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Voila effectivement un album qui demande quelques écoutes pour vraiment entrer dedans. Anasazi nous délivre une solde prestations, avec des titres qui font montre d'une belle puissance, mais toujours mélodique (l'enchaînement classieux des titres 7 e 8). Mathieu Madani dispose d'un timbre de voix particulier, qui donne une vraie originalité, pour ne pas dire personnalité, au groupe. Sur les titres les plus accrocheurs, on pourra juste reprocher quelques riffs de guitare qui traînent en longueur. Finalement, c'est dans les titres les plus calmes qu'Anasazi se montre le moins à l'aise, comme si ce n'était pas son terrain de jeu : Once dead est d'un ennui mortel, sans jeu de mot, et The Second Before est juste irritant. Mais tout cela reste de très bonne facture, et en tant que composition hexagonale, mérite tous nos encouragements.
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Quelle belle surprise que cet album. Il va encore plus loin que Playing Ordinary People en terme de compositions plus recherchées et plus nuancées. Les morceaux tombent sous le sens et m'apparaissent plus accessible que sur le précédent album. La production et le mix permettent à cet album de prendre de l'ampleur. La rythmique est fantastique, on entend bien la basse de Christophe Blanc Tailleur et la frappe précise de Jean Rosset notamment à 3'35 de Drop Dead Silence où tout s'accélère encore plus, la montée en puissance du titre éponyme est bien amenée. Je rejoins la chronique de cet album dichotome : une première partie qui décape les oreilles avec un métal prog raffiné, recherché et sans démonstration dégoulinante (non je ne citerai pas DT) et puis doucement l'album revêt un aspect plus Rock/Pop qui va très bien à anasazi. Et que dire de la voix de Mathieu reconnaissable entre mille et de ses solos de guitare qui interviennent toujours au bon moment, brefs et juste qui titille l'écoute. Quelle technique ! Pourquoi pas 5 étoiles, parce que elles sont réservées au prochain. Bravo.
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Tout à fait en phase avec la chronique de ProgRacer. Autant les 2 premiers titres (je passe l'intro) ne m'ont guère interpellé, autant les titres suivants, plus riches, plus subtils, méritent le détour. Je n'ai qu'un regret : qu'un groupe français ne chante pas en français. Nemo le fait bien, lui, et j'apprécie de ne pas devoir me creuser la tête pour comprendre le sens des paroles.
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