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Trust continue sur la même lancée que le précédent. Il n'y a plus l'effet de surprise.
Les riffs sont bons, omniprésents. Le son envoie du lourd. Bernie assure au chant. Les textes sont peu tranchants.
Ca s'écoute avec plaisir, grosses guitares, la rythmique qui assure.
Bon album.
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Très grand fan de Trust, mais ce mini-album a très peu d'intérêt.
2 nouveaux titres: musiques faibles et textes inintéressants. Pour une fois (la première?), les paroles ne sont pas dans le livret. Est-ce un aveu de faiblesse?
2 nouveaux titres traduits en anglais: nul!
3 reprises: "Good time" (très bon), "Paint it, black" (moyen) et "Petit Papa Noël) (amusant, sans plus).
1 live: "Surveille ton look" > excellent. Ce final en accélération est formidable.
Bref, à écouter pour les fans, à laisser tomber pour les autres.
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Très bon album, excellente surprise. Comme tous les fans, je n'aurai jamais imaginé Trust sortir un album avec une telle pêche près de 40 ans après leur premier opus.
La guitare est omniprésente. Il y a des riffs, des solos, du gros son, tout ce qu'aiment les amateurs de Trust.
Les chœurs féminins sont très agréables et apportent de la jeunesse et du fun dans les titres.
Je mets de côté 1 étoile car j'accroche peu sur les textes.
Bravo Trust! Merci pour ce 9ème album!!!
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Je trouve cet album très bon.
Il est rock, brut de décoffrage, avec beaucoup de fun. Il alterne les titres rapides et lents. Il dure le temps d'un vinyle (45 minutes). Je ne m'ennuie jamais quand je l'écoute. C'est l'album que j'écoute le plus, juste derrière "L'élite", "Répression" et "Marche ou crève".
J'admets une réserve sur les textes, car à part pour "Môrice" où Bernie manie l'humour et l'agressivité avec succès, pour le reste, il est énervé mais je ne comprends pas précisément sur qui ou quoi.
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Chroniquer le dernier Trust : aie aie aie. Cet album est un appel à la réflexion : à qui appartient la musique ? A ses compositeurs ou au public ? Des artistes ayant acquis un certain statut peuvent ils disposer comme ils l’entendent du style qu’ils ont créé, des rêves qu’ils ont fait naître auprès de leurs fans ? Peuvent ils décider qu’après tout c’est leur vie, leur inspiration et qu’ils sont donc libres de leurs choix. Cette question, je me la suis posé, en autre, en 1991 avec le « Black album » de Metallica et en 1996 à la sortie d« Europe & Haine ». En 2008, Trust continue dans la voie tracé avec ses 2 précédents opus : il tourne le dos à sa légende passée et se fabrique une nouvelle histoire. En effet, ce nouvel album, joue encore plus à fond la carte de la diversité et de l’ouverture d’esprit. Nous sommes là assez loin de ses bases blues rock / Hard rock, pour évoluer dans un univers très moderne et bien plus métissé. Le résultat ? Passé la première douche froide, force est de constater que le son est énorme et que les compositions se tiennent bien. Au niveau du son, bien plus que l’utilisation d’un DJ, assez discret, c’est la sobriété des guitares qui saute aux oreilles. A aucun moment, Nono ne fait parler la poudre. Il se contente de souligner et d’accompagner le chant de Bernie qui se taille la part du lion. C’est en effet ce dernier qui sort « grand vainqueur » de cet album. Ces textes et son interprétation (« Que Serais-Je Sans Moi ? ») sont indéniablement les points forts de « 13 à Table ». Ces textes qui ont toujours forgés l’identité de Trust, sont là encore présents, quoique que moins immédiats et faciles d’accès que dans les années 80. On a donc là un panel de paroles faisant état de bons sentiments et d’une conscience sociale assez « sage ». Les craintes que l’on peu avoir à l’écoute des paroles… un peu faciles, du single (« Toujours Parmi Nous ») ne sont cependant pas justifiées. Pour ce qui est de la musique, exit le Hard Rock. Trust nous présente, une palette très variée, allant du rock musclé (« Promesse osée », « Tout est à tuer »), aux ballades plus ou moins rapides (« En apparence », « La morsure »), en passant par des titres aux sonorités plus modernes (« Après Les Hymnes »). Le très bon (« Vae Victis » et son intro en forme de dialogue, « En Apparence », « Promesse Osée ») côtoie le plus dispensable (« Black Blanc Beur », « Des Mots »), mais l’ensemble est de bonne facture. Quid de la reprise piège, « Surveille ton look » ? Force est de constaté que l’essai est plutôt réussi. Trust a, à partir de ce classique, quasiment créé une nouvelle chanson (un peu comme ils l’avaient fait en 1988 avec cette même chanson lors d’un de leurs nombreux come back). Le résultat est assez plaisant et suffisamment différent de l’originale pour que l’on n’ait pas envie de crier au sacrilège. En conclusion, un album plus que correct et courageux pour peu que l’on ait un tout petit peu d’ouverture d’esprit.
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Quand on a été fan de la 1ère heure de Trust, il n'est pas forcément facile d'entrer dans ce nouvel univers, moins hard, plus rock tout simplement, voire légèrement rap, avec la présence d'un DJ, qui m'a d'ailleurs fait avoir quelques réticences vis à vis de cette nouvelle formation. J'ai quand même été agréablement surpris par cet album, une bonne dose de rock et de blues, des paroles à la Bernie et des titres qui marquent l'album tels Epistémophilique, Vae Victis, Surveille ton look ou La morsure.
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