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J'ai donné un 4/5 à cet album parce que je trouve que Dire Straits à su évoluer, faire varier son répertoire, tout en restant cohérent et aussi pointu musicalement parlant. Ils auraient pu s'asseoir sur le succès immense de leur album précédent et faire "confortablement" du Dire Straits en gardant les recettes qui marchent, en clonant Brother in Arms. Or ils ont su trouver un nouvel élan et rajouter pas mal d'énergie dans leur production.
Evidemment, sur ce dernier point, "Heavy Fuel" n'y est pas pour rien. Acide, ironique, moqueur, c'est du rock pur et dur, qui décrit un contexte très basique. Ecouter ce titre à volume max dans sa voiture lors d'un grand trajet est une forme de dopage très efficace ! L'ensemble propose différents styles et une variation de teintes qui permet de ne jamais se lasser à l'écoute. Y compris lorsque la mesure et la retenue est diffusée via des titres comme "How Long". "Planet of New Orleans" est un morceau impressionnant de classe et de sophistication douce, un des piliers de cet album avec "Calling Elvis", succès interplanétaire incontesté.
C'est donc un très bon moment à passer, et sans compter que c'est le tout dernier du groupe, il laisse une vague impression, un je ne sais quoi de nostalgie, qui provoque l'envie de le remettre pour un tour complet.
Est-moi seulement, mais j'ai toujours considéré que cet album marquait, à sa manière, la disparition des années 80, qu'il était un repère incontournable de cette "charnière temporelle", à partir de laquelle rien ne sera plus pareil ensuite. Un peu comme "We Cant Dance" de Genesis, "Soul Cages" de Sting, Metallica avec le "Black Album", Queen avec "Innuendo" et le décès de Freddy Mercury.
Quoi qu'il en soit, un incontournable du groupe sans lequel leur discographie serait amputée de l'essentiel.
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Toujours un bonheur de réécouter du Dire Straits!!! Oui, on est tous d'accord pour dire que ça n'est pas leur meilleur album mais bon quel kiff quand même!! David (le frère Knopfler ) a quitté le groupe même s'il est présent sur quelques titres. Les titres "Tunnel of Love"( fait avec les mêmes ingrédients que "Sultans of Swing", peut-être trop?) et "Romeo And Juliet" sont bien sûr les deux sommets de ce Making Movies.
Pour le reste, on alterne entre le bon ("Skateaway", "Solid Rock") et du moins bon ("Les Boys") mais ça reste dans tous les cas très agréable à écouter!
Pas le meilleur album de la bande à Mark Knopfler mais tout de même un très bon cru... Je le conseille à tout ceux qui connaissent déjà un peu le groupe et qui veulent le découvrir un peu plus.
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Eh oui ! Je suis bien décidé à vous saouler avec Doro ! Car pour ceux qui ne le savent pas, WARLOCK est le groupe dans lequel il y avait Doro Pesch dans les 80's. A l'actif de WARLOCK, nous avons quatre albums, des fleurons de la scène Heavy Speed allemande de l'époque. J'ai choisi de vous parler du 4è et dernier album de WARLOCK, car il est vraiment incontournable ! En effet, même aujourd'hui, Doro reprend avec bonheur quelques titres de ce disque.
Le premier morceau est un monument du Metal : "All we Are", avec ses chœurs ENORMES ! Succès assuré sur scène ! Ce "Triumph and Agony" est un peu plus commercial que ses prédécesseurs, globalement moins rapide (même si le furieux "Three Minute Warning" éclate bien les cervicales), mais néanmoins puissant. Doro est également très en voix, j'en veux pour preuve le fameux " Touch of Evil " où elle s'égosille comme une damnée ! Ecoutez bien le hurlement à la fin de ce morceau, j'en ai toujours des frissons ! Oh putain ! C'est vraiment trop bon ! Les rythmiques de "I Rule the Ruins", "Kiss of Death" ou "East Meets West" sont implacables. Les belles ballades sont aussi au rendez-vous avec "Make Time for Love" (c'est où tu veux et quand tu veux Doro !) et le "tube" "Für Immer" ! A l'écoute de cette dernière chanson, qui osera dire que l'allemand est une langue froide ? Dans la bouche d'un figurant de "La 7è Compagnie", sans doute, mais pas dans la bouche de Doro. "Metal Tango" et "Cold, Cold World" apparaissent comme des morceaux un peu en retrait, mais ce n'est pas grave, nous tenons vraiment là, un grand album. 30 ans plus tard, “All we Are”, “I Rule the Ruins”, “East Meets West” et “Für Immer” sont toujours joué par notre Metal Queen sur scène.
Non, vraiment, je ne saurais jamais assez conseiller aux plus jeunes d'entre-vous de jeter une oreille sur WARLOCK (même la pochette est splendide !), même si la production a pris un petit coup de vieux (mais moins que les trois premiers albums de WARLOCK). Et par la même occasion, n'oubliez pas que la miss Doro est toujours en activité, et son dernier album est superbe, comme toujours, même si c'est un peu moins burné que WARLOCK !
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Laissez-vous envelopper par les ambiances éthérées d'un album qui épouse la trajectoire de la courbe prise par Anthony Phillips après son départ de Genesis. Voilà les arpèges dans la vallée qui auraient pu être perçu si Ant avait pu dominer sa légendaire angoisse de la scène. Plus profond, plus poétique et plus apaisé que le travail de son successeur, une oeuvre intemporelle qui défie l'apparition de toute ride. Néanmoins, la voix de Phil Collins alourdit le paysage...
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C'est très mou, très pauvre musicalement. Et c'est le minimum syndical. Mais quelque chose me choque et le groupe baisse beaucoup dans mon estime d'ailleurs. En effet, pourquoi il n'y a pas un mot sur Dio, pas une phrase, pas une chanson dédicacée, pas un RIP dans les crédits ?!? De la part de ce cramé d'Ozzy ça ne m'étonne pas mais les autres... Il n'est même pas noté (cf.livret) dans la Sabbath family !!! Messieurs vous êtes des crétins finis. Effectivement, "The Devil You Know" ! Ça me fout la gerbe.
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Je n'ai absolument pas adhéré.
Les mélodies sont au point mort de chez mort. A vouloir trop se rapprocher des ambiances malsaines et lourdes d'antan, on flirte ici avec la parodie.
Au panier, direct.
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