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Album PHIL COLLINS DANCE INTO THE LIGHT PHIL COLLINS
DANCE INTO THE LIGHT (1996)
ATLANTIC RECORDS
POP
5/5
DARWINWILD
26/05/2019
 
40
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Sortie de son introspection avec "Both Sides" et surtout en ayant fini avec Genesis il nous revient avec un album plus chaleureux et rythmé que le précédent.
Il nous amène de l’exotisme et nous fait voyager à travers des titres aussi riches que variés avec le retour des cuivres et des percussions.
Ici Harry Kim est utilisé d'une bien meilleure façon qu'auparavant avec une vrai richesse mélodique, ne se contentant plus simplement de tapisser ou combler un vide mais d'apporter un vrai truc en plus.
L'album est plus varié que le précédent et nous propose des titres latin-pop, urban-pop mais aussi pop traditionnelle de grande qualité.
si je devais vous conseiller quelques titres afin de mieux apprécier cet album ou le découvrir ce serait "dance into the light", "wear my hat" et "river so wide".

Je lui préfère son prédécesseur mais il fait tout de même parti des bons crus de l'artiste, enfin c'est mon avis personnel.

Album PHIL COLLINS BOTH SIDES PHIL COLLINS
BOTH SIDES (1993)
WEA
POP
5/5
DARWINWILD
26/05/2019
 
40
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"Both Sides" lance ce que l'on pourrait appeler la seconde période de la carrière solo de Phil Collins où il semble vouloir définitivement laisser de coté ses racines Genesiennes pour nous proposer un album introspectif partagé entre calme et rythme d'où le nom de l'album.
Il nous montre ici deux facette, celle d'une âme fragile et sensible mais aussi celle d'un bon chanteur de pop rythmée et plus groovy.

Pour ma part c'est le meilleur où en tout cas mon préféré car ici fini les déluges orgasmiques d'Harry Kim et ses cuivres façon big-band mais de la simplicité et une musique plus recentrée sur l'essentiel.
Si je devais conseiller quelques titres pour mieux appréhender et apprécier cet album ce serait "everyday", "both side of the story" et "we wait and we wonder" mais le reste est tout aussi bon je trouve.

Album PHIL COLLINS FACE VALUE PHIL COLLINS
FACE VALUE (1981)
VIRGIN
POP
4/5
REALMEAN
21/03/2016
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J’ai gardé un attachement particulier pour le premier album solo de Phil Collins, qui préfigurait ce qui aurait pu (ce qui aurait dû ?) rester le style de l’artiste sur la durée, un rock tout à la fois sombre et apaisé, avec la modernité d’une production sonore chirurgicale mais haut de gamme, riche en variations ambiantales et rythmiques de toutes sortes ('In the Air Tonight', 'The Roof is leaking', 'Droned', 'Hand in hand'), une mélancolie parfois très profonde au travers de compositions en apparence anodines ('This must be love', 'You know what I mean'), et de sympathiques dérivatifs génésiens (à contrario d’Abaddon, j'adhère à la relecture enjouée de 'Behind the Lines' ; et la malice des chœurs de 'Thunder and Lightning' n’aura pas échappé aux connaisseurs de cette époque du trio. Duke is inside !). Cerise sur le gâteau, je suis toujours resté sous le charme du couplet désinvolte et bondissant de 'I’m not moving'. Il y a de petites choses comme ça qui ont l’air insignifiantes, et qui pourtant ont l’effet d’un rayon de soleil.
2 albums excellents vont suivre encore, mais les quelques reliquats de l’esprit progressif hérité de l’aventure Genesis avec Phil en frontman, toujours en cours, s’épuiseront sur "Face Value".

Album PHIL COLLINS NO JACKET REQUIRED PHIL COLLINS
NO JACKET REQUIRED (1985)
WEA
POP
4/5
REALMEAN
21/03/2016
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'Sussudio', quelle impétuosité ! Ses drums électro me glacent encore le sang, et pourtant à l’époque, je n’étais pas spécialement adepte des instruments virtuels. 'Only you know and I know', quelle audace ! Avec un vocal et une cavalcade cosmique à dévorer la voie lactée. La collision de 'Long long Way to go' avec l’exalté 'I don’t Wanna know', un coup de maître… Et le reste du programme continue à se prendre lui-même en contrepoint, jusqu’au point final, enchaînant le désinvolte 'Inside Out' avec l’impérial et péremptoire 'Take Me Home', lui-même détrôné par le frêle 'We said Hello Goodbye' (absent sur le 33T), plus humain, sentimental et philosophe. Phil Collins décoche un album non commercial, entièrement construit sur une musique commerciale. Il fallait oser, mais le résultat est là, et le succès aussi. Une véritable pirouette en plein cœur des années 80, qui défait le mainstream sur son propre terrain et avec ses propres armes. "No Jacket Required", ou la guérison du mal par le mal. Chapeau, M. Collins. Si vous en ressortez un comme celui là, ou bien un autre "Hello I Must Be Going", please, Don’t Lose My Number !
Album PHIL COLLINS BOTH SIDES PHIL COLLINS
BOTH SIDES (1993)
WEA
POP
2/5
REALMEAN
10/03/2016
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"Both Sides" est nettement plus homogène que son prédécesseur, et au final, complètement soporifique - ou passablement, selon les humeurs. Comme quoi, un album réussi, c’est toujours compliqué. Si on ne savait pas où donner de l’oreille avec "But Seriously" qui égarait son auditeur au milieu d’un joyeux fourre-tout sans objectif fondateur, au moins, on pouvait s’occuper à trier le bon grain de l’ivraie. Avec les « Deux faces », on n’a vraiment qu’une seule face musicale, à moins d’admettre que le titre d’intro, épaulé de 'Survivors' et de 'We wait and we wonder', proposent le contrepoint philosophique symbolisé par le demi faciès ensoleillé de Phil Collins, que l’on découvre sur la 4ème de couverture du booklet accompagnant le CD. En tout cas, exit les excentricités de "But Seriously", les figures de styles, les cuivres envahissants. Phil est passé d’un extrême à l’autre… Avec toutefois, en marque de fabrique identifiable entre mille, un 'Everyday' occupant la 3ème position, exactement comme son frère jumeau de la galette précédente, 'Do your remember ?'. Même affectation, même rythmique, même état d’esprit, la mélodie a dû simplement inverser deux ou trois notes. Au crédit de "Both" on pourrait dire qu’il n’y a rien à jeter, que les 11 titres affichent tous de jolies mélodies, et pour les moyens techniques de l’époque, assurer seul l’interprétation, tous les instruments, l’enregistrement, la programmation des drums et le mastering, c’est plutôt admirable au regard du résultat. 2 étoiles, pour le coup, gagnées de manière ultra scolaire. Mais l’intention ne fait pas tout, et lorsqu’on focalise trop sur un concept, on en oublie parfois de se poser la question essentielle : quid de l’émotion ?
Album PHIL COLLINS DANCE INTO THE LIGHT PHIL COLLINS
DANCE INTO THE LIGHT (1996)
ATLANTIC RECORDS
POP
2/5
REALMEAN
10/03/2016
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L’ami Phil a dû m’entendre penser à la découverte de ses deux albums précédents : "But Seriously" était trop racoleur, et "Both Sides" copieusement ennuyeux ? Qu’à cela ne tienne : croisez les deux, et vous obtenez "Dance into the Light", l’album le plus commercial de Phil Collins. Et peut-être le plus mauvais. Les nouvelles influences ne changent pas grand-chose à l’affaire.
Comment ça, je ne suis jamais content ? Je constate seulement qu’il y a de tout sur cet album, et bien que rien de mauvais, rien de consistant, rien qui ne soit interprété avec conviction, rien qui ne corresponde à une volonté artistique clairement exprimée. En un mot, dispensable.

 
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