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Un premier album incroyable d'un groupe tout aussi incroyable... Rien à redire mis à part qu'il s'agit d'une magnifique petite bombe de Hard FM!!!
Le point fort de cet album est surtout qu'il n'a pas de point faible ( oui ça peut paraître paradoxal...). Il est complet de bout en bout et je n'ai qu'une quand j'ai fini de l'écouter, c'est de le réécouter!!
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Une petite bombe ! Que ceux qui ne connaissent BON JOVI que par leurs récentes livraisons, se donnent la peine de jeter une oreille sur les deux premiers albums du groupe, et sur ce premier effort en particulier. En effet, avant 1986 et avant que BON JOVI ne devienne une usine à tubes avec l'excellent lui aussi, mais plus commercial, "Slippery When Wet", ce groupe du New Jersey pratiquait un Hard FM d'une qualité et d'une énergie rare (pour du Hard FM bien sûr !). Par exemple, je me souviens d'une anecdote. A la sortie de "Keep the Faith" en 1992 (et l'explosion du groupe en France notamment grâce au single "Bed of Roses"), ma petite amie de l'époque aimait bien ce dernier album. Quand je lui ai prêté le premier CD de 1984, elle me l'a vite rendu car c'était trop "violent" pour elle. Cela peut prêter à sourire pour nous, metalleux, mais il faut se mettre dans l'esprit que ceux qui sont habitués à n'écouter que ce qui passe à la radio, il ne leur faut pas grand chose pour les faire fuir : j'ai déjà entendu certains, dire que EUROPE ou MOTLEY CRUE, c'était du bruit ! Si si ! Bref, je ferme cette parenthèse montrant que tout est relatif, et surtout pour vous persuader que le premier BON JOVI gagne à être connu (et aussi pour dire que depuis, je ne sors qu'avec des metalleuses, elles sont plus belles et plus sexy de toute façon) ! Pour la plupart, vous ne connaissez que "Runaway", que le groupe reprend toujours sur scène. Si vous aimez ce titre, vous aimerez le reste car l'album est à l'image de "Runaway" : rythmiques assez rapides ("Burning for Love", "Shot Through the Heart") ou Heavy ("Roulette"), soli de guitare courts mais rageurs, synthés judicieux, refrains soignés... Jon Bon Jovi (le petit chouchou de nos amies les côtelettes avait les cheveux longs à l'époque, comme tous les membres du groupe) apparaît également, dès ce premier essai, comme un grand chanteur et il aime bien de temps en temps pousser une petite gueulante ("Breakout", "Get Ready"). Il y a même la ballade de rigueur (ce qui prendra un peu trop de place plus tard chez BON JOVI) en la personne de "Love Lies", qui elle, n'est pas mièvre comme certaines. L'album suivant, "7800° Fahrenheit", un an plus tard, sera dans le même style, mais un peu plus inégal, et cependant injustement mésestimé de nos jours. Comme quoi, il y avait une vie avant "Slippery When Wet".
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Écouté à reculons, mais écouté quand même grâce à la critique de Lolo, je dois dire que je n'avais plus eu dans mes écouteurs un Bon Jovi aussi addictif depuis des décennies. Après tout n'est ni bon, ni jojo; les soli de guitare de Sambora manquent cruellement; et on se perd à chercher du Bon Jovi! Mais on y trouve du très bon Chris Isaak, Bryan Adams, Coldplay; avec même une touche technorock hyper efficace et pas mal de mélodies imparables. Bref j'ai succombé car pourquoi bouder son plaisir quand il est aussi intense !
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Bon, autant j'avais chouiné avec l'album précédant, autant là je reconnais qu'un certain souffle d’antan a été retrouvé.
Les hits sont de retour, le Hard Rock aussi.
Voir s'éloigner Springsteen, U2, Coldplay et réapparaitre les élans mélodiques passés, voilà qui fait plaisir !
Bien joué blondinet.
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sublime successeur du mega carton slippery... bonjovi a muri et se tourne vers un son plus moderne et rock au lieu de reservir un slippery bis. coup de maitre.
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l'explosion du hard FM arrive et cet album fait partie des pièces à posséder. Un Must du genre
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