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Bonjour,
(Étant en désaccord total avec cette chronique, voici donc une "contre-chronique" du groupe et de cet album !)
Le fait que Tierra Santa ait fait le choix de s’exprimer dans sa langue natale ne les a pas empêchés d’être présentés un peu vite comme les « Iron Maiden espagnols ». Même si leur premier opus pouvait éventuellement faire ressortir cette influence, le groupe a rapidement trouvé au fil des albums un style personnel. Il s’agit d’un Hard-Rock mélodique vitaminé au son immédiatement reconnaissable, signe d’un grand.
Vous découvrirez un chanteur-guitariste à la voix fabuleuse en la personne de Ángel San Juan accompagné par un excellent guitariste Arturo Morras remplacé en 2016 par le non moins excellent Dan Diez. Coté rythmique ça cogne dur avec Roberto le fidèle bassiste présent depuis le début et le batteur David Carrica depuis 2006. La musique du groupe est portée par un clavier discret mais efficace qui met en relief le coté mélodique.
Le groupe vient de sortir en 2022 un excellent 12e album intitulé "Indomable " chroniqué ici :
https://www.agoravox.tv/tribune-libre/article/dndr-06-dernieres-nouvelles-du-94574
Pour ce qui concerne l'album "Mejor Morir En Pie", vous découvrirez en premier le titre éponyme, un véritable hit en puissance qui ne vous lâchera plus dès la première écoute. Le second titre continue dans la même qualité avec le chant en espagnol que je trouve particulièrement adapté à ce style plus proche du Hard Rock mélodique que du Métal. Il personnalise parfaitement l'origine hispanique du combo en sortant du chant stéréotypé en anglais qui gomme la localisation des musiciens.
Nous n'allons pas lister tous les excellents morceaux de cet opus, citons cependant l'excellent "Hoy Vivo por Ti", un autre moreau exceptionnel.
En synthèse, un très grand album de Hard Rock mélodique sans aucun déchet à consommer sans modération. Sachez aussi que (comme moi) vous écouterez ce disque durant de nombreuses années car on ne se lasse jamais de la musique ce ce groupe exceptionnel !
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Découvrir cet album 25 ans après sa sortie perturbe nécessairement l'effet que l'opus aurait dû avoir sur moi à l'époque. Je suis donc en accord avec la chronique de mon ex-collègue, mais je ne retiendrai toutefois aujourd'hui que trois morceaux sur cet album. Le reste sonnant vraiment aujourd'hui insipidement. Mais quoiqu'il en soit, Da Vinci n'arrivait pas à la cheville d'Europe, ça c'est acquis.
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Entièrement en accord avec cette chronique, c'est souvent insipide et en plus desservi par le son. Le frontman s'en sort plutôt bien et seul trois titres surnagent comme 'Only One I Need' effectivement, mais encore 'Anything At All' et 'Tell Me'. Les américains ne s'en remettront d'ailleurs pas puisque cet opus n'a pas eu de petits frères depuis 2006.
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Un album vraiment excellent et je ne pourrais aller au delà de ce que Lolo a pu décrire.
Un disque nécessaire tout simplement.
Du bel œuvre.
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Dare c'est cool.
Le Père Wharton et sa bande n'ont pas leur pareil pour distiller des mélodies calmes, lumineuses et teintées de folklore. Voilà du bien bel ouvrage.
Oui mais Dare c'est un peu trop cool.
Pour l'ancien compère de Phil Lynott, et sans qu'il lui soit proposé de nous refaire le coup (métallique) de son second album, il serait, pour ma part, intéressant qu'il hardifie un tantinet ses propos. Juste histoire de nous montrer qu'il sait encore ce qu'Hard Rock signifie.
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Comme tout le monde le sait, étant un grand amateur du style présenté, mon avis et la note qui va avec n'aura que très peu d'intérêt pour les amateurs du genre dont fait bien entendu partie notre chroniqueur adoré du genre, j'ai nommé Lolo !
Tout ça pour dire que personnellement, cet album ne présente qu'UN seul intérêt qui s'avère être de taille : la présence de Mattias Eklundh dont le talent explosera au grand jour au sein de son combo Freak Kitchen. Le futur "IA" marque de son empreinte, son unique et bref passage dans ce groupe d'AOR, en apportant une coloration qui lui est propre. A cet égard, au même titre qu'un Steve Vai, chez Mattias rien se perd et tout se recycle ; les fans de Freak Kitchen et autre Freak Guitar comprendront cette parenthèse à l'écoute d'un "The Whalesong"...
En bref, un album d'AOR qui de primes abords n'apporte rien de nouveau avec son chant typique somme toute assez limité et ses choeurs au moment des refrains qui peuvent faire sourire et qui ne vaut que pour les interventions de Mattias Eklundh.
A cet égard et toute proportion gardée, la prestation de ce dernier est assez comparable à celle de Steve Vai justement dans le triste "Slip Of The Tongue" de Whitesnake qui ne vaut que pour les interventions guitaristiques de ce dernier !
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