|
|
|
|
|
|
Hellfest, Clisson, 22 juin 2014, il est 11h05 et la foule est déjà bien conséquente aux abords de la Main Stage 1. Votre serviteur en compagnie de son paternel est fidèle au poste pour ce qui allait être le coup de cœur familial du festival. En quatre titres le groupe suédois Blues Pills emmené par la fantastique voix d'Elin Larsson (extraordinaire chanteuse) merveilleusement accompagné du jeune français Dorian Sorriaux (18 ans, guitare de 2011 à 2018), de Cory Berry (batterie, percussions de 2011 à 2014) et de Zack Anderson (bassiste de 2011 à 2018 puis guitariste depuis 2018) va délivrer une prestation haut de gamme et conquérir avec fougue et classe les courageux lève tôt. Depuis ce merveilleux 22 juin 2014, Blues Pills ne m'a plus lâché et ce n'est certainement pas ce sublime quatrième album studio qui changera la donne. Et à l'instar de Taylor Momsen (The Pretty Reckless), la magnifique Elin Larsson a rejoint le cercle doré de mes chanteuses vénérées et adulées tant leurs voix me transportent et m'émeuvent. Un groupe qui se bonifie avec le temps et auquel il est difficile de résister.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Voici un album sensationnel signé par deux immenses artistes à la fois extraordinaires guitaristes, fantastiques chanteurs et talentueux compositeurs. Adrian Smith (Iron Maiden) et Richie Kotzen (solo, Mr Big, The Winery Dogs) nous offrent un disque de blues/rock, hard rock aux sonorités seventies. Une production exemplaire, des sons de guitares jouissifs et des compositions inspirées pour un album qui, sans être révolutionnaire, donne un sacré coup de chaleur à nos cœurs de rockeurs...
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Après un premier album remarquable sorti en 2021, Adrian Smith et Richie Kotzen récidivent avec ce "Black Light / White Noise". Je vais faire très court, on tient là un coffre à trésors. Dix chansons extraordinaires. Ici, aucune esbroufe, aucun syndrome "je suis un artiste donc je dois innover". Par contre, ce qui est sûr, c'est que messieurs Adrian Smith et Richie Kotzen sont deux immenses musiciens qui mettent leurs talents respectifs au service de l'émotion et du plaisir. Rock, hard, blues, funk, progressif, metal, le spectre musical de ces deux guitaristes géniaux et fantastiques chanteurs est tout bonnement incroyable. Ça pulse, ça groove, ça ambiance et ça émeut. Ça fait un bien fou de pouvoir entendre encore aujourd'hui de la musique organique sans artifice qui vous hérisse les poils à chaque riff, chaque couplet, chaque refrain, chaque pont et chaque solo. Des mélodies mémorables, un son fantastique, des guitares divines pour quarante-neuf minutes de pure extase. Sensationnel, "Black Light / White Noise" est une fontaine de jouvence musicale. Alors pour leur premier album et pour ce fabuleux présent...
MERCI ADRIAN SMITH ET RICHIE KOTZEN !!!
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Je suis plus qu'étonné de voir la sévérité et la déconsidération appliquées à cet album. Ma perception est presque diamétralement opposée. Je le trouve largement meilleur que ce qui en est dit dans cette chronique. Ce dont je peux convenir, c'est que la coloration sonore est effectivement très typée "de son temps". La présence de rythmique électronique est un peu dérangeante à la première écoute. Pour autant ça ne le condamne pas à s'enfouir sous des tonnes de poussière. Oui, c'est vrai, ce n'est plus du Saga au progressif très personnel et somptueux. On est en 1989, certains effets de mode ont une puissante difficile à contourner. A part pour les connaisseurs, le prog-rock est ringard et enterré. D'où peut-être cette sévérité de certains fans à l'arrivée de cette galette...
Ca reste pourtant un album typique de ce qu'ils savent faire et l'ensemble est cohérent avec la manière de jouer et l'interprétation qu'ils ont montré précédemment. On reste bien dans "le style Saga" avec ce son reconnaissable immédiatement, ce parfum qui est leur marqueur, celui qui porte le succés des précédents. L'écriture est manifestement travaillée. La coordination entre les deux frères reste remarquable et jouissive, entre riffs virtuoses et nappes de claviers au style et à la texture inimitables. La guitare est nettement mise en avant dans tous les titres. D'ailleurs, je trouve le son de celle-ci particulièrement acéré tout au long de l'album. La rythmique reste puissante et porte l'ensemble malgré un aspect légèrement stéréotypé, peut-être ringardisé par ses 35 d'âge.
Cet album de Saga contient une énergie à revendre, que d'autres de leurs albums n'ont pas. Certains titres sont particulièrement entrainants, ce qui n'a pas à être péjoratif. C'est "Odd Man Out" que je trouve le plus attrayant, sa précision, sa composition ciselée et le thème abordé avec soin font la force de ce titre accrocheur et touchant. "I do I look" est tout aussi intéressant, plein de pêche, avec une structure complexe faite de break et de solo. En fait, c'est à partir de "The nineties" que la vigueur de l'album diminue et que l'intérêt baisse un peu. "Giant" n'est effectivement pas la meilleure façon de finir cet opus. je crois que ce qui est déroutant dans cet album, c'est qu'il est difficile de le classer : plus dans le progressif, pas vraiment de l'AOR, mais pas du "pop" non plus. Une sorte de virage identitaire mal défini, dont les changements de lineup et sa réduction portent la responsabilité. Néanmoins, le son est bon et cet album ne dépare pas dans leur discographie. Cela peut aussi rendre leur musique un peu plus accessible pour une audience élargie.
D'ailleurs, à propos du son, il faut remarquer que la production est remarquable : incisive, brillante, claquante. C'est hélas ce qui est absent des 5 premiers de leur discographie, leurs meilleurs opus de tout temps.
C'est un album que j'écoute à l'occasion avec toujours autant de plaisir et qui mérite de rester avec ses semblables que le groupe a produit à ses débuts.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Dans un élan d'enthousiasme à l'achat de ce disque, j'avais mis 4. Mais, force à le comparer avec "THE CHEMICAL WEDDINGS" (Plus de 15 ans au compteur quand même!), je ne vois aucune évolution, ça stagne (comme IRON MAIDEN). C'est bon mais ça n'apporte rien au SCHIMBLICK)
Quand on est capable de nous pondre un petit bijou comme "EMPIRE OF THE CLOUDS"(in: the book of souls 2015") pour son groupe, on est apte à nous surprendre sur un album solo.
J'aime la musique qui me surprend (en bien comme en mal) mais là, entre BRUCE, le dernier SAXON ou autre JUDAS PRIEST, c'est un revival des années 90 en moins bien. Seul avantage: vu mon âge, ça bien du bien de rajeunir!!
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Best-of orchestral intelligent. Midge Ure sur les pas de Ian Anderson réalise un petit bijou émotionnel.
|
|
|
|
|
|
| |
|
|
| |
|
Haut de page
|
|