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Super déçu par cet album ... Dans le précédent, on décelait déjà un manque d'inspiration et de cohérence, mais alors la ... c'est vraiment pas terrible. Ils s’écartent du progressif pour lorgner vers la pop/rock à la Coldplay ou Muse. Fan de la première heure, je suis lassé!
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Il faut avouer que les Norvégiens savent composer de la musique accrocheuse et addictive, en réduisant d'album en album les durées de ses titres. Certes les influences de Muse ('After The Fire') ou de la pop de Coldplay sont parfois audibles dans "Havoc", les effets electro très présents et la composante progressive pas toujours évidente, mais le metal très mélodique lorgnant vers l'AOR pratiqué par cette formation est souvent irrésistible. "Havoc" est une mine de refrains percutants et on se délecte avec un plaisir particulier quand on est amateur de beau jeu à la guitare (les soli sont tous magnifiques). Ce groupe est incroyablement doué et stable, et recèle un potentiel encore inexploité en la personne de son batteur Truls Haugen qui se trouve être un chanteur d'une classe étonnante, j'en prends pour preuve ses prestations époustouflantes dans le "ESC" de Zierler. S'il leur vient la bonne idée de durcir légèrement leur metal je serais très curieux du résultat.
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Qui se souvient aujourd'hui des "Oh" d'indignation poussés par de nombreux fans lorsque fut révélée la pochette du dernier Dream Theater ? Sans doute peu de monde, et c'est une bonne chose, car l'hommage n'était alors que purement visuel.
La vraie question est en fait de savoir ce qui retiendra l'ensemble des fans du Théâtre des Rêves d'acquérir ce nouvel effort du Grand Cirque. Sans doute y a-t-il ici une raison plus basique que mystique : Dream Theater fut un pionnier, Circus Maximus est un suiveur.
Mais quelque soit la raison, le phénomène est tout à fait regrettable. Car en effet : Circus Maximus n'a rien à envier à son glorieux ainé, pis : il fait aujourd'hui bien mieux que lui dans le genre Métal Prog FM.
On avait déjà senti (quoique cela ne soit pas traduit dans les notations du site) l'énorme potentiel du groupe sur ses premiers albums. "The First Chapter"" était trop foutraque,"Isolate" trop linéaire, mais tout deux laissaient percevoir d'incroyables talents techniques et mélodiques.
Ce troisième album n'est ni plus ni moins qu'une consécration, la réalisation de toutes les promesses faites depuis 7 ans. Tout est à sa place, plus rien ne déborde, l'énergie est canalisée, les genres sont maitrisés, les variations plus subtiles, les arrangements parfaitement ajustés : on touche à l'excellence.
On peut difficilement attribuer la plus haute note, car les titres ne présentent que peu d'originalité, mais un 8/10 n'est absolument pas volé.
Il n'y a plus qu'à espérer, selon la formule consacrée, que le groupe ne nous fasse pas attendre 5 ans de plus pour une prochaine livraison, et qu'il puisse insuffler à sa prochaine production l'ultime étincelle de génie que les très grands groupes savent trouver.
En attendant, souhaitons que ce "Nine" leur apporte un succès le plus large possible, ce serait amplement mérité !
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Nostalgiques d' "Images And Words" de Dream Theater, foncez sur cet opus en tous points remarquable !
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J'ai bien accroché à cet album qui puise une bonne part de sa réussite au métal mélodique. Album fortement addictif au début mais qui sur la longueur peut provoquer une lassitude qui m'empêche de mettre un point de plus. Une vraie réussite à ne pas manquer. 7.5
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Je me positionne ici en totale désaccord avec mon camarade : "The First Chapter" était à l'époque et est toujours aujourd'hui un disque très réussi. Bien entendu, l'originalité semble parfois en berne, mais le groupe a déjà une identité perceptible, qui ira en s'affirmant sur l'album suivant. Sans aller jusqu'à parler de chef-d'œuvre, il est indéniable que le groupe exhibe ici des qualités techniques et mélodiques fortement appréciables ; le titre épique par exemple, exercice incontournable (c'est le genre qui veut ça), s'il perd un peu en intensité par moments, contient tout de même son lot de moments épiques. Même remarque concernant l'instrumental "Biosfear", qui rappellera de bons souvenirs aux fans de LTE et consorts... Pas fondamentalement indispensable, mais une addition recommandée à toute collection de métal progressif...
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