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Les avis semblent assez unanimes, cet album est bon, voire très bon. Ça fait plaisir de voir le groupe à ce niveau après tant d'années. Bravo en particulier à Rob, sa voix semble ne pas connaître le poids des années, et à Faulkner, qui confirme qu'il est un grand guitariste mais surtout un grand compositeur.
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La chronique est élogieuse mais en deçà à mon sens de la qualité de cet album qui crée le buzz depuis sa sortie. Sincèrement qui est capable de sortir un album d'un telle volée après 50 ans de carrière ? Sabbath, Maiden, Metallica, Saxon et j'en passe ? Non Je ne parle pas de Kiss et de Motorhead dont les derniers albums sont ratés, groupes que j'aime beaucoup !
Pour en revenir à Judas, après du heavy typique à la Freewheel Burning, l'album prend un virage plus mélodique qui m'a rappelé Point of Entry, certains titres de Screaming et même Turbo. Rob Halford a une voix démoniaque sur cet album - arrivera t'il à passer le cap du live sur certains titres comme Panic attack ou The Serpent and the King?
Quant aux riffs et soli très travaillés, ils sont très bien pensés.
Plus l'album avance et plus l'impression d'écouter un disque qui fera date, me taraude.
Ce ne sont pas les 3 bonus tracks (concept dont je n'ai jamais été grand fan) qui me contrediront avec l'excellentissime The Lodger.
Si l'on y ajoute une section rythmique de feu, une très belle et conquérante pochette et une production parfaite pour Judas, on, se dit que le Heavy Metal n'a pas son dernier mot
Certes on n'est pas au niveau des albums mythiques de années 70/80 et même Painkiller mais dieu que celà fait du bien !!!
The Priest is Back
Pochette 9/10
Production 8/10
Note réelle (qui peut évoluer avec le temps) 9/10
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Attention ! Album indispensable à posséder absolument ! Voilà, la chronique est finie ! Non ? Bon, OK, je vais vous en parler plus en détails pour vous convaincre de l’avoir dans votre CDthèque si vous ne l’avez pas encore.
Tout le monde connaît JUDAS PRIEST, au moins de nom. Depuis le milieu des années 70, ce groupe anglais est une référence dans le monde du Heavy Metal, initiateur notamment de l’imagerie cuir et clous. Au début des 80’s, JUDAS PRIEST sort des monuments du Metal, avec des albums comme « Screaming for Vengeance » ou « Defenders of the Faith ». Mais, dans la deuxième moitié des 80’s, la bande à Rob Halford sort « Turbo » (en 1986), un album déroutant pour l’époque, avec des synthés qui adoucissent le son du combo. Deux ans plus tard, « Ram it Down » démontre que JUDAS PRIEST n’est pas mort, il suffit d’écouter le title-track ! De plus, durant cette période, JUDAS PRIEST est confronté à un effroyable fait divers. En effet, en 1985, un charmant jeune homme américain du nom de James Vance et un de ses potes, ont une brillante idée : se faire sauter la tête avec un fusil de chasse. Le problème, c’est que James Vance en réchappe, complètement défiguré (on est pas loin d’Elephant Man !) et accuse JUDAS PRIEST (groupe dont il était fan) de l’avoir poussé au suicide, en entendant des messages subliminaux dans certaines chansons. Quelques temps plus tard, le jeune mourra d’une surdose de médicaments (hum...) et un procès retentissant voit le jour... qui devient vite le combat de l’Amérique puritaine contre les idées subversives du Rock et du Heavy Metal en particulier. Heureusement, le verdict est rendu en faveur du groupe, les jurés n’ayant pas réussi à trouver des messages subliminaux (si en fait un dans « Exciter », ça donnait : « je veux un bonbon à la menthe » !) et surtout, il ne fallait pas avoir le QI d’Einstein pour se rendre compte que le garçon avait bien d’autres problèmes psychologiques... bref, la rengaine habituelle (si cette histoire vous intéresse, je vous conseille de regarder le documentaire qui avait été diffusé à la TV, appelé « Dream Deceivers » : http://www.youtube.com/watch?v=eDsv_oG3KWY). Alors, je ne sais pas si c’est ce procès qui en est responsable, mais ce « Painkiller » est l’album le plus agressif du PRIEST ! Déjà, un punch certain est apporté par l’arrivée de Scott Travis à la batterie... il suffit d’écouter l’intro magistrale de « Painkiller ». Ce morceau est tout simplement le plus grand hymne du Metal jamais composé ! Dans cette chanson, il y a tout : une batterie qui claque comme un marteau sur une enclume, un rythme infernal, des guitares plus qu’agressives (headbanging assuré), la voix hurlée de Tata Halford, des soli qui n’en finissent pas... Bref, à quelqu’un qui ne connaît pas le Heavy Metal, je lui fais toujours écouter cette chanson bien représentative ! Le reste de l’album est sans faille, avec des titres rapides (« All Guns Blazing », le furieux « Metal Meltdown »), des compositions plus Heavy, bien martiales (« Leather Rebel », « Hell Patrol »), du Heavy imparable et entêtant (« Nightcrawler »), le repos du guerrier avec « A Touch of Evil », morceau très Heavy et mélodique, un peu dans la lignée du magnifique « Blood Red Skies » présent sur l’album précédent... enfin, bref, que du tout bon ! pas de véritable ballade par contre, mis à part la très courte intro de moins d’une minute (« Battle Hymn ») d’une beauté sans mesure...
Vous l’aurez compris, cet album est sans faille, certains ne s’en sont toujours pas remis. Alors, moi, je n’ai pas peur de vous le dire : à l’envers ou à l’endroit, cet album tue !
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Un album que j'ai d'abord mal jugé, mais dont le début vaut cependant la peine avec quelques belles pièces de heavy metal. Malheureusement, il s'essouffle sur sa seconde partie pour finir par laisser un sentiment d'ennui.
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Judas Priest était attendu au tournant après un Point Of Entry somme toute assez moyen. Les grands prêtres du Heavy Metal (avec un grand M) ont su admirablement négocier le tournant, en livrant un des plus grand disque du genre. Tout bonnement indispensable.
8.5
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Selon moi, l'un des tous meilleurs albums de hard rock/heavy metal de tous les temps. Tout simplement. Il est vrai que j'ai un rapport affectif particulier avec cet album qui a tourné quelques milliers de fois dans mon Walkman à cassettes de l'époque. Mais quand même... D'emblée, difficile de se remettre de la claque sonore qu'on prend avec l'enchaînement The Hellion/Electric Eye. Et ça continue. Les tubes se succèdent impitoyablement, bourrés de riffs tueurs, de solos inspirés, de refrains entêtants, de mélodies à vous donner la chair de poule. Le travail sur les sons de guitare est remarquable. Les musiciens s'éclatent et ça s'entend. Je lance donc un appel aux plus jeunes d'entre nous qui ne connaitraient pas encore cet album, moi qui ne le suis plus vraiment, pour qu'ils découvrent au plus vite ce monument du Métal. Bien sûr, cet album, avec ses 28 ans, n'a pas une qualité sonore équivalente aux albums actuels. Malgré cela, je vous garantis qu'il n'a pas fini de tourner sur vos Ipod.
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