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Sorti dans les années 80, nul doute que cet album aurait trusté à son tour le haut des charts.
Retour aux basiques pour Alphaville avec des titres majoritairement dansants, simples et efficaces, dans un style rappelant leurs deux premiers albums : des mélodies superbes, des refrains catchy, le tout emballé dans une noria de claviers immédiatement reconnaissables.
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En fait je ne pige pas trop pourquoi tout le monde s'extasie sur cet opus alors que le précédent est 100 fois mieux. Plus accessible ? Laissez moi rigoler... Plus synthwave C'est sûr par contre. Moi même je ne comprends pas pourquoi je n'apprécie pas plus que ça alors que sur le papier ça devrait me plaire.... énigmatique.
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Bah, c'est un très bon album avec des sonorités modernes. Faut arrêter de vivre dans le passé... Cet album est magnifié en live, regardez le live à Edinburgh de 2015.
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Du Simple Minds en pilotage automatique. Les écossais jouent les prolongations marketing, au lieu de tenter quelque chose de nouveau. La new-wave originelle tire désormais vers la techno, mais le son manque cruellement de personnalité. On parvient néanmoins à ressentir encore quelques frissons, au détour des accents vocaux de Jim Kerr qui sans faire preuve du panache d'autrefois gardent tout de même leur singularité, avec cette indéfinissable frontière entre textures de velours et rocailleuse.
A noter que l'édition Deluxe de "Big Music" embarque 6 titres supplémentaires (dont une reprise de 'Blindfolded'), qui n'ont rien à envier à ceux du support original - et qui auraient même pu en remplacer certains, avantageusement : bien étrange que la production n'ait pas été plus clairvoyante, à moins qu'il ne s'agisse d'une livrée plus tardive et insuffisamment étoffée pour la création d'un nouvel album.
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En écoutant cette oeuvre il est vrai que l'on peut se sentir quelques peu déboussolé.
Etant habitué à des orchestrations plus folk ou électriques comme avec "ommadawn" ou "tubular bells" par exemple on a de quoi se sentir dépaysé.
"Mais où sont passées les guitares?" nous dit Tonyb et sur ce point il a raison... raison ou presque.
Car non malgré mon introduction songeuse de questionnement moi j'ai une toute autre lecture de cette oeuvre et de son créateur.
Mike Oldfield avant d'être un brillant guitariste est d'abord et avant tout un compositeur de génie qui a su évoluer et nous emmener dans divers univers tout en gardant une signature made in Oldfield.
Souvenons nous du brillant concept "millenium bell" qui sur fond d'ambiances electro/new-age nous dépeignait un superbe hommage à 2000ans d'histoire pour faiter le passage au nouveau millénaire.
Souvenons nous de "incantations" cette oeuvre minimaliste et rempli d'orchestrations classiques.
L'oeuvre "music of the spheres" est quant à elle d'inspiration classique, montée comme une symphonie classico-romantique.
Comment ne pas penser à "tubular bells" en laissant dérouler l'intro "harbinger" dans nos oreilles.
tonyb cherche donc Mike Oldfield dans cette oeuvre mais Mike Oldfield y est partout car c'est pas Mike Oldfield qu'il faut écouter quand on met un disque de Mike Oldfield mais l'oeuvre qu'il a créé de tout son génie;
Tout le génie créatif de l'artiste est là dans cette oeuvre avec des orchestrations riches et soignées quoi que parfois grandiloquentes.
Et quand Mike intervient musicalement en ponctuant d'intervention de guitare classique il le fait avec une telle présence et une telle interprétation que ça donne la petite touche finale qui aurait surement manquée à l'oeuvre.
Moi si j'avais du noter cet album à sa première écoute j'aurais surement mis 3/5 ou 4/5 max je l'avoue mais après plusieurs écoutes profondes je ne peux que me résoudre à mettre la note maximale à ce qui reste pour moi comme l'un des plus grands chefs d'oeuvre de Mike Oldfield avec "amarok", "tubular bells" et "ommadawn".
PS: selon moi pour réussir à comprendre et apprecier un peu plus cet album il ne faut pas voir ça comme un enchainement de petite pièces instrumentales mais comme un seule morceau de 45mn qui laisse dérouler une longue symphonie riche et complète avec ça et là quelques ponctuation guitaristiques du créateur comme pour saupoudrer de suucre glace un joli gateau d'anniversaire.
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Album sympathique mais très très marqué par l'influence de Jeff Lynne!
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