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Bah, c'est un très bon album avec des sonorités modernes. Faut arrêter de vivre dans le passé... Cet album est magnifié en live, regardez le live à Edinburgh de 2015.
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Un album d'un niveau inespéré ! Aussi inattendu que rafraîchissant.
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Avec un peu de recul, il est permis de sanctuariser la quintessence artistique de Simple Minds, portée par le sommet de la vague des années 80. "Empires and Dance", "New Gold Dream", "Once Upon a Time", "Street Fighting Years", autant de fleurons à la fois uniques et emblématiques. A partir de "Real Life", l’inversion de la courbe est sensible, les écossais épuisent leurs dernières cartouches.
"Good News..." quant à lui déballe pêle-mêle ses rythmiques à gogo, ses claviers qui surnagent plus qu’ils ne s’accordent, des guitares électriques ravageuses ou qui tentent de l’être, des chœurs cherchant à magnifier ce que le vocal de Jim Kerr ne parvient plus à relever, tellement la charge de cavalerie est tonitruante et désordonnée. L’album ne sait pas s’il doit rester ancré dans la new-wave de la décennie précédente, ou s’il doit basculer dans le rock électro qui commence à sévir à l’aube proche du nouveau millénaire. Alors, il fait tout à la fois, au risque de noyer sa ligne de vie dans un magma sonore à la fois chirurgical, cristallin et indigeste. La trame mélodique est indigente, ou rapidement effacée. Pour contrer le déclin du succès et les défections successives, nos amis Jim et Charlie choisissent de foncer têtes baissées sans s’embarrasser de la stratégie ; mais c’est bien dommage, car si sur la forme, Simple Minds est toujours en vie, sur le fond, la musique a en pris un sacré coup. Une impétuosité intacte, et des tonnes d’effets, mais pour une émotion proche du zéro.
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Du Simple Minds en pilotage automatique. Les écossais jouent les prolongations marketing, au lieu de tenter quelque chose de nouveau. La new-wave originelle tire désormais vers la techno, mais le son manque cruellement de personnalité. On parvient néanmoins à ressentir encore quelques frissons, au détour des accents vocaux de Jim Kerr qui sans faire preuve du panache d'autrefois gardent tout de même leur singularité, avec cette indéfinissable frontière entre textures de velours et rocailleuse.
A noter que l'édition Deluxe de "Big Music" embarque 6 titres supplémentaires (dont une reprise de 'Blindfolded'), qui n'ont rien à envier à ceux du support original - et qui auraient même pu en remplacer certains, avantageusement : bien étrange que la production n'ait pas été plus clairvoyante, à moins qu'il ne s'agisse d'une livrée plus tardive et insuffisamment étoffée pour la création d'un nouvel album.
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Aux côtés de The Seeds of Love de Tears For Fears, un des albums incontournables de la décennie ... et de l'histoire du rock tout simplement !
Un hit intergalactique (Mandela Day), support d'une des grandes causes humanitaires de l'époque et des concerts anti-apartheid inoubliables, et le reste est à l'avenant.
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Fan du groupe depuis 25 ans, je suis également déçu par cet album. Ce n'est pas que les compositions soient mauvaises, au contraire, on retrouve de nombreux refrains accrocheurs comme le groupe en a le secret. Le problème, c'est la production: la batterie semble artificielle, électronique, jouant des rythmes parfois dangereusement proches de la techno. Quant à la basse, elle est souvent synthétique également. Cette production qui se veut moderne me fait penser à l'abum Cry de 2002, qui souffrait du même problème, et que j'avais détesté pour la même raison. J'ai largement préféré les deux derniers albums du groupe, Black & White et Graffiti Soul. Avec leur production beaucoup plus organique, mettant la guitare de Charlie Burchill bien en avant et faisant sonner la basse et la batterie comme de vrais instruments, ces deux disques parvenaient à ramener la magie de l'époque où j'ai découvert le groupe. Dommage que le groupe n'ait pas conservé ce son, les morceaux de Big Music en auraient largement bénéficié.
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