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Racines 70's : oui. Prog inspiré et jouissif : oui. Lignes mélodiques intelligentes : oui. Arrangements soignés et jamais outranciers : oui.
C'est un peu brut, un peu habité, ça sent l'authenticité, on en redemande du rock progressif de cette qualité !
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Bien loin de partager l'enthousiasme de mon cher collègue, je trouve au contraire ce nouveau Beardfish bien peu inspiré, et en tout cas à des années lumières de leurs premières productions au sein desquelles le mot progressif prenait tout son sens, avec ce grain de folie qui confinait au génie.
Certes, le métal affreux de The Void a disparu (hormis sur un titre), mais l'ensemble manque singulièrement de saveur, avec quelques morceaux plutôt fades pour des oreilles progressives.
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Je me souviens bien, cela fait tout juste un an que j'ai découvert Beardfish, avec cet album ! Franchement ça a été une révélation pour moi, je suis instantanément tombé amoureux de la voix de Rikard Sjoblom et de ce style de progressif, absolument fabuleux, complexe sans prise de tête, un son dur mais pas "metal", des mélodies à tomber par terre... Il se bonifie au fil des écoutes, c'est pourquoi je ne lui accorde pas la note de 8, mais 9, comme leurs trois derniers albums ! L'un de mes 5 groupes préférés, assurément !
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Avec "The Void", Beardfish atteint la limite supérieure de ma tolérance à la violence musicale. Si la puissance dégagée par ces dernières compositions restent pour moi acceptable, elle nuit cependant à ma perception du pendant progressif de Beardfish, d'où une note en deçà de celles que j'ai attribuées aux précédents albums.
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C'est sans doute ce qui relève des sentiments partagés. On trouve de tout sur cet album, qu'il s'agisse des références stylistiques ou des aléas qualitatifs. Du Zappa, du Genesis, d'autres tendances un peu (beaucoup) tournées vers le hard. Et puis qualitativement, du bon et du moins bon. Pour un "Platform" et un "Green Waves" plutôt brouillons, déconstruits, sans orientation(s) émotionnelle(s) particulière(s), on aura aussi un "And the stone said...", un "Tightrope" très réussis, remplis à bloc de talents éminemment progressifs, ou un final "Without saying anything" situé entre deux eaux. Difficile de cautionner la production, mais il serait bien dommage aussi de jeter le bébé avec l'eau du bain.
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Je n'ai pas accroché. Trop confus, pas assez mélodique, un son souvent assez cru qui ne me parle pas.
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