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Je vais sûrement me faire lyncher mais tant pis ! Terriblement déçu ! Voilà ce que je suis.
J'ai commandé cet album après avoir lu ses critiques sur ce site, n'ayant jamais écouté aucun album de ce groupe auparavant.
Pour me situer peu, j'aime Genesis, Yes, Ange, IQ. J'aime certaines productions de Mike Oldfield, Marillion, Camel, Pendragon, Saga, Pallas, Arena, Van Der Graff, King Crimson, Jethro Tull, Pink Floyd ...
A coté de ça, j'écoute pas mal de blues, blues-rock, de rock, de chanson française, un peu de hard et de classique: un petit millier d'albums dans ma discothèque.
Que dire de cet album de Sylvan ?
Pour le coté positif: c'est bien produit. Il y a de belles envolées de guitares, une homogénéité de son et d'atmosphère. C'est à peu près tout.
Pour le reste: Cet album n'est certes pas déplaisant à entendre, mais pas jouissif non plus: je le trouve ennuyeux pour tout dire. Je n'y trouve rien de ce que j'aime dans le progressif, aucune mélodie ne m'accroche vraiment, aucun effet de surprise. Le chant est linéaire, la rythmique plate, il n'y a pas d'échanges entre les musiciens. En fait, rien ne ressort et c'est tout le contraire de ce que j'attends d'un album de rock progressif.
EN CONCLUSION: Si vous attendez des morceaux comme Supper's Ready, Close To The Edge, The Narrow Margin, Ice Nice, Hymne A La Vie, Tubular Bells et autres The Knife, Gates Of Delirium, Breaking The Spell, Moviedrome, ce n'est pas sur cet album que vous en trouverez !
Alors voilà, comme avec de nombreux albums de progressif moderne, cet album ne me procure aucun frisson, ni joie, ni peine, RIEN !
Je m'en vais donc mettre ce vieil album à la pochette jaune pale, autour d'un étrange tableau, dans ma platine, vous savez, celui qui commence "a capella" par "Can You tell me where my country lies ? said the unifaun to his true love's eyes ... histoire de me remettre en forme.
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Sylvan fait du sylvan... On a souvent l'impression de retrouver des lignes mélodiques venant d'albums précédents ce qui, pour le connaisseur, gache un peu la fête. Home reste cependant un excellent album de la part d'un groupe qui représente la crème d'un rock progressif "accessible".
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Sylvan replonge dans un concept album. Projet audacieux et parfois casse gueule, il avait réussit à pondre un Posthumous Silence il y a presque 10 ans de celà d'excellente facture.
Le groupe y ajoute ici une note symphonique qui apporte une touche de nouveauté. Je rejoins le chronique sur le chant, Marco se veut plus heavy notamment sur In Between oscillant entre passages planants et beaucoup plus brut.
Home contient assez de morceaux variés : symphonique, metal, heavy, pop (Black and White), ballades (With the eyes of a child) pour maintenir l'attention.
Parfois son lot de surprise et le passage très rock de Shine que je n'avais pas pu deviner avant la sortie de l'album lors de la diffusion de l'extrait (format "edit radio" oblige).
Le seul défaut serait que j'ai le sentiment que certains solos de guitare arrivent comme un cheveu sur la soupe, comme un passage obligé et de façon trop abrupte. Normal, la composition de l'album ayant été faite sans guitariste.
Toutefois, je chipote et le plaisir d'écoute est bien présent. Un très bon millésime que ce nouvel album de Sylvan avec une très bonne prod et un artwork de toute beauté. Ne passez pas à côté.
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Bel album, qui sonne comme une synthèse de l'oeuvre des allemands.
Une réserve toutefois côté guitare, où je ne partage pas du tout l'avis de mon collègue Arnaud. L'instrument reste bien trop en retrait, submergé par les claviers.
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Il est des albums dont vous savez dès les premières mesures que vous serez conquis : "Sceneries" fait partie de cette catégorie ô combien restreinte. Ah, cette délicate introduction au piano - instrument qui restera toujours supérieur aux sons bidouillés des synthétiseurs - poursuivi par un solo de guitare beau à pleurer. Porté par la voix de Marco Glühmann, "Sceneries" nous saisit aux tripes, nous transporte vers des rivages d'harmonie, de beauté, de lumière tour à tour éclatante et sombre. La rythmique est impeccable, bien entendu, et les soli sont à mélodiques à souhait. Côté composition, il y a de tout et pour tous les goûts - du progressif pur jus, du symphonique, du métal (pas beaucoup, merci), de la pop sautillante - et pourtant, tout cela compose un équilibre harmonieux (seule la Part 2 de 'The Words You Hide', excellente par ailleurs, s'insère un peu bizarrement). C'est bien simple, il n'existe aucun morceau "faible", ce qui reste quand même pour moi exceptionnel (même "The Wall", puisque quelqu'un ici a repris le parallèle, finit un peu poussivement). Si je devais néanmoins ressortir un ensemble, je choisirais 'Share The World With Me', sublime de bout en bout. Un 9 qui vaut un 9,5 !
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Bien que tout soit déjà dit dans les différentes chromiques, je voudrais renchérir sur la qualité de la prestation vocale et de la réussite émotionnelle de la musique. Du grand art ! Seul faible bémol, la longueur totale de l’œuvre....
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