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Qu’Arena délivre album après album des prestations solides et d’un grand professionnalisme est incontestable. Les musiciens sont à leur affaire, ça joue vite et bien et les titres s’enchaînent sans faux pas.
Là où le bât blesse, c’est le zéro prise de risques qui confine à un manque d’originalité, voire de personnalité. J’ai l’impression d’avoir déjà écouté des centaines de fois cet album qui se confond avec des milliers d’autres, ni meilleur, ni pire, anonyme et interchangeable. Les mélodies ne sont pas désagréables mais n’ont rien d’extraordinaire non plus. L’ensemble est un peu "tutti forte" et manque bien trop de nuances pour me séduire. Bref, un album dont l’écoute n’est pas indispensable et qui s’effacera certainement très vite de la mémoire collective.
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La rencontre entre Damian Wilson et la musique d'Arena apparaît comme une évidence, tant le charisme et la puissance du bonhomme colle à merveille à la musique du groupe, impression confirmée en live.
Avec ce nouvel album, Arena revient enfin dans ses standards, après les albums plutôt moyens de l'ère Paul Manzi, même si Double Vision s'avérait plutôt réussi.
Ici, le groupe retrouve un sens mélodique abouti, souvent sublimé par les soli magnifiques de John Mitchell. Certes, la prise de risque est minime et on ne retrouve pas les élans d'un Solomon ou d'un Moviedrome, mais les 11 titres s'enchaînent avec bonheur, avec même quelques clins d'oeil appuyés vers Shadowland.
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J'attendais cet album avec tellement d'impatience... et la déception est malheureusement grande à l'écoute de la nouvelle production d'Arena, après un "Double Vision" qui m'avait un peu laissé sur ma fin, suivant un "The Unquiet Sky" que j'avais trouvé tout bonnement Exceptionnel ! Rien à redire de la performance vocale de Damian Wilson ; son chant est bien en place et propre... peut-être trop pour dégager intensité dramatique et émotion.
Comme sur "Double Vision", John Mitchell apparait trop en retrait, ses solis sont trop rares et ne provoquent que trop rarement l'étincelle habituellement attendue pour ce si talentueux guitariste. De plus, ses interventions sont souvent placées en doublure des lignes de chant.
Globalement, je trouve les compositions honnêtes, mais sans plus.
Cet album ne m'a pas procuré le grand frisson que j'espérais retrouver, comme ce fut le cas avec "The Visitor", "Immortal ?" ou "The Unquiet Sky".
Bref, pas un mauvais album pour autant, mais pas le disque exceptionnel que j'espérais !
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Définitivement, Arena est bien meilleur en studio qu'en live. "Saloper" les soli de Solomon de la sorte, avec une note sur deux mangée à la guitare et à peine mieux au clavier, c'est juste pas possible.
Après, je n'accroche toujours pas à Paul Manzi, et sa prestation dans "The Visitor" ne me convainc pas, surtout après avoir vécu l'original en live avec un Rob Sweden commençant à chanter juste à mes côtés.
Bref, un double CD auquel il manque les images (quel intérêt de conserver les conversations avec le public ?) qui finira très vite au fond d'un tiroir.
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Ayant participé au concert -un peu catastrophique- parisien (sûrement un des derniers du groupe dans la capitale française) ayant eu lieu la veille de cette captation, on peut sans soucis comprendre que le groupe n'a pas pris énormément de risque afin d'assurer le job.
Alors, bien sûr, nous aurions aimé que cette prise de risque soit présente dans la deuxième partie de ce live mais était-ce ce qu'attendait le public qui se pressait quand même plus pour revoir jouer Visitor dans son entier que le dernier album.
On retiendra que le line-up a quand même de la gueule et que Paul Manzi fait grandement le job malgré la comparaison inévitable avec son prédécesseur présent sur Visitor. Le groupe assure avec ses plus de 20 ans de carrière et on regrettera -il est vrai- un manque de folie sur scène.
Faut-il donc se procurer ce live ? Oui, car The Visitor joué par ce line-up tient la route. L'objet est luxueux tout en étant accessible. La 2ème partie du live est certes convenu et aurait pu être un poil différent des autres que le groupe a déjà publié...mais qu'un groupe de cette trempe soit présent depuis 25 ans force le respect malgré les hauts et bas qu'il a connu.
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Sans casser 3 pattes à un canard, Double Vision démarre plutôt bien. Mais le trou d'air est terrible, avec un enchaînement de 2 titres quelconques Paradise of thieves / Red eyes. Heureusement, l'épic The Legend of Elijah Shade, varié et accessible, remet Arena sur les bons rails, même si on pourra déplorer que le final de John Mitchell soit injustement charcuté, alors que l'envolée s'avérait prometteuse. On est donc loin ici de la magie de The Visitor.
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