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Six ans d'attente en effet pour une toute petite déception, justement sur les titres électro qui ne contiennent pas l'essence de ce qu'est Kingcrow. Heureusement les titres plus prog tels que 'Hopium', 'White Rabbit's Hole' ou 'Losing Game' voient les Italiens laisser libre cours à leurs inspirations instrumentales rendant du corps à l'ensemble et des émotions à l'auditeur. J'ai aussi une petite tendresse pour la sublime mélodie de 'New Moon Harvest' dans un registre introspectif et mélancolique qui prend aux tripes.
Comme je ne serai jamais objectif avec ce groupe, je lui mets une note de 4/5 car il mérite une écoute par tous les amateurs de rock/metal tant la bande des Cafolla brothers mérite plus d'exposition et de reconnaissance. Love you guys !
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Hormis le premier titre ultra violent et boursouflé, cet album est juste incroyable de melodicité et de nouveauté. La batterie est certes rapide, dire que l'album part dans tous les sens est pour moi une erreur fatale. Il y a de la cohérence et une forme de colère qui parcourt l'album. Les mecs sont texans et c'est pas cool là bas. Cammie est une déesse mythologique et la présence du plus grand frontman du plus grand groupe de Gothic actuel avec Paradise Lost sur un titre, leader de Moonspell, qui n'est même pas cité, montre que Oceans of Slumber est LE groupe à suivre ! Splendide
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J'ai écouté cet album, je ne passe pas sans écouter une chronique notée 5/5.
Pour faire bref je n'ai pas réussi à en ressortir d'émotions positives, il y a uniquement le morceau 'Nebulas' qui a réussi à recapter mon attention et cela à la 8eme piste sur 11, le temps fut long.
Je vais dire que c'est fade, monotone et déprimant, vous me répondrez que c'est du Post-Rock et que c'est ainsi, pourtant je suis habitué à ce style que j'écoute de temps en temps.
Et je ne classerai pas ce disque, même pas un iota en Prog, ok les claviers de l'intro de 'Madman' par exemple peut très rapidement faire Prog, mais ça s'arrête là. 2 étoiles pour l'encre (comme disais mes profs!)
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Franchement, je ne comprends pas la note du chroniqueur ...
Je n'ai jamais été un fan de Didier Chesneau, son jeu est très approximatif et ses talents de compositeur sont ... discutables.
A l'époque de Headline, la production et les autres musiciens (je pense notamment à Dirk Verbeuren à la batterie) permettaient aux différentes galettes de gagner en professionnalisme et d'entrer dans la toute petite famille des groupes de métal progressif français.
Avec cet EP, c'est le pompon! Les compositions sont insipides, la production est moyenne et la voix est ennuyante, voir irritante!
C'est un avis personnel bien sur, j'imagine que certaines personne apprécieront cet EP, mais j'attends beaucoup plus d'un groupe avec des musiciens d’expérience, surtout avec un Macaluso derrière les futs. Grosse déception.
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Je suis loin de partager ces avis dithyrambiques. Voilà un album qui ne me procure guère d'émotions. En fait, les seuls titres qui sauvent l'album sont dans la 2ème partie ; "Does it matter how far", qui vaut surtout pour sa longue introduction instrumentale en rythmique impaire, ainsi que le très progressif "Gabriel" et son final de guitare original. Pour le reste ...
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Cet album est une merveille. Inspiré, inventif, mélodique et très moderne. Et comme le souligne Nuno, les amateurs de guitare doivent écouter attentivement le fabuleux travail de Jakub Zytecki. Vraiment magnifique.
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