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Magnum, groupe que j' ai connu avec l 'album "Chase the Dragon" et les riffs de "Soldier of the line" du guitariste Tony Clarkin qui vient de nous quitter. Magnum, toujours dans le groupe des Outsiders de la NWOBHM, mais souvent number 1 dans le coeur des fans à chaque sortie d 'album. Magnum, qui m 'accompagne depuis 40 ans. Alors "Here Comes the Rain", c 'est vraiment "The Last Dance " ?. Comme ce titre du double album live paru en 1996, et qui annonçait la fin du groupe...qui devait mieux renaître dans les années 2000. "Here comes the Rain", le point final ?. Non, il est un proverbe qui dit"qu 'après la pluie " "revient le soleil ☀️". Non, vraiment, ceux là ne peuvent pas disparaitre. De là haut, Tony nous envoie déjà les premiers rayons....
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En phase avec la chronique qui résume bien le Magnum que l'on aime, je remarque dans cet album une lourdeur "mélodique" supplémentaire dans les riffs, dans la rythmique, et cela ne fait qu'ajouter au bonheur qu'apporte cette galette, génial!
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Il est clair qu'il ne s'agit pas ici du meilleur Magnum. Bien d'autres opus de la bande à Catley ont beaucoup plus tourné sur ma platine. Dans la même veine Hard Américaine que "Goodnight L.A.", "Sleepwalking" se laisse écouter mais s'oublie assez vite même si deux ou trois titres pourraient figurer dans un Best Of ... à condition qu'il comporte au moins une quarantaine de titres !
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Entièrement d'accord avec la chronique ci-dessus, excepté que tout est plus entraînant, mieux construit, mieux développé, plus accrocheur, plus varié et tiens mieux la longueur que dans les albums précédents, alors on n'hésite pas : c'est un 9 !
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Je ne vois pas l'intérêt d'un opus comme celui-là.
Pour un fan absolu de Magnum, c'est une déception et ce même si l'album contient deux nouveautés qui ne sont pas renversantes d'ailleurs.
Mis bon, un groupe aussi talentueux qui nous a proposé une discographie conséquente et qui a continué à tenir la baraque jusqu'à ses derniers opus mérite le respect et que je mette de côté mon acrimonie de l'instant.
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Magnum a un peu vendu son âme au diable américain avec cet opus. En perdant quelques pans de son identité il en essuiera les plâtres. Non seulement cet album passera quasi-inaperçu mais il augurera de surcroît une traversée du désert de 10 ans sans albums après son successeur "Sleepwalking" qui sortira en 1992 et qui proposera les mêmes ambiances musicales.
Un bon album de Hard FM mais la patte du classieux groupe anglais a été oubliée au vestiaire. Dommageable.
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