers et qui a inventé son style, à la croisé de plusieurs mouvements. On adhère ou on adhère pas, mais il est difficile de rester indifférent devant la classe des musiciens.
PS : j'adore le démarrage du solo "Hey psst... can you keep a secret ? I'm your worst nightmare...". eh eh Diabolique !!! :evil
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