|
|
|
Un album plutôt ennuyeux et inutile qui se contente de citer pour ne pas dire singer les grands noms du genre sans jamais parvenir à les interpréter de façon correcte. Les compositions sont sans âme et sont à la fois peu spontanées et impersonnelles. Le niveau technique des musiciens (en dehors du batteur) est dans doute une limite importante à leur capacité à composer dans un style qui est manifestement au dessus de leurs compétences. Le manque d'originalité des guitares et des lignes de chant est assez cruel. Les voix manquent de personnalité et parfois aussi de justesse. Cela ressemble à un groupe de lycéens qui essaie de faire comme les vrais.
|
|
|
|
|
|
|
Oui, ce "ce Zumanthum s’ouvre de la meilleure des façons" mais en revanche ce très bel opus se clôt de bien désopilante façon ... pourquoi cet abrupte fin particulièrement frustrante ? Dommage ... j'arrive toujours à la fin de l'opus avec une certaine appréhension.
Il n'en demeure pas moins un témoignage d'un talent déjà bien affirmé !
|
|
|
|
|
|
|
Ce premier album d'OVERHEAD montre le potentiel de ce groupe, même si certaines erreurs de jeunesse en font une œuvre imparfaite. Globalement, les compositions sont agréables et fluides, et s'écoutent avec un certain plaisir, lorgnant assez régulièrement du côté de Pink Floyd. L'album contient deux "epics", un en ouverture d'album, l'autre en fermeture, plutôt bien construits et sympathiques.
Côté défauts, je reprocherais d'abord un manque d'énergie dans l'interprétation. Les deux premiers morceaux sont particulièrement mous, me donnant l'impression que le groupe jouait avec une grippe carabinée qui l'empêchait de se lâcher. Ça s'améliore un peu à partir de "Confessions of the grim reaper".
L'autre reproche, de taille celui-là, c'est le chanteur, doté d'une voix nasillarde manquant singulièrement de profondeur, de personnalité et de sensibilité, et donnant parfois envie d'arrêter l'écoute là. Ce qui serait une erreur, les passages instrumentaux étant nombreux ("Wasteland", instrumental tout en douceur, se révèle très agréable), et l'album étant finalement honorable.
|
|
|
|
|
|
|
Il est toujours intéressant de se repencher sur les premiers albums de groupe dont les qualités sont maintenant reconnues de tous. Zumanthum est comme un creuset où bouillonne toute la fougue créatrice des jeunes musiciens d'Overhead. Ils leur faudra quelques années et l'expérience de la scène pour arriver à canaliser cette fougue, mais le résultat est là aujourd'hui et on pouvait le pressentir dans ce premier opus.
|
|
|
|
|
|
|
J'adhère à 100% !! Ce n'est pas un vague clone de Genesis, les musiciens sont bourrés de talent et nous livrent une oeuvre personnelle teintée Genesis oui, mais avec une saveur particulière. J'adore !
|
|
|
|
|
|
|
Un des meilleurs albums que j'aie jamais entendu ! La musique est extrêmement belle avec de grands soli de claviers et de guitares, le tout baignant la plupart du temps dans des ambiances feutrées et de grandes atmosphères. Seul le long "The Gates of Omega" au début superbe et au grand final souffre de quelques longueurs car il s'y passe tout de même peu de chose pendant 10 minutes.
Cet album recèle des morceaux d'une beauté rare et la voix de Luca Palleschi est magnifique. Je me réjoui qu'il nous offre 100 minutes de musique. A posséder absolument !!!
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Haut de page
|
|