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Le dernier album de ce groupe texan avec une des plus belles voix actuelles. Plus rien de métal et pourtant classé comme tel... Une voix soul dans un écrin gothique, la suite logique de leur évolution. Enfin plus ces growleries hors de propos ni cette putain de double pédale qui pourrissait certains titres. En un mot, splendide.
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The Forsaken Creation, avec "Fragments", apparaît comme un premier aboutissement du cheminement musical de son compositeur, Eric Valley. Tout d'abord, parce que la qualité sonore a beaucoup progressé depuis les débuts (projet "Symphonia"). Ensuite, parce que The Forsaken Creation ajoute la dimension vocale portée par la chanteuse Anne-Emmanuelle Fournier, délivrant un éclairage puissant aux compositions d'Eric (ses trois premiers albums sont instrumentaux). La verve mélodique, quant à elle, reste au top niveau depuis l'envoûtant "Space Odyssey" : si vous avez aimé ce dernier, vous ne devez pas passer à côté de "Secret Lake", ni de "Fragments". L'album n'est pas très long, mais n'en délaisse pas moins l'intelligence de la construction : retardant volontairement sa puissance de feu, 'Anthem to the Ancient Word' entame un crescendo atmosphérique se prolongeant jusqu'à la partie médiane de 'Nemeton', qui libère alors sa saveur métal-symphonique, sous les envolées prédicatrices d'Anne-Emmanuelle. 'Sunset Gardens' donne ensuite forme aux inspirations orientalisantes d'Eric, annoncées précédemment en filigranes. Onirisme et rythmique sont tous deux au rendez-vous, disputant le podium avec l'écriture d'une certaine Loreena McKennitt, en effet. 'Departure', pour moi, est le point culminant de l'album (le vrai rock symphonique, ça me convient), mêlant poésie dramatique du chant et élans épiques de l'instrumentation. Les lyrics en français sont un vrai plus. Et je prends toujours la même claque en réécoutant son final symphonique.
'Mechanical Gods' conclut sur une sorte de point d'orgue, comme pour annoncer une suite, et s'assurant les services d'un orchestre complet (mais virtuel).
Il est vrai qu’une impression de désordre pourrait se substituer, pour certaines oreilles, à celle de cohésion, tant les styles explorés sont nombreux sur une durée réduite (à peine plus de 30 minutes). Mais si vous saisissez l’âme unique de cette musique, impossible de résister à son pouvoir hypnotique.
Allergiques à la musique symphonique, new age et ésotérique, passez votre chemin. Dans le cas contraire, prenez le temps de découvrir ce projet qui mérite des oreilles attentives. Il en reste la frustration de ne pas en entendre davantage, à l'issue du cinquième morceau ! A quand la suite, Eric ?...
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un chef d'oeuvre, l'ensemble est fabuleux, riche, original, prenant, planant, varié, passionnant de bout en bout.
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un album correct sans plus mis à part 2/3 bons titres, notamment le fabuleux "nocturna" qui vaut à elle seule de s'interesser à l'album.
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un superbe mélange de metal avec une ambiance presque coldwave et des tubes en série. rien n'est à jeter sur cet album. Très facile d'écoute cet album reste pour moi un de mes albums préférés.
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Un album riche et varié, du très puissant et catchy "ghost of the sun" au groovy criminals ou encore le planant "city of glass", un très bon album qui propose un patchwrok du groupe.
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