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Je n'ai jamais accroché a Darkwater, mais la ... cette voix, interpretation parfaite, compositions généreuses melodiquement sur un fond noir et lourd. Bravo.
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Je suis partagé entre ces 2 dernières critiques et celle de notre chroniqueurs. La production est bien foutue ? Oui excellente, et hélas je dirais. Cette prod est trop monocorde, sans nuances et toute en énergie, d'où cette sensation "d'électroencéphalogramme plat". C'est beau oui, mais fatiguant à la longue. Depuis le temps que je lutte contre cette maudite compression des grosses productions, et c'est vraiment regrettable. Car les compos sont paradoxalement désservies par ce rouleau compresseur. Et elles sont belles ces compos justement, les mélodies sont imparables, les rythmiques ciselées comme je les aime. C'est pour cela que je suis ce groupe et pas d'autres dans le même style. Je ressens les mêmes vibrations émotionnelles qu'avec un bon album de Threshold. Il y a de la matière, et c'est dommage de passer à côté. Après on aime ou pas, c'est une autre histoire.
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Complètement d'accord avec OBracer... Je n'aurai pas dit mieux. L’encéphalogramme est (presque) plat, avec le minimum syndical, et beaucoup de clichés... Bref, une déception...
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Le son est là, les musiciens aussi, la voix, les claviers .... tout y est ! Et pourtant .... il manque quelque chose. L'inspiration, l'inventivité, la création ? Probablement. Toujours est-il que la déception est grande à l'écoute de ce tant attendu Where Stories end. Aussi grande que la claque du précédent album était monumentale. Là où rien n'était prévisible sur Calling The Earth To Witness, ici pas (ou peu) de changements d'ambiance, aucun break digne de ce nom, une linéarité peut-être dictée par quelque sirène mercantile, et l'absence de magie épique d'un Habit qui a lui seul pouvait justifier une note de 9.0 à l'opus de 2007 ...
Certes, on est pas là pour refaire la Chro de Calling The Earth To Witness, mais il faut bien reconnaitre que ce dernier album ne lui arrive pas à la cheville. Des compos comme The Play, Again, Habit (j'y reviens, et pour cause !) avaient non seulement une originalité d'écriture et une identité musicale unique, mais elles offraient une varité d'émotions et une réelle intensité céative. Ici, à l'exception de Why I bleed (seul titre à plus de 7 minutes quand en 2007 un seul ne les atteignait pas) on ne retient de chaque morceaux que la frustration d'un manque de développement, un goût d'inachevé en somme.
Oh, bien-sûr Where Stories End reste un très bon album de de Heavy Prog, qui mérite une note honorable grâce à une production excellente et un talent collectif fait de technicité et de feeling. Mais désolé, j'attendais beaucoup mieux qu'un 4ème album d'Harmony (la double pédale en moins). Where Stories End "Où les histoires finissent" : c'est bien ce que je crains.
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