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Plus ça change, plus c'est la même chose. Un très bon cru de Rush intercalée entre une très bonne cuvée et un album un peu mitigé. Le Cygnus, deuxième du nom, se montre très intriguant. 'Circumstances' possède un plancher hard-rock truqué qui se meut sous nos oreilles et nous conduit vers des contrées progressives. L'introduction de 'The Trees' nous invite à prendre une petite pause, après la tension dégagée par les deux précédents morceaux, pause de courte durée car voilà nos Canadiens prendre la tangente. Le dernier morceau est le mystérieux 'La Villa Strangiato', 9 minutes de voyage instrumental dans une compagnie aérienne spécialisée dans les transports vers des mondes mystérieux. En somme, le nouvel hémisphère confirmé par ''A Farewell To Kings'' et ''2112'' est bien dégagé. Bon vol!
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J'ai jamais trop compris la démarche de Rush... Où veulent-ils en venir ? avec ce rock hybride, parfois hard, prog mais jamais folk, rarement romantique ou nostalgique. Je me surprends à bien aimer cet album en fait. Je ne sais pas pourquoi. Des compos bien bien ficelées et une section basse/batterie en grande osmose sont les gros atouts de groupe. Je serai peut-être fan un jour quand je serai grand et aurai compris comment fonctionnent les groupes outre-atlantique.
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Après un honorable "Snakes § Arrow" on pouvait craindre que Rush n'enchaîne avec un opus moins intéressant. Il n'en est rien, "Clockwork Angels" s'avérant être l'un des meilleurs cd des canadiens. A part le premier titre 'Caravan' un peu basique, tous les autres morceaux sont d'un très haut niveau. Et surtout, toute la palette d'inspiration du groupe depuis presque 30 ans est présente. On a droit avec 'The Anarchist' à du Rush pur jus avec un gimmick redoutable. Il y a 'Carnies' dans un style virevoltant et épuré avec une intro à la Led Zep. Et on a droit avec l'époustouflant 'Seven Cities' à un grandiose mur sonique qui enserre une guitare lancinante, un orgue majestueux et une batterie insaisissable. Quant à 'The Wreckers', il est l'exact opposé, tout en clarté et luminosité qui lui confèrent une grâce aérienne. Et que dire de 'Headlong Flight', où Neal Peart en état de grâce mène une batterie hallucinante pour une échappée scandée par une guitare omniprésente. C'est du hard rock de niveau stratosphérique. Et puis avec 'Wish Them Well', on retourne à l'époque d'un autre excellent album rouge "Hold Your Fire". C'est la légèreté lyrique et les ruptures de tempo qui caractérisent le style immédiatement identifiable de Rush. Et enfin 'The Garden' avec une guitare acoustique toute en finesse pour un final plein de grâce et musicalité qui termine le cd en beauté. C'est là, à n'en pas douter, l'un des meilleurs albums de l'année.
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C'est certes bien fait, mais cette musique n'a plus rien de progressive et est beaucoup trop proche d'un hard rock musclé à mon goût.
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Même si les "live" se succèdent chez les canadiens à la vitesse grand V, c'est toujours un plaisir de retrouver nos vieux amis sur scène tant leur technique, leur originalité et leur savoir faire mélodique ne ternissent aucunement au fil du temps. Pour tous ceux qui souhaiteraient mettre un pied dans leur monde émouvant ce live arrive à point nommé. Pour ceux qui connaissent déjà cette machine de guerre, il viendra un tout petit peu compenser la disparition du trio des scènes hexagonales depuis deux décennies. Voilà bien l'incongruité la plus désolante qui puisse nous être donnée de rencontrer aujourd'hui au cœur des sphères musicales qui nous sont chères. Attendons maintenant de pied ferme le prochain album de ces talentueux musiciens, le début de l'année 2012 est proche, gardons patience. En espérant que cet opus sera du calibre de ceux que nous ont proposés le trio dans les années 80/90, période où, mais c'est un avis tout personnel, leur talent mélodique donnait toute sa mesure.
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Cet album est le premier Rush que j'ai découvert, et des années après, l'émotion lors de l'écoute est intact. Batterie virtuose (sans être encombrante), guitare inspirée, claviers discrets et géniaux, basse galopante... Le tout mis en scène dans des compositions complexes mais extrêmement mélodique. Cet album frise la perfection selon moi, et il n'y a pas besoin de grande description pour cela. Il suffit d'écouter.
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