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Un départ sur des chapeaux de roue pour un groupe assez imaginatif qui évoluerait aux côtés d'Half Past Four, Magellan et surtout Gentle Giant. Malheureusement, si la formule est excellent en début d'album, l'inspiration se tarit rapidement et donne la fâcheuse impression que le groupe fait n'importe quoi, à l'inverse de ses inspirations.
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Je suis resté scotché sur cet album écouté un peu par hasard, comme tétanisé par les envolées tant instrumentales que vocales. Après, c'est vrai que la chanteuse en fait parfois un peu trop et peut agacer, mais si elle parvient à apporter plus de sensibilité à moins de démonstration, on tient là un des groupes les plus originaux que le prog ait enfanté depuis longtemps. Je suis en phase avec l'excellente chro ci-dessus qui synthétise parfaitement mon avis. (7,5)
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Je n'irai pas en contradiction avec mes prédécesseurs, cet album est très sympathique à écouter, rien ne sonne faux, tout sonne juste ^^ pour notre plus grand plaisir !
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Plutôt d’accord avec Corto, sur le coup : le savoir-faire est présent, mais la sauce prend difficilement. Probablement par un excès de démonstrativité, K² nous emmène dans une superproduction hollywoodienne où les effets l’emportent sur le fond, les pupitres jouant tous en force, ce qui entame très largement les possibilités émotionnelles. A ce jeu, seul Path of Warrior, le morceau final, arrive réellement à tirer son épingle du jeu, avec juste ce qu’il faut de démesure. Pour le reste, ce Black Garden apparaît souvent surjoué avec de larges passages qui sentent l’impro (lWidows Watch et sa fin en roue libre). Dommage, les moyens sont là !
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Voilà un de ces disques mystères où, malgré la qualité évidente de l'interprétation, je n'arrive pas à accrocher, alors que de prime abord, tout est fait pour me séduire. Les compositions ne provoquent pas le frisson de plaisir que j'espère, la faute peut-être à un parti-pris misant sur la puissance : trop de bruits, trop de densité. Les titres sont parfois traversés de courts traits lumineux de piano (un break de quelques secondes sur Encounter Or Absence, un très beau passage atmosphérique au milieu de Storm At Sunset), ou d'ambiances éthérées (le court Summer's Fall), mais trop peu nombreux à mon goût. La voix de chanteur me rappelle plus celle de Gary Brooker (Procol Harum) que celle de Peter Gabriel, une voix très nasale à laquelle il faut s'habituer. Le style musical, lui, se rapproche de celui du groupe belge Machiavel, mais trop survitaminé. Même le piano/voix de Widows Watch, un exercice que j'adore d'habitude, ne parvient pas à éveiller mon intérêt, le final de ce titre étant même particulièrement laborieux. Question de goût, j'en conviens. Les adeptes de titres plus pêchus seront probablement moins intransigeants que moi. 6,5.
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Une déception. Tempest nous a sorti quelques albums plus homogènes et plus intéressants par le passé. Je n'ai pas réussi à rester attentif sur toute la durée de l'album. Les bons passages sont un peu dégradés par certaines longueurs et certaines errances pas toujours à mon goût.
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