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La formule commence a être (un peu trop) connue avec son heavy mélodique speedé, Riot enchaîne les albums sans véritable nouveauté. Si j'avais longtemps rêvé ce retour du groupe dans la veine du mythique "Thundersteel" (1988), depuis la mort de son emblématique guitariste (R.I.P. Mark Reale), je n'attends plus un nouvel album avec la même impatience, le groupe semblant désormais ne plus sortir d'une certaine routine musical. Reste qu'une fois la galette dans la platine, l'efficacité est toujours présente, compositions accrocheuses, mélodies endiablées, chant de tout haut vol, le tout servi par une production puissante mettant chaque instrument en valeur. Il n'y a rien à dire sur le fond pour qui aime le genre, ça reste du tout bon et la variété des morceaux font passer ce disque tout seul. "Mean Streets" est objectivement très bon et fait honneur à la discographie du groupe. Finalement, il n'y a que ce côté conservateur qui me chagrine, Riot c'était, à l'époque de ses membres fondateurs, un groupe qui osait se renouveler et proposer un peu de nouveauté à chaque album, ce que le groupe n'ose plus faire depuis quelques albums. Mais dans le fond, ce n'est peut-être pas plus mal. (3.5/5)
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"Narita" et "Fire Down Under" sont bien loin de cet opus pauvre en mélodies où seulement deux titres émergent du lot.
On ne peut pas être et avoir été.
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Les mélodies de ce monument incontournable de l'époque continuent encore aujourd'hui de trotter dans ma tête. .. 'Altar of the King' , 'Don't Hold Back' ... et j'en passe.
Riot a largement gagné, avec cet album, son étoile sur le Sunset Boulevard des métalleux...
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Un album incontournable de plus ! Une des pierres angulaires du Hard Rock des 80's, un disque au souffle porteur.
Des mélodies inoubliables et une puissance de feu incontestable. Aujourd'hui encore, il soulèverait les foules s'il sortait en tant que nouveauté.
Reste à évoquer la pochette qui avait fait son petit effet à l'époque lors de sa mise en rayons. Rappelez-vous les présentations d'antan dans les boutiques spécialisées...affichage en façade...lorsqu'on entrait dans le magasin, la découverte faisait autrement frémir qu'une trouvaille dans des bacs à CD...
Mon royaume pour une machine à remonter dans le temps !...
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un superbe album et un titre prémonitoire !
Mark Reale est décédé le 25 janvier 2012 des suites d' une longue maladie qui aura eu raison de lui, l' homme nous a quitté, mais le leader et âme immortelle de RIOT aura marqué de son empreinte les plus belles heures du heavy metal, salut l'artiste.
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Un bon retour de Riot après deux opus franchement décevants ("Through The Storm" de 2002 et "Army Of One" de 2006). L'ancien line-up de Riot était à bout de souffle et Mark Reale a eu raisons d'opérer des changements en reformant le line-up de 1988 pour essayer de retrouver un souffle créatif.
Mais point de révolution musicalement : hormis les 2 premiers titres qui semblent sortir tout droit de l'album "Thundersteel", la musique de Riot reste dans la continuité directe des derniers opus du groupe, et ne dépasse pas le niveau qualitatif d'"Inishmore" (1998) et "Sons Of Society" (1999). On a effectivement trop souvent tendance à oublier que Riot a sorti une poignée d'albums très sympathiques durant les 90's. Ce "Immortal Soul" est exactement dans le même style de heavy mélodique que les opus de cette époque. Le son de guitare de Mark Reale étant notamment immédiatement identifiable, de même que son feeling.
Cela fait du bien de retrouver Tony Moore : il apporte plus de pêche et de personnalité au groupe grâce à son chant caractéristique, ce qui le distingue du sympathique mais très lisse Mike Dimeo, mais il peut rebuter certaines personnes à cause de ces intonations parfois un peu criardes. Mais quand on adhère, c'est du bonheur ! C'est donc un plaisir de retrouver un vrai bon album de Riot après 10 ans de diète !
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