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Telle la boule à facettes ringarde de la pochette, cet album me rappelle tout ce que la musique des années 80/90 a fait de pire (et Dieu sait qu'en terme de mauvais goût musical, cette période a été particulièrement créative), entre électro dépassé et drum & bass horripilant, avec ces boum-boum-boum tellement répétitifs qu'ils finissent par occulter tout le reste.
Comme le dit si bien la chronique, "Love You To Bits" est un album déroutant au premier abord et ne distille sa richesse et son pouvoir addictif qu’après des écoutes répétées, attentives et impérativement d’une seule traite". Mais, à moins d'y être contraint comme les chroniqueurs consciencieux que nous sommes qui cherchons à détecter les subtilités les mieux cachées par des écoutes "répétées et attentives", quel auditeur "ordinaire" s'infligera la peine de réécouter cet ingrat pensum ? Ce sera déjà une belle performance s'il parvient jusqu'au bout de cet album pourtant bien court.
Steven Wilson et Tim Bowness nous ont habitués à tellement mieux qu'il est recommandé de faire l'impasse sur ce disque pour le moins dispensable.
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Je me m'empresserais de mettre 9/10 à cet album dû à l'attraction que j'ai pour les œuvres de Wilson. Mais en prenant mon temps et en laissant de côté mon côté fanboy, un 8 ou 8,5 me semble plus approprié à cette œuvre. Les 4 premiers morceaux sont de toute beauté, indescriptibles tant cela fait parcourir une palette d'émotions en tout genre... des frissons. Là où le bât blesse est cette piste n°5 qui selon moi est bien en dessous du reste de l'album, bien sûr elle vaut le coup d'oreille, mais me fait décrocher d'un voyage qui aurait pu prendre énormément plus d'altitude.... maudite ou bienheureuse soit cette touche 'next'.
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Ayant donné mon avis sur le petit dernier de No-man, je reviens sur la même idée, sans faute sauf.... cette dernière piste qui pour moi, est complètement détaché du reste de l'album... cette fois je ne martèle pas ma touche 'next' mais celle du stop, stop et play. bref...
Ce qui a de fascinant dans cet album ce ne sont pas les titres en eux-mêmes (qui sont remarquables au passage), mais ce vide sonore de 4 minutes en plein milieu de l'album et la beauté que procure ces 2, 3, 4 accords "tadaaam, tamm, timmmm, tammmm" aaaaaaaaah.... énorme...
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Curieux !! Moi qui accroche sans problême à l'univers mélancolique de Sigur Ros et en général aux productions de Steven Wilson, et bien avec No-Man j'y arrive pas vraiment...
Certes, j'apprecie la superbe voix de Tim Bowness et la qualité des arrangements... Mais rien à faire, je décroche trop souvent pour apprécier à sa juste valeur l'intégralité de l'oeuvre... Reste quelques bons morceaux dans lesquels j'arrive à bien rentrer et qui sauve l'album à mes yeux d'une note très moyenne...
Allez, 6.5/10, c'est pas si mal !! Je vous conseille quand même d'écouter attentivement ce disque...
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Album tout en atmosphère et varié, on passe de rythme électro à du prog et de la pop pépère. L'écoute de cet album me donne la sensation que la musique me colle à la peau et s'insinue au travers de mes pores pour me filer des frissons à chaque note.
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Un petit nuage cotoneux m'enveloppe à chaque écoute, j'en viens même à me mouvoir au ralenti tellement la musique elle vous transporte. Un moment d'émotions pures.
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