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Un album redécouvert sur le tard. Plus de 20 ans après, cet album regroupe tous les clichés (bons ou mauvais) de la scène metal prog de l'époque. Zero Hour et "The Towers of Avarice" sont les enfants d'un Dream Theater époque "Awake" qui aurait croisé Nevermore...
Rien de déshonorant en soi (bien au contraire) !
Le seul vrai reproche que l'on pourrait faire à cet album est un manque de personnalité et de variété dans certains riffs (notamment les deux premiers titres) donnant une impression de linéarité mais rien de rédhibitoire...
Finalement, une musique, et un jugement similaires à ceux de "Specs of Pictures Burnt Beyond" !
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