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Oui, ce "ce Zumanthum s’ouvre de la meilleure des façons" mais en revanche ce très bel opus se clôt de bien désopilante façon ... pourquoi cet abrupte fin particulièrement frustrante ? Dommage ... j'arrive toujours à la fin de l'opus avec une certaine appréhension.
Il n'en demeure pas moins un témoignage d'un talent déjà bien affirmé !
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De moins en moins convaincu par l'orientation métallique qu'Overhead donne à sa musique, ce qui en rend l'écoute vraiment pénible. On est bien loin de l'humeur joyeuse des deux premiers albums.
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Une promenade au pays des rêves ... Si overhead n'en est pas encore à la maturité, qu'en sera-t-il à l'avenir. Metaepitome n'est pas loin du petit chef-d'œuvre, il ne manque plus qu'un pas (ils ont déjà une belle foulée, à entendre l'évolution entre leur premier album et le ce second...). Décidément, quand on ose la composition de longue haleine, on peut oser y risquer un titre d'album ... Quand à la voix (parfois "presque" décriée...), certains (dont je fais partie) y verrons toutes les qualités humaines de celui qui ose laisser son ventre chanter plutôt que de n'oser que se limiter à ses capacités vocales (des tripes, encore des tripes...).
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Avec ce nouvel opus, OVERHEAD franchit encore un palier par rapport à METAEPITOME
Les deux premiers morceaux, "A method…" et "…To the madness", s'enchainent assez naturellement. Le chanteur a encore fait des progrès et, si sa voix était à peine supportable dans Zumanthum, elle passe maintenant avec un grand naturel. Les titres sont travaillés, variés, et s'écoutent sans lassitude. "Time can stay" est vraiment envoutant avec un chant convaincant et un joli travail à la basse, qu'on retrouve aussi bien présente sur "Lost inside", doté d'un certain souffle épique. Enfin, avec "A captain on the shore", la musique commence presque à prendre une certaine ampleur avec même des simili chœurs à la fin.
Si OVERHEAD effectue pour son prochain album le même saut qualitatif qu'il a su faire entre ZUMANTHUM et METAEPITOME, puis entre METAEPITOME et AND WE'RE NOT HERE AFTER ALL, nul doute que cela ne soit un chef d'œuvre.
7++
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Deuxième opus d'OVERHEAD après ZUMANTHUM, METAEPITOME (où vont-ils chercher ces titres ?) s'ouvre et se termine comme son prédécesseur sur deux longs morceaux, "Metaepitome" et "Dawn".
Tout de suite, la différence entre les deux albums est palpable : la composition de "Metaepitome" est plus aboutie, les idées plus nombreuses, les transitions mieux maitrisées. "Dawn", quant à lui, est intéressant de bout en bout, les transitions entre les différents passages se font en douceur. Pour ces deux titres, les longs développements musicaux sont bien trouvés et s'écoutent sans lassitude. Autre titre sortant du lot, " Arrival of the red bumblebee" est un très bel instrumental au piano, posé et solennel.
Quant au chant, qui m'avait un peu gêné sur ZUMANTHUM, je dois reconnaître que le chanteur, même s'il n'est pas exceptionnel, est en net progrès. Sa voix passe mieux et s'intègre à l'ensemble, elle a gagné en crédibilité et ne nuit plus au plaisir de l'écoute.
METAEPITOME confirme donc tout le bien qu'on pouvait déjà espérer avec ZUMANTHUM.
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Ce premier album d'OVERHEAD montre le potentiel de ce groupe, même si certaines erreurs de jeunesse en font une œuvre imparfaite. Globalement, les compositions sont agréables et fluides, et s'écoutent avec un certain plaisir, lorgnant assez régulièrement du côté de Pink Floyd. L'album contient deux "epics", un en ouverture d'album, l'autre en fermeture, plutôt bien construits et sympathiques.
Côté défauts, je reprocherais d'abord un manque d'énergie dans l'interprétation. Les deux premiers morceaux sont particulièrement mous, me donnant l'impression que le groupe jouait avec une grippe carabinée qui l'empêchait de se lâcher. Ça s'améliore un peu à partir de "Confessions of the grim reaper".
L'autre reproche, de taille celui-là, c'est le chanteur, doté d'une voix nasillarde manquant singulièrement de profondeur, de personnalité et de sensibilité, et donnant parfois envie d'arrêter l'écoute là. Ce qui serait une erreur, les passages instrumentaux étant nombreux ("Wasteland", instrumental tout en douceur, se révèle très agréable), et l'album étant finalement honorable.
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