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Un jour par hasard, je vois un clip vidéo sur la TV, de loin... 3 silhouettes que je connaissais, une chanson à peine audible (j'étais dans un café peuplé)... je savais alors que a-ha était de retour ! C'est ainsi que j'ai découvert le single sublime Summer Moved On ; dans la foulée j'achetais le CD et retrouvais le frisson des années a-ha de mon enfance / adolescence.
Pour moi il mérite 4,99 sur 5 car c'est un retour réussi, à la fois mélodique et mélancolique comme seul notre groupe favori sait le faire, quasiment aucun bémol au niveau écriture, durée des chansons ou encore production. L'album a désormais 20 ans, et quelques... c'est incroyable... un de mes préférés !!!
La mauvaise note reviendra plutôt aux médias français qui persisteront à bouder le groupe, encore et toujours...
Merci pour votre review :-)
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Oui en effet, la chronique le rappelle, "Foot of the Mountain" avait été annoncé comme le dernier... et tel que je l'écrivais d'ailleurs dans celle de cet incroyable et magnifique album, paru en 2009.
Assidu parmi les assidus des norvégiens, je ne risquais évidemment pas de m'arrêter à la clôture fictive, et c'est avec un léger retard (et une curiosité certaine) que j'ai découvert ce "Cast in Steel".
D'accord avec la chronique, intégralement ou presque, à la nuance d'un goût prononcé pour 'Objects in the Mirror', l'un de mes favoris sur cette nouvelle livrée. Ecouter du A-Ha, me concernant c'est un rajeunissement positif, et "Cast in Steel" n'y déroge pas, après le retour fracassant du moderne "Minor Earth Major Sky" (quel album!), la romance enflammée et ensorcelante de "Lifelines" (quel album, bis!), la philosophie introspective et (ir)révérencieuse d' "Analogue", et la révélation (presque) finale de l'impérial "Foot of the Mountain" (l'album du real meaning...).
Ceci étant, "Cast in Steel" ne prolonge pas l'état de grâce de son prédécesseur, et bien que d'une qualité d'écriture solide dans son ensemble, avoue les limites de son potentiel inventif - 'The Wake' et 'Objects in the Mirror' sont très plaisants tous les deux, mais sont construits peu ou prou sur le même refrain.
Serait-ce l'album de trop ? Pas pour moi en tout cas, qui ai dévoré cette discographie avec un insatiable appétit, sans jamais trouver de véritable faux pas. A-Ha, l'album de la déception... ne viendra sans doute jamais !
A noter, pour les nostalgiques de "Foot of the Mountain", que l'édition double CD de "Cast in Steel" propose d'explorer également les coulisses du précédent album, avec différentes démo et versions alternatives. Et bien, vous voulez que je vous dise ? Le CD de l'album est certes addictif, mais le CD bonus fait beaucoup de bien, lui aussi ! .... à quand le prochain !?
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Un retour plutôt sympa avec un album où les titres addictifs côtoient les morceaux "oubliettes".
Mais il n'y a pas à mégoter, quand c'est bon, c'est bon.
Merci pour ce come-back anti-rides Messieurs.
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Je suis avant tout d'accord avec le chroniqueur : le groupe ne sait pas ou n'arrive pas à choisir entre aspirations pop "radio-friendly" et pleines d'optimisme (ce qui a fait la force de quelques-uns de ses précédents hits comme "Take On Me" ou "Cry Wolf" et qu'on retrouve ici dans la pop-bubblegum de "Touchy" ou "You Are The One". Pourtant cette dernière étant une plutôt bonne compo) et assauts romantiques et mélancoliques pleins de spleen bleu épique (comme les très grands moments de songwriting intense que sont "The Blood That moves The Body", "This Alone is Love", "Out Of Blue Comes Green", "Never a Forever Thing", "You'll End Up Crying" (qui, pour moi, est le pendant abouti de "And You Tell Me" sur le premier lp) et le morceau titre). Cette schizophrénie (qu'on retrouve un peu sur l'album de 2000 Minor Earth Major sky mais atténuée) mélodique et compositionelle désert gravement l'album ("Cold River" qui fut enregistré en 87 pour ce disque aurait du logiquement prendre la place d'un morceau comme "Touchy" - de loin, le morceau le plus faible de la Trilogie), mais, et c'est en ceci que mon avis diverge sensiblement, je trouve tout de même que le song-writing sur ce disque a une qualité moyenne plus élevé que sur "Hunting High and Low". Et mis à part réellement "Touchy" et "Hurry Home" (excellent début, mais atmosphère gachée par la seconde partie), aucune autre des chansons de cet album n'est vraiment mauvaise (ce qui n'est pas le cas du premier album où "And You tell me", "dream Myself alive" ou "Love is reason" - pourtant pas dégueu - font un peu tâche à côté de "lIving's.." ou "Here I Stand and Face The Rain"). C'est pourquoi, pour moi, cet album reste peut-être ("Scoundrel days" restant en piste) le meilleur lp de la Trilogie 84-88. Dont acte. Sylvain Courtoux.
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Le meilleur album de a-ha incontestablement. Celui-ci est passé sans arrêt dans mon radio-cassette, jusqu'à ce que la bande finisse pas s'emberlificoter dans le dérouleur. Les mélodies sont classieuses, inoubliables - ah ce "Manhattan Skylines" ! - et beaucoup plus abouties que dans l'opus précédent.
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Que de souvenirs avec ce "Hunting high and low". Je me souviens encore de ma découverte du morceau "Take on me" ; dans un magasin de fringues, en train d'essayer un jean. Le temps du lycée, des premières amours, Platini et le France - Brésil de 86 ... nostalgie quand tu nous tiens. A part ça ? L'album, que j'ai réécouté il n'y a pas longtemps, a bien vieilli, mais occupera toujours une place à part malgré tout. C'est non négociable.
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