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Avec une telle somme de talents réunis, souvent on observe un effet multiplicateur, et c'est bien le cas ici. Etrangement, cette nouvelle offrande m'a initialement semble manqué de souffle, un comble car les écoutes successives m'ont fait découvrir peut à peu la finesse et la diversité des arrangements. La patte des différents contributeurs se fait sentir aux divers moments du double album - ah, le petit passage en canon cher à l'ami Morse -, ce qui le rend encore plus attachant. Alors, c'est un grand OUI pour embarquer dans le dirigeable futuriste de Transatlantic. Et revenez quand vous voulez, les gars.
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Excellent. Tout simplement, peut-être leur meilleur album. En plus, quelle originalité de sortir l'album en 2 versions. J'écoute en alternance les deux, sans discontinuité, depuis plusieurs jours. J'adore. Je ne remarque pas de moments creux. Ces 4 musiciens & compositeurs fonctionnent très bien ensemble. Que du plaisir.
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La sortie prochaine du cinquième opus de Transatlantic m'a donné envie de me replonger dans leurs précédentes réalisations. En revoyant le live de "The Whirlwind" au Shepherd's Bush Empire de Londres, la classe de ces musiciens et l'excellence de cet album me laissent sans voix. Alors certes, les gimmicks de compositions de Neal Morse, les (trop ?) nombreux retours aux thèmes et à ses dérivés tout au long de l'album, le côté parfois "too much" ou trop épique... sont ce qu'ils sont. Mais Transatlantic réussit à travers cet album à garder une cohérence impeccable en mêlant des ambiances parfois très différentes voire contraires. Et surtout, on ne compte plus le nombre de trouvailles, que ce soit les lignes de chant souvent bourrées de feeling, le nombre de riffs et de mélodies cultes... Vraiment un magnifique album à la fois accrocheur et technique. Un travail remarquable.
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Non, non et non : c'est du collage, c'est lourdeau, ca manque d'inspiration, on a complètement perdu la fraicheur des débuts et les influences jazz-rock pour une soupe symphonico hard ou les frappes de Portnoy tombent de plus en plus à plat. Et que dire de cette catastrophe chantée en plein milieu du titre Kaleidoscope (à partir de 14:30) ? Et que dire de ces sons de claviers utilisés par Morse et qui feraient presque passer Ruddess pour un expérimentateur avisé ? Et que dire de ce final en fade-out sur Kaleidoscope indigne d'un groupe de cette trempe ? Véritablement très très décu par cet album qui conserve tous les défauts de Whirlwind (lourdeur et emphase) pour nous les imposer cette fois-ci sur des plages beaucoup plus longues, je m'en vais réécouter All of the Above ou Stranger in your Soul pour me souvenir de ce qui a fait de ce groupe un groupe immense, il y a déjà plus de 10 ans.
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"Une nouvelle fois, certains diront que Transatlantic ne propose rien de nouveau et se contente de reproduire ce qu'ils ont déjà fait dans le passé. " -> En effet, mais surtout ... continuez comme ça, moi ça me va bien ! Sérieusement, des albums de cette qualité, on en redemande. Les 2 epics sont superbes, fourmillent d'idée, le chant de Neal toujours aussi gorgé d'émotions (comme pour Labrie, je la préfère sur les morceaux posés que dynamiques), les musiciens sont au top. La ballade Shine mérite bien son nom. Que dire de plus ? Sinon bravo.
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Si les albums de Transatlantic se ressemblent, c'est avant tout dans l'extraordinaire facilité avec laquelle le groupe produit des titres démesurés dans la grande tradition des années 70, suffisamment sophistiqués pour séduire tout amateur de progressif tout en conservant constamment un sens mélodique rare. Quant aux titres courts, plutôt que mielleux, je les trouve romantiques, lyriques, apaisants.
"Kaleidoscope" n'est pas vraiment innovant, d'accord. Mais superbement écrit, produit, interprété, que demander de plus. N'hésitez pas et optez pour le format double CD pour prolonger votre bonheur.
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