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Attic Theory's debut album, "What We Fear the Most," is truly exceptional. The combination of powerful vocals reminiscent of Joe Cocker and the modern-day production creates a unique and captivating listening experience. The lead singer's ability to convey raw emotion and deliver each lyric with such intensity is truly remarkable.
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C'est sombre, très sombre et les illustrations magnifiques du livret vont en ce sens. C'est magnifiquement composé, c'est envoûtant (argh, cette 57th Street et ses choeurs), ça ressemble à du Steven Wilson tout en ayant une identité propre et, cerise sur le gâteau, le mix se rappelle que nous autres, pauvres humains, avons non pas juste un cortex central mais bien DEUX oreilles pouvant écouter chacune des éléments différents ou a minima pas de manière synchrone permanente.
Bref, après le remarqué et remarquable "The Awakening", ce "Watching Worlds Collide" enfonce le clou en évitant la redite, emmenant l'auditeur vers de nouveaux rivages pour un voyage magnifique, à la fois introspectif et intense.
On en redemande.
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Après plusieurs dizaine d'écoute en boucle en voiture au format CD ( old school ) . Mon ressenti global est putain mais mais quel mixage ! le fait que j'ecoute plus de cd dois y jouer mais j'ai eu confirmation de la qualité en comparant à d'autre album récent au même format et pas des moindre :muse et l kravitz. Les 4 musicos sont bien là ou on les attend, l'acoustic de la batterie est impressionnante lier à la basse, pas de sursaturation dans le mixage, ni de volonté de cherché un son perdu des année 90's, on sent que tout a été naturel . TRACK préferé la 10 - Whatchu Thinkin' , le morceau strokes de l'album..
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Cet EP est autant bon qu'il est court et frustrant... franchement une pépite française à savourer encore et encore....
Petit favori avec Newsfeed Icons qui détonne bien... vivement le live, je n'ai jamais vu ce groupe en concert... mais si c'est aussi explosif que cet "ICONS", ça sera surement une belle découverte !
A suivre !!!
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Album de haute qualité !
Chevelle nous livre ici son neuvième album avec pour thème l’espace.
Les morceaux sont très travaillés, surprenants et poignants à la fois. On retrouve l’Adn du groupe avec ce chant atypique de Pete Loeffler.
Les titres s’enchainent avec parfois quelques interludes qui servent l’album et donnent de la cohérence à l’ensemble. Plusieurs écoutes sont d’ailleurs nécessaires avant de pouvoir en apprécier tous les détails et subtilités. Le voyage n’en sera que plus beau !
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Je dois avouer que je reste assez perplexe à l'écoute de ce "The Makarrata Project". Les quatre premiers titres sont assez séduisants, 'First Nation' et 'Gadigal Land' déroulant un rock énergique convaincant, 'Change The Date' et 'Terror Australia' dans un registre plus apaisé et intimiste tout aussi réussi. Mais la seconde moitié de l'album sombre dans titres sans consistance ni rapport avec ce qui précède, distillant une bonne dose d'ennui, la palme revenant à la longue lecture du Uluru Statement From The Heart qui, s'il est au coeur du Makarrata Project, ne présente aucun intérêt musical, Peter Garrett oubliant l'art et le public au profit de ses convictions politiques.
Un album à moitié réussi mais dont le découpage astucieux permet à l'auditeur de se dispenser de l'écoute des titres les moins convaincants en appuyant sur la touche "stop" de son lecteur une fois le quatrième titre entendu.
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