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Après une très bonne première partie (jusqu'à 'Ascension') constituée d'un progressif parfois mystique, parfois atmosphérique, l'album s'enlise sur la fin dans une musique plus convenue, laissant l'auditeur sur un sentiment mitigé.
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J'ajouterais à cette brillante chronique de Peter Hackett que pour moi Comedy of Errors est devenu ce que Pendragon ou Arena aurait pu devenir sans honte musicale aucune, au fil des années 2000, s'ils ne s'étaient pas enfermé dans un style plus proche du metal prog que du néo-prog classique. IQ a continué à prouver que ce style persistait sans perte de qualité musicale par rapport au modèle dominant actuel, Comedy of Errors atteint ce même objectif.
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Cet excellent album est fait pour ceux qui comme moi (je l'ai déjà écrit ici) regrettent les virages tortueux et bruyants, quoiqu'un peu atténués dernièrement dans Passion, de Pendragon. Voilà donc l'album que Pendragon aurait pu sortir après Masquerade Ouverture si Barrett n'avait pas découvert qu'il pouvait se passer de Nolan ...
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Comedy Of Errors produit du néo-prog de qualité, mélodieux et rythmé, sans aggressivité déplacée. Les parties de claviers et de guitares foisonnent, les percus claquent, l'ensemble est très orchestral. La voix manque un peu de puissance, mais rien de rédhibitoire. Un Pendragon's like des années 90. 7,5.
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