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Du succulent Progressif....vraiment succulent....
Les pièces de guitare sont longues, léchées, bien rondes.
Le Clavier se joint divinement à la guitare et j'adore les voix de Brian et Erik.
Rien de révolutionnaire, mais que c'est juste et bon.
Toutes les pistes du disques sont d'un bon niveau qui donne à l'ensemble une grande cohérence. Asseyez vous dans votre fauteuil club et laissez votre cerveau vagabonder. P.... c'est bon.
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Curieux que cet album ne plaise pas plus aux amateurs de Néo-prog de ce site... Enfin, Prog-Résiste, le fanzine belge, en a fait tout de même un indispensable de son premier numéro trimestriel 2013 et ils ont bien raison. Autant, je n'avais pas été vraiment convaincu par leur premier opus, autant celui-là me séduit beaucoup plus. Certes, l'une des voix a un côté mielleux voir maniéré, mais cela sied finalement plutôt bien au genre (on pourrait faire le même type de reproche à Clepsydra ou Collage). Là, on a affaire à du bon Néo-prog comme on en faisait dans les 90's, claviers luxuriants (magnifique "Breathe"), voix mélodiques, refrains accrocheurs ("When Snow's Falling Down"), bref, un album qui est digne de figurer dans toute bonne discothèque des amateurs du genre.
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A peu près d'accord sur tous les points avec la chronique de Pete, même si sa note me paraît un tantinet sévère. Certes Silhouette ne réinvente pas le genre, mais les mélodies sont belles, amples, bien construites. Les claviers sont rois, tant mieux pour ceux qui, comme moi, préfèrent le piano et l'orgue à tout autre instrument. Les faiblesses tiennent surtout à un chant inégal (l'un des trois chanteurs est un cran nettement au-dessus de ses deux collègues) et à la longueur de l'album qui sur la fin tombe dans la redite. Un 7,5 bon poids !
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Même pas un problème d'époque : de nombreux groupes ont démontré que l'on pouvait encore faire du néo à la façon des années nonante, tout en produisant des galettes convaincantes.
Ici, la musique est sirupeuse, les compositions démesurément allongées et l'intérêt décline très rapidement. Bref, Silhouette n'a pas réussi à transformer les promesses entrevues sur les deux précédents albums, entrant de plain-pied dans la caricature habituellement dénoncée par ceux qui exècrent le néo, leur offrant sur un plateau le parfait exemple de ce qu'ils abhorrent.
Une vraie déception.
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A force d'être mielleux le néo de Silhouette en devient un peu indigeste ... Trop de sucre tue le sucre, et les compositions de ce nouvel opus regorgent de mélodies et d'ambiances sirupeuses. "Moods" était plus en finesse et c'est regrettable d'avoir l'impression que le rock de Silhouette régresse au lieu de progresser ...
En espérant qu'un prochain album les ramène sur un terrain moins collant ...
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Trimestre riche en productions hollandaises de qualité. Semestre plutôt, car beaucoup de ces albums, bien que paru avant l'été, sont sans doute parvenus chez nous à pied plutôt que par véhicule à moteur, ils ont donc pris leur temps. Mais tant mieux, au moins il ne se sont pas abîmés sur des routes truffées de nids de poule !
Après les excellents Mangrove et Knight Area, après le très honnête Leap Day, voici donc le deuxième album de Silhouette. Le premier album ne m'avait pas convaincu au point de l'acheter, ce n'est pas le cas ici.
Silhouette c'est donc du pur néo qui n'a pas été faire un tour chez nos amis hardeux. Nous sommes ici dans le pur prog symphonique et on peut remercier ces hollandais rétro de nous rappeler que seul le plaisir compte. Peu importe que la musique sente bon les années xx's (celles que vous voulez) du moment que les musiciens et les auditeurs apprécient.
Une remarque tout particulière pour signaler le livret de Henry van Veenendaal, on aime ou pas ce style, moi j'adore. Pour info, il a réalisé les livrets récents de Leap Day et de Us.
PS : pourquoi 7 ? parce que ce n'est pas l'envie qui me manque de mettre 8, mais il faut savoir être raisonnable, ne serait-ce que pour le chanteur qui euh, enfin "chante". Dans ce cas, comme le lecteur ne peut pas mettre 7,5, il met 7.
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