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Mettre 5 à cet médiocrité absolue et dire que Steve vai a retrouvé son inspiration.... Quelle erreur ! Déjà lorsque un CD me fout mal au crâne au bout de 3 titres, c'est pas bon signe, d'autant que je suis très amateur de prog et de pièces alambiquées. De plus, je reconnais des plans entiers vu et revu chez lui dont un titre entier pompé complètement sur un titre de Passion and Warfare qui a.... 33 ans! Bref, pour moi c'est du sous Satriani qui lui ai moins laisse plus de place aux autres et en ressort grandi sur son dernier opus, Éléphant of Mars. A oublier...
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Je suis enfin heureux de pouvoir entendre un album de Steve Vai. Et après quelques albums moins marquants l’Américain retrouve une inspiration dans la composition et une fraîcheur dans le jeu. De nombreuses innovations, comme le détaille l’excellente chronique de Newf, que certains prendront comme anecdotiques mais qui impacte véritablement le rendu final d’un titre. « Inviolate » me semble surgir d’une approche globale qui est celle du musicien de jazz-fusion (d’ailleurs Steve aborde clairement ce style à plusieurs reprises dans le disque, ce qui est très inédit), avec une grande complexité harmonique (au-delà de la technique) dans ses parties de guitare. Mention spéciale pour l’épique ‘Teeth Of The Hydra’ qui ouvre le disque sur une performance magnifique avec l’Hydra. Et belle surprise pour le 7eme morceau ‘Greenish Blues’, toujours le sommet d’émotion des disques de Vai, sous la forme d’un blues lancinant. Seul le dernier titre ‘Sandman Cloud Mist’ me paraît dispensable mais pour le reste c’est du très bon Steve Vai.
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Nous serons d'accord je pense pour admettre que Satriani n'a plus rien à prouver. Et malheureusement pas beaucoup non plus à nous apporter, du moins pas au travers de cet album. Quoiqu'éclectique, ce nouvel opus manque singulièrement de caractère, et on ne peut se départir tout du long d'un air de déjà-entendu. Un album qui plaira aux fans sans doute, et qui rebutera les autres. Il reste malgré tout quelques titres sympathiques, comme "Spirits, ghosts and outlaws" qui tire son épingle du jeu par son énergie communicative.
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Comment ne pas donner un avis sur cette magnifique offrande de Jason Becker. Je ne connaissais pas son histoire, alors délivrer un tel album, c'est juste ... whaouh !!! Alors oui, cet album est suprenant à plus d'un titre. Il commence tout d'abord par 3 titres purement orchestraux, tous aussi beaux les uns que es autres, avec juste, intercalé, LA ballade de l'album. Le titre We Are One, funky en diable, donne donc une autre orientation à l'album. Après un Magic Woman dont la musique suave ne pouvait dépareiller d'un titre aussi évocateur, arrive la reprise purement acoustique de Blowin In The Wind. Je ne suis pas adepte de cette pratique, mais je dois reconnaître que celle ci apporte une vraie dimension à ce titre iconique du folk. Et alors là, déboulent entre nos esgourdes déjà bien servies les 2 titres phares de l'album, River of longing suivi de Valley of fire. Difficiles d'en sortir un plus que l'autre, les 2 emmènent la guitare (devrais je dire les guitare !) vers les sommets. Avec on ambiance western (attention au coup de feu !), Valley of fire vous réservera bien des surprises.
Je me demande si j'ai déjà mis un 5 à un album : celui-ci le mérite amplement. Allez y les yeux fermés !!!
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Une chose est sûre c'est que KWS est un authentique bluesman. S'il en était encore besoin de le prouver le précédent album dédié aux grands du blues suffirait (Goin'home).
Il nous présente ici son 8ème opus de compositions personnelles. Un production parfaite qui met bien en relief la pulsion batterie/basse. Une alternance de morceaux pêchus blues rock et de balades qui louchent vers le country rock du meilleur genre, avec une touche acoustique. Pas de surprises notoire, pas de faute de goût. KWS chante de plus en plus sur ses disques et sa voix est loin d'être désagréable. Du coup Noah Hunt, son compère de longue date, devient presque second chanteur avec sa voix plus grave qui ressemble assez à celle de Joe Bonamassa. Comme celui-ci KWS est un topgun de la guitare (de la strat à vrai dire, la gratte qu'il utilise le plus, enfin des Strat si on considère sa collection!). Pourtant deux styles assez différents. KWS étonne toujours par cette facilité à exploiter la gamme blues sans trop s'orienter vers une touche de fusion. Un jeu précis et rapide qui force l'admiration mais en même temps qui ne parait pas forcément techniquement hors de portée, contrairement au jeu de Bonamassa. Tout guitariste ne peut être qu'émerveillé devant cette fluidité de jeu, ce jeu résolument blues quelque soit le morceau, sans esbrouffe démonstrative : le feeling, juste le feeling! Il n'y a pas de surcharge instrumentale, quelques cuivres discrets dans un morceau et un orgue. Le disque est vraiment dédié à ceux qui aiment la guitare et cette musique américaine -certes quand même assez formatée mais puissante et toujours agréable- vers laquelle ont revient toujours En conclusion: keep on rockin'man!!
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Un des meilleurs opus de Satriani si ce n'est le meilleur. Entièrement instrumental, il est techniquement et mélodiquement pas loin de la perfection avec un souci constant de la note juste. Guitariste génial, Satch est avant tout musicien et s'adresse à tout le monde, pas uniquement aux gratteux. C'est ce qui le distingue de pas mal de ses copains shredders et fait de cet album est une merveille.
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