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Album OPETH SORCERESS OPETH
SORCERESS (2016)
NUCLEAR BLAST
ROCK PROGRESSIF
2/5
LOLO_THE_BEST59
08/01/2017
 
822
0 0
Un album d'une qualité très inégale, avec plusieurs titres heavy mais fadasses. Opeth cherche t'il un nouveau souffle ?
Album OPETH SORCERESS OPETH
SORCERESS (2016)
NUCLEAR BLAST
ROCK PROGRESSIF
4/5
ROLDU
28/11/2016
 
20
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Le plus grand groupe du monde a omis d'être à la hauteur de sa production. La qualité sonore est inégale et indigne de notre époque.

OPETH a pris un virage "rétrogressif" depuis quelques albums, en mettant de côté le prog/métal de sa jeunesse, avec justesse et succès.
Héritage et Pale Communion sont les fers de lance de cette orientation.

Sorceress n'a pas la même dynamique. Les titres acoustiques restent purs et envoûtants, mais plusieurs autres titres sont fades et passablement inspirés.
Un excès de zèle ?


Album OPETH PALE COMMUNION OPETH
PALE COMMUNION (2014)
ROADRUNNER RECORDS
METAL PROGRESSIF
4/5
MR.BLUE
12/09/2014
  0 0
Un album très intelligent et authentique à la fois, presque viscéral.
Après "Heritage", Opeth redonne un rythme à sa musique, une dynamique qui rend l'ensemble plus accessible. Si les énormes 'Moon Above, Sun Below' et 'River' possède encore ces touches psychédéliques chères à "Heritage", des titres comme l'opener aux sublimes mélodies de clavier, un 'Cusp Of Eternity' rectiligne et hypnotique et le duo final qu'est 'Voice Of Treason'/'Faith In Others' (dense et majestueux) font de cet album un indispensable dans la carrière du groupe tant l'ensemble et riche, touchant, mélancolique, entrainant, jouant avec l'auditeur entre douceur et puissance avec une épaisseur sonore réelle. Vivement conseillé !

Album OPETH PALE COMMUNION OPETH
PALE COMMUNION (2014)
ROADRUNNER RECORDS
METAL PROGRESSIF
4/5
NUNO777
29/07/2014
  0 0
D’"Heritage" Opeth conserve la forte empreinte 70’s avec Steven Wilson en ombre planant de plus en plus dans la composition d’Akerfeldt. Son admiration pour l’anglais et son travail récent se retrouve comme jamais auparavant dans ce "Pale Communion". Il m’a été quasiment impossible d’écouter cet album sans penser à "The Raven That Refused To Sing". Les conclusions de ‘Faith In Others’, ‘River’ et ‘Moon Above, Sun Belwo’ font directement référence au chef d’œuvre de Wilson et les riffs arpégés (‘Elysian Woes’), qui ont toujours été d’une grande complexité chez Opeth, tendent à se rapprocher de la relative simplicité de ceux de Wilson. Les progrès au niveau du chant d’Akerfeldt sont notables et les chœurs qu’il nous donne à entendre sont d’une grande maitrise. Toujours les petites malhabiletés dans certaines jonctions, la plus criante se révèle dans le long ‘Moon Above, Sun Below’, qui me font dire qu’Akerfeldt n’est pas tout à fait à l’aise dans sa nouvelle peau. Le son global du disque est quant à lui un véritable voyage dans le temps (jusqu’à la caricature avec ‘Goblin’) au charme tellement appréciable à notre époque dominée par le synthétique. Les musiciens sont aussi tout à leur aise dans des formats moins saturés, la section rythmique est une réjouissance, et les soli d’Akesson brillent particulièrement par leur construction et leur expression.
Entre les racines progressives scandinaves d’Akerfeldt et l’inclination wilsonienne ce "Pale Communion" montre un Opeth abandonnant définitivement le métal. Il faut juger ce disque en faisant autant que possible abstraction du Opeth de "Deliverance", explosif et débordant de créativité. La finesse est ici bien plus dissimulée et s’exprime particulièrement dans les ambiances et les arrangements (‘Faith In Others’). Certainement moins brutal dans la complexité que les autres albums du groupe ce dernier n’en reste pas moins secret et timide à livrer tous ses charmes.

Album OPETH STILL LIFE OPETH
STILL LIFE (1999)
PEACEVILLE RECORDS
DEATH METAL
5/5
BAKER
30/01/2012
 
75
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Pour ma part, ce fut LE choc, LE album qui fît tomber toutes les barrières qui se dressaient entre mes goûts et le chant death.' The Moor' est une chanson d'une puissance émotionnelle très rarement atteinte par un musicien quelqu'il soit.

Le son est parfois un peu sale, et le dernier titre, 'White Cluster', semble un peu en-deça du reste, mais cet album regorge de riffs et de mélodies assassins. Quitte à se botter le cul pour rentrer en force dans le milieu du métal dit "extrême", autant frapper fort et s'embarquer pour ces 65 minutes de poésie morbide. Certains d'entre vous ne regretteront pas les efforts consentis.

Album OPETH BLACKWATER PARK OPETH
BLACKWATER PARK (2001)
MUSIC FOR NATIONS
DEATH METAL
5/5
STEVENAKERFELDT
03/01/2012
  0 2
"Blackwater Park"... rien que le titre de cet album me donne des frissons...
Opeth est un groupe très surprenant mélangeant les influences: entre l'étiquette death metal progressif très souvent donnée à la formation et les références prog seventies revendiquées par Mikael Akerfeldt, on assiste à un cocktail de styles de musiques complètement opposés mais qui se complètent ici comme si cela avait toujours été le cas, au sein du "Parc des Eaux Noires"...

Blackwater Park est l'album qui, je pense, est le plus emblématique de l'univers Opethien, et on le voit dès le début de ce dernier: THE LEPER AFFINITY est un titre typiquement Opethien avec son intro ultra violente et un chouïa dissonante qui ne renierait pas un certain April Ethereal! Une double pédale très présente accompagnées des habituelles progressions horizontales en accords soutenus par la basse sautillante de Martin Mendez. Avec son break atmosphérique très mélodique au chant clair et sa reprise très progressive, THE LEPER AFFINITY ouvre remarquablement bien l'album, suivie par BLEAK, qui débute par un riff surprenant dans une gamme aux tons égyptiens. Superbe chanson, on remarquera la présence de Steven Wilson au chant (clair évidemment) lors du magnifique break qui ponctue le milieu de la chanson! Au passage, le bougre a également mixé l'album en compagnie d'Akerfeldt et a de plus joué de la guitare sur de nombreux morceaux notamment les deux premiers. Après cela, une chanson très atmosphérique et progressive, totalement au chant clair et acoustique (ou du moins sans distorsion) vient réjouir les délicates oreilles en mal de mélodies apaisantes, je veux parler de HARVEST, annonce du futur Damnation... Vient ensuite THE DRAPERY FALLS, une pièce magnifique qui en fera certainement pleurer plus d'un et qui je pense a été composée dans le même état d'esprit que DIRGE FOR NOVEMBER, la piste suivante. En effet, les deux pièces fonctionnent sur une intro calme s’enchaînant avec une seconde partie qui, sans pour autant être très violente, reste très énergique et surtout garde une cohérence à toute épreuve! Il faut tout de même souligner la superbe ligne de basse du début de THE DRAPERY FALLS accompagnées de ces notes jouées à la guitare bourrées de Reverb, Delay et Chorus mais nous en reparlerons plus tard...
Après cela, nous accueillons THE FUNEARL PORTRAIT, peut-être le moins bon morceau de l'album mais qui possède un break honorable en polyphonie assez jolie! Ensuite Opeth nous offre PATTERNS IN THE IVY, un petit instrumental de 2 minutes qui, à l'image de Madrigal, sert d'introduction au monumental BLACKWATER PARK!

Envoûtant, exceptionnel, ravageur, incroyable, épique, monumental, puissant, tous ces adjectifs peuvent être utilisés pour qualifier la chanson, mais ce ne sera jamais assez pour désigner le chef d’œuvre... un voyage aux confins de l'étrange, mais aussi tout simplement dans le BLACKWATER PARK! Lisez le titre, fermez les yeux, écoutez la chanson et laissez vous guider par son essence! Le crescendo de l'intro passé, les 4 accords qui s'en suivent sont soutenus par le sustain énorme des notes de guitares donnant une impression d'infini et annonçant l'ambiance du titre: une atmosphère sombre mais étrangement fascinante... s'ensuit deux énormes riffs suivis d'un intermède acoustique toujours dans la même ambiance et, oh écoutez là et vous verrez, c'est juste un chef d’œuvre d'une noirceur éblouissante!

En somme, Blackwater Park est un album extrêmement homogène et superbement bien équilibré, débutant en beauté et se terminant en apothéose! Sur ce n'oubliez pas:"The sun sets forever over the Blackwater Park..."

 
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