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Cet album dans son essence est essentiel à mes yeux. En effet, le mellotron et les claviers foisonnent, les mélodies sont super bien arrangées et il y a comme une émotion palpable qui me transperce à chaque fois... du bonheur
In my life est un pur bijour progressif
Sweet Jesus est poignant de part les arrangements des claviers
Jonathan une pépite de slow sirupeux
Beyond the grave le sommet de l'album
Song for you une autre pépite prog émotionnelle
Moongirl ferait pleurer de bonheur tout mélomane
One night met en avant des guitares inspirées
Cet album me fait de l'effet à chaque écoute ce qui est bon signe !
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Alors celui là il est vraiment particulier... A en écouter les critiques, on croirait que c'est un ratage complet, un album vraiment horrible à écouter!!!
Pourtant, c'est le contraire, je le trouve très agréable et plutôt tranquille. Dans le style des Rolling Stones comme on connaît et comme on l'aime... Alors certes, cela manque un peu de relief, d'un ou deux titres qui sortent vraiment du lot.
Mais bon, cet album ne mérite pas toute les critique dont il fait l'objet. D'un autre côté, on peut comprendre la déception des fans du groupe après des albums comme "Some Girls" ou "It's Only Rock'n'roll" qui sont des purs chefs-d'œuvre!
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Quel superbe album ! Un rock soft, et cependant bien cadencé, tellement mélodieux que c'en est un régal absolu !
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Le troisième album de Caravan est incontestablement le meilleur de leur discographie. D'une part parce que les musiciens ont atteint une maturité dont il manquait sur les albums précédents. D'autre part parce qu'ils bénéficient enfin d'une prise de son digne de leur talent. Enfin parce qu'ils réalisent un album homogène et très équilibré entre ses deux faces.
La première est une succession de quatre chansons au format très classique (entendez par là une succession de couplets/refrains entrecoupée ou se terminant par un court instrumental) dont le point commun est la finesse des mélodies. Toutes exsudent un charme très britannique constitué d'une bonne dose de décontraction et d'une pointe de mélancolie distinguée. Si Pye Hastings tenait le rôle de principal chanteur sur les deux albums précédents, il cède ici la place à la voix veloutée de Richard Sinclair sur les trois titres les plus longs. Les instruments se contentent d'assurer un fond sonore douillet, si ce n'est quelques incursions de l'orgue, du sax, de la flûte et du trombone au détour de mini breaks.
La seconde face est entièrement dédiée à la longue suite 'Nine Feet Underground' ainsi baptisée parce que son compositeur, David Sinclair, l'a conçue dans un sous-sol situé à neuf pieds de la surface. Contrairement à la face A majoritairement chantée, la face B est principalement instrumentale, seuls deux courts passages étant interprétés le premier par Pye Hastings et le second par Richard Sinclair. N'étant jamais mieux servi que par soi-même, David Sinclair se livre à un quasi one-man show, les claviers étant au centre de tous les thèmes ou presque. Néanmoins sa prestation ne présente jamais le caractère narcissique d'un Keith Emerson ou d'un Rick Wakeman, la virtuosité du musicien passant toujours derrière le talent mélodique du compositeur. David Sinclair est soutenu dans sa prestation par son cousin Richard qui offre à l'auditeur des lignes de basse chantantes somptueuses, la guitare et la batterie étant reléguées au rôle d'utilités rythmiques. Le titre est souvent enlevé, toujours harmonieux et envoûtant et David Sinclair signe là son chef d'œuvre.
"In The Land of Grey and Pink" est un album très mélodieux ne souffrant d'aucun temps mort. Meilleur album de Caravan, il reste également un disque incontournable à posséder dans la discothèque de tout amateur de rock progressif qui se respecte.
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What would you do if I opened my heart to you ?
Avec les 4 piliers massifs que sont 'Shadowplay', 'Credo', 'Tongues' et le titre éponyme, je ne parviens pas à comprendre que l’accueil du second opus de l’ex-leader de Marillion se soit montré aussi froid. D’autant que les autres titres ne sont pas en reste : 'Just good friends' détient l’étonnant pouvoir de rendre son mid-tempo entraînant, 'Lucky' additionne sa rythmique répétitive et l’imperceptible évolution de son couplet au bénéfice d’un résultat des plus addictifs, et 'Dear Friends' est une jolie ballade, toute en finesse et dégageant une belle émotion qui n’a pas vieilli. Bien dommage que les capacités vocales du capitaine Fish se soient altérées peu après ce début de carrière solo, proprement magnifique.
Moins homogène que son prédécesseur, "Internal exile" se présente davantage comme un patchwork d’ambiances, de styles et d’idées musicales variées, mais ce qui provoque souvent la dislocation de l’unité participe au contraire au charme de cet album. De la surprenante alchimie, par exemple, de l’enchaînement d’un 'Tongues' surgissant des chaudrons infernaux au titre éponyme du projet, résolument folk et festif.
"Internal exile", un album au rabais ? It don’t mean nothin’, it don’t mean nothin’ to me !
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Un album que l'on attendait plus et qui reprend le fil là où il s'était rompu. Les morceaux délicats et plus rock s'enchaînent de manière harmonieuse. Mon titre préféré : Waiting In The Weeds.
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