|
|
|
Comme la majorité d'entre vous, j'ai eu du mal avec les deux premiers singles. Pourtant je suis un fan de longue date de Luke. Je ne voyais pas où il voulait en venir. Puis j'ai compris l'idée du titre, faire un pont entre son travail solo et Toto.
J'ai fini par acheter l'album et pour moi il est bon. Il est même plus inspiré que son prédécesseur rempli de reprises. Là où la ballade 'i found the Sun again' m'avait laissé dubitatif, 'All forevers must end' est une superbe réussite, le court solo m'a presque tiré une larme.
Les deux singles sont finalement les titres les moins intéressants. Le reste m'a permis de retrouver le groove, l'insolence, l'énergie et l'inspiration de Luke. J'ai dû juste me faire à son étonnante concision. Même le blues proposé ici surpasse les derniers exercices similaires en solo ou dans Toto (les poussifs et jumeaux 'Creep motel' et '21st century blues).
J'ai bien fait de multiplier les écoutes et de prendre patience car cet album a fini par me révéler ses atouts.
|
|
|
|
|
|
|
Au contraire de Mr Blue je trouve cet album très réussi dans sa globalité. Il est le signe d'un Steve Lukather épuré, aminci et désireux de renouer avec un rock plus brut très inspiré par son maître Jimi Hendrix. Candyman était plus porté sur le rock West-Coast avec beaucoup de très bon titres. Luke est très différent mais il donne à voir une facette de Lukather très attachante et très aboutie. Note: 8.5/10
|
|
|
|
|
|
|
Alors qu' Ever Changing Time m'avait enchanté dès la première écoute, ce nouvel album m'a bien déstabilisé. Les premières écoutes semblaient bien décevantes. Comme une impression que Lukather ne va pas bien et qu’il contamine tout l’album de sa souffrance ! En dehors des plus colorés «On My Way Home», «You’ll Remember» très catchy et dans une veine Steely Dan, les autres titres rappelaient beaucoup l’album Luke et son esprit "chansons à texte sans grands reliefs". Seul le final «Tumescent», un instrumental fusion dans la pure veine d’un «Party In Simon’s Pants» me semblait familier du grand guitariste. Et encore, son côté expéditif en bout d’album sentait l’arnaque. Mais force est d’avouer qu’au fil des écoutes, des titres comme «Darkness In My World», la poignante «Don’t Say It’s Over» ou encore «Brodie’s» révèlent un gros potentiel. Non seulement les titres vous touchent mais leur authenticité, leur profondeur vous garantie une attention toujours aussi vive lors de l’écoute. Moins varié et dynamique que son prédécesseur, mais plus investit et personnel, ce nouvel album mérite terriblement que l’on s’y attarde. Une grande réussite ! PS : le pont musical des 2’40 sur «Flash In The Pan», éblouissant de technicité, d’extrême coordination et de feeling rappelle à quel point Lukather est dingue, et ça fait du bien !
|
|
|
|
|
|
|
Une grande leçon de la part de ces deux guitaristes ! Je vous conseille le DVD du New Morning car on peut vraiment se rendre compte de l'alchimie de ces deux musiciens et surtout l'immense respect de Luke pour Carlton quand celui-ci joue sa partie.
|
|
|
|
|
|
|
En tant que grand adorateur de Luke le personnage et le guitariste (et même la Music Man du monsieur qui reste mon meilleur instrument) je suis conquis par cette chronique qui rend hommage à ce disque. Des musiciens de grand talent et de belles compositions sont les deux arguments de cet album très particulier.
|
|
|
|
|
|
|
Nuno777 explique très bien tout le bonheur et le bien être que l'on ressent à l'écoute de cet album. Ce n'est du prog ? Et alors, quand la musique est bonne, comme disait l'autre.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Haut de page
|
|