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J'adhère complètement au contenu de cette chronique. Des mélodies pour la plupart inconsistantes, un chant bien gentil mais sans intérêt, bref on écoute cet album sans désagrément mais, bien trop évanescent, il ne laisse aucun souvenir à l'auditeur. A oublier.
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La production est excellente ! Dommage que l'approche mélodique soit moyennement accrocheuse, parfois un peu trop alambiquée. Une mention spéciale pour 'Snowswept', modulant et entremêlant avec habileté la productivité de son impact harmonique immédiat à la complexité de sa narration rythmique.
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Certes, ce n'est pas un duplicata de "Storm Season", mais ils l'avaient déjà fait, pourquoi se répéter ? J'ai hésité un moment, j'aimais tellement le chant de Sylvia Erichsen.... puis, puis... Ben oui, elle le fait plutôt bien Trude Eidtan. De là à la comparer à C Mac Vie, il y a plus qu'un pas, ou il faudrait donner bien d'autres références aux capacités qu'elle développe ici. Niveau composition,,, essayez juste de ne pas oublier que c'est White Willow que vous écoutez. Des fois, c'est par ici, des fois par là. On ne sait plus toujours où on en est, mais c'est vraiment agréable de s'envoyer promener comme ça. Je serai plutôt d'avis à dire que White Willow continue son avancée. C'est de plus en plus mûr. Après... on aime ou pas, mais je ne crois pas qu'on puisse vraiment se prononcer à la première écoute, et ça, c'est déjà un bon signe. Personnellement, je l'ai laissé quelques jours dans le lecteur, les surprises n'en étaient que meilleures, il y avait toujours du nouveau.... Est-il probant de comparer un White Willow à un autre ?? Pour ma part, je préfère me dire qu'à chaque nouvel album correspond un paquet cadeau. 8.5
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De bien belles ascensions qui, de plus, savent aboutir ; agréablement réparties entre ténèbres et cieux illuminés, elles apparaissent pour mieux se dissiper dans la progression des morceaux. Un beau chapeau à tirer à ces musiciens, et j'ose à peine parler de la voix de Sylvia Erichsen ... Une présence qui rassure, interroge, et ... je vous laisse juge. Vraiment, il y a peu de mots pour décrire les rebondissement que vous réserve cet album... Emboîtez lui le pas... Ma note : 8,967
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6+ "White Willow" lorgne de plus en plus du coté de la Pop (Joyride, Night Surf ...). En ce qui me concerne, heureusement que les mélodies accrochent, et que les titres développent de "longues" parties instrumentales plus Rock, plus Progressives. La flûte est toujours aussi sympa, mais trop rare. Je fais également partie de ceux qui préfèrent l'album précédent "Storm Season"... à écouter tout de même !!!
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Ce "Signal To Noise" est certes moins bon que son prédecesseur "Storm Season" mais il n'est pas non plus sans intérêt. Perso, j'aime beaucoup "Splinters, "Ghosts", "The Lingering" et "Chrome Dawn". "Dusk City" et "Night Surf" s'en sortent pas si mal... En fait, seul le titre "Joyride" m'est apparu complètement raté, il faut dire que cette vaine tentative de (mauvaise) pop avait peu de chance de trouver grâce à mes yeux... Au final, un disque tout de même réussi bien que moins homogène et moins "progressif" que ce que nous avait habitué nos norvégiens auparavant.
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