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Album METALLICA HARDWIRED…TO SELF-DESTRUCT METALLICA
HARDWIRED…TO SELF-DESTRUCT (2016)
AUTRE LABEL
THRASH
2/5
MATT27
07/11/2024
 
10
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Grosse déception avec cet album.

Les morceaux sont inutilement longs et on a perdu le génie des riffs de Hetfield. Aucun morceau ne se dégage des autres. On appuie désespérément sur le bouton pour écouter la plage suivante espérant tomber sur une pépite... Ça ne sera jamais le cas malheureusement.

Album METALLICA RIDE THE LIGHTNING METALLICA
RIDE THE LIGHTNING (1984)
ELEKTRA ENTERTAINMENT
THRASH
5/5
ALORENZO
19/01/2022
 
18
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Cet album est pour moi le meilleur de Metallica. Un savant mélange de kill em all et master of puppets. La violence et fougue du début mêlée à la puissance et précision du 3e. Et surtout quel équilibre dans les morceaux, on est directement boulversé par fight fire with fire, arruve ride the lightning avant d'enchainer sur for whom the bell tolls, plus lent, mais plus puissant. Pour moi le meilleur morceau de Metallica, meilleur même que master of puppets. Puis on ralentit avant de repartir avec fade to black, leur première balade, et la meilleure. On repart directement avec trapped under ice et son solo dévastateur. Ensuite viens escape, rien d'incroyable mais cela fait une pause bien méritée avant Creeping death, morceau fantastique, surement le meilleur en live! et la conclusion avec call of ktulu, calme, sans voix mais toujours intense. Quel album!
Album VOIVOD THE WAKE VOIVOD
THE WAKE (2018)
CENTURY MEDIA RECORDS
THRASH
5/5
NUNO777
14/09/2018
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Excellent album de Voivod capable, après tant d'années, de bousculer les carcans avec son metal hybride original. Furieusement thrash, délicieusement progressif, intelligemment fouillé ce "The Wake" est un des meilleurs albums du groupe. A ne pas surtout pas manquer.

Album ANNIHILATOR NEVER, NEVERLAND ANNIHILATOR
NEVER, NEVERLAND (1990)
ROADRUNNER RECORDS
THRASH
5/5
SHAKA
30/12/2017
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D'entrée, ANNIHILATOR avait frappé fort en 1989 avec son premier album, "Alice in Hell". Ce premier essai est d'ailleurs devenu LE classique du groupe. Moi, j'ai une toute petite préférence pour ce deuxième album, sorti un an plus tard. La grosse différence par rapport à "Alice in Hell" nous vient du chant. En effet, Randy Rampage a mis les voiles et c'est Coburn Pharr qui le remplace... pour cet album uniquement. En fait, ANNIHILATOR, on va vite s'en apercevoir, c'est le projet de Jeff Waters, le guitariste canadien virtuose. Coburn Pharr apporte un peu plus de mélodie dans ses parties vocales (c'est quand même pas Mickael Kiske non plus, n'allons pas jusque là !), alors que Randy Rampage était dans un registre assez proche du vocaliste d'OVERKILL. Mais les compositions sont sévèrement burnées, et toujours aussi techniques, complexes, précises et effilées comme une lame de rasoir ! Il suffit pour s'en convaincre d'écouter les monumentales "Phantasmagoria", "Sixes and Sevens", "Imperiled Eyes", ou autres "Never, Neverland" (la suite logique de "Alison Hell"). De plus la production est sans faille, l'impact sonique des guitares est redoutable et immédiatement identifiable ! Seul le morceau "Stonewall" est, un léger cran en dessous des autres compos. Mais bref, voici un monument indispensable (tout comme "Alice in Hell") de Speed Thrash technique, à ranger auprès des "Reign in Blood", "Rust in Peace" ou "Master of Puppets" !
Album MEGADETH RUST IN PEACE MEGADETH
RUST IN PEACE (1990)
CAPITOL
THRASH
5/5
SHAKA
23/10/2017
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Cet album sorti en 1990 est un tournant important dans la carrière de MEGADETH, puisque nous assistons à l’arrivée de Marty Friedman à la guitare et de Nick Menza à la batterie. Ce line-up va être stable pendant toutes les 90’s et permettre à MEGADETH de gagner en cohésion et en reconnaissance, ce qui culminera en 1994 avec l’album « Youthanasia », album, typique de Heavy, manquant certes de hargne, mais comportant de très bonnes chansons et une production remarquable.
Pour en revenir à ce « Rust in Peace », le première chose qui frappe, c’est l’efficacité des passages instrumentaux qui ne font vraiment pas dans la dentelle. Quel déluge de guitare rythmique ! Le début du premier morceau (« Holy Wars... the Punishment Due ») est un modèle du genre. Ensuite, l’arrivée de Marty Friedman à la guitare lead dynamite, avec ses soli de cinglé, les rythmiques déjà efficaces présentes sur les albums précédents de MEGADETH. La fin de « Hangar 18 » est en tous points remarquable et quand on l’écoute, on se demande bien quand ils vont s’arrêter ! Enfin, la production de l’album est bien moins crue que celle des trois galettes précédentes et pour cela on peut remercier Max Norman (qui sera reconduit pour « Countdown to Extinction » et « Youthanasia ») et Mike Clink (producteur aussi de GUNS N’ ROSES).
Sur cet album, on retrouve trois grands classiques de MEGADETH :
- « Holy Wars... the Punishment Due », qui ouvre les hostilités de fort belle manière, avec une longue intro syncopée et une fin tonitruante.
- « Hangar 18 », avec sa terrible fin qui n’en finit pas. A noter qu’en 2001, Dave Mustaine a donné une suite à ce morceau sur « The World Needs a Hero », intitulé tout simplement « Return to the Hangar ».
- « Tornado of Souls », et son refrain entêtant, sur un rythme assez rapide, soutenu par la voix de Dave Mustaine, que j’adore... même si beaucoup l’accusent de chanter « comme un canard ».
Mais, il ne faut pas oublier les autres chansons. Avec « Take no Prisoners », nous sommes en plein dans le gros Thrash qui tache, le tout avec des paroles qui ne font pas dans la finesse. « Five Magics » et son intro inquiétante à la basse (très présente en règle générale sur l’ensemble du disque) qui se poursuit dans un déluge de décibels est également culte. « Poison was the Cure » est certainement le morceau le plus « classique », assez court sur un rythme très rapide, pas très original mais efficace. « Lucretia » est assez proche de « Tornado of Souls » avec son refrain accrocheur. « Rust in Peace... Polaris », qui conclue l’album, est du MEGADETH typique, avec une fin tonitruante assassine. Au rayon des curiosités, nous pouvons noter le court « Dawn Patrol », qui se veut inquiétant avec simplement un rythme lancinant basse/batterie et une voix posée, presque parlée.
Bref, tout cela pour dire que cet album est une pierre angulaire du Speed/Thrash américain. 27 ans après sa sortie, l’écouter est toujours un plaisir non dissimulé. On a souvent accusé MEGADETH de copier METALLICA. A l’écoute de cet album, même si on peut noter quelques similitudes, elles sont loin d’être flagrantes et MEGADETH développait très largement son propre style et sa propre identité. Je me souviendrai toujours le sentiment que j’avais eu lors de ma première écoute de « Rust in Peace » : un sentiment d’admiration et le fait de ne pas en croire mes oreilles devant cette tornade de riffs. MEGADETH a marqué à jamais toute une génération de Metalleux, votre serviteur en fait partie. Merci Dave Mustaine. Population loves MEGADETH !

Album METALLICA HARDWIRED…TO SELF-DESTRUCT METALLICA
HARDWIRED…TO SELF-DESTRUCT (2016)
AUTRE LABEL
THRASH
4/5
NESTOR
19/11/2016
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Pas renversant, mais sérieux. Voir même très sérieux.
Metallica ne me fait plus vibrer avec la même intensité que cela était le cas avec ses 6 premiers albums, mais il se passe quelque chose.
Le chant est très travaillé. Les guitares d'une précision folle. Les arrangements fourmillent de petites trouvailles (sonorités, changements de rythmes...) et sont très riches.
Et puis surtout, c'est le premier album depuis "Reload" pour lequel je suis capable de citer un titre de chanson en ayant la mélodie en tête.
Ce qui est le signe qu'un effort considérable a été fait au niveau des compositions. 'Halo On Fire', 'Moth Into Flame' en sont le témoignage heureux.
Un album qui sort Metallica de l'indifférence dans lequel il se complaisait.

 
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