|
|
|
Un album qui annonce un tournant, le groupe adopte un son plus jazz rock. La voix bêlante de Bernardo Lanzetti n'est pas un problème et elle sait parfois se montrer ensorcelante (surtout sur 'Traveler').
|
|
|
|
|
|
|
2 triples live dans mon adolescence: "Yessongs" et celui-ci. Et le meilleur est...
|
|
|
|
|
|
|
Souvenirs souvenirs.... Je l'ai acheté parce qu'il était imposant et qu'à l'époque, le triple vinyle c'était le truc qui en jette par excellence... Pour les petits jeunes de 2010, un rappel : à l'époque, y pas de téléphones portables, pas d'ordinateurs, évidemment pas Internet, pas de consoles de jeux, même la TV couleur est encore jeune.... Chirac est premier ministre...et l'ORTF existe encore avec 3 chaines.... Quand je vous dis "tout une époque".... Et pourtant il y a avait la musique.... Et quelle musique... A croire que depuis la nuit des temps la musique a précédé le progrès, tout en utilisant les dernières technologies pour s'en inspirer.... Et ELP (désolé, je m'étale...) c'est ça... la technologie (de l'époque) au service de la musique. Une grande claque derrière les oreilles, un déferlement, que dis-je un ouragan qui vous propulse au 7ème ciel. Bien sûr, Keith E. se laisse parfois emporter dans ses solis, certaines plages tranquilles sont dues à un Greg L. qui frise la guimauve, mais bon, quand on aime, on pardonne tout ou presque... Tarkus, c'est un monument génial, Karn Evil 9 me fait grimper aux rideaux, quant aux trois morceaux qui ouvrent cet opus.... j'adore.... Bon, vous l'aurez compris, d'un achat sans réelles convictions je suis devenu un véritable addict de ce groupe. Malheureusement la production qui a suivi était bien en deçà des débuts, je continue donc à user mes vieilles galettes du début des seventies.
|
|
|
|
|
|
|
De toutes les tentatives de retour d"ELP", celle là me semble la plus intéressante. Les compères n'ont rien perdu de leur fougue, l'ensemble est bien plaisant, l'illusion des grandes années est là... Bien sûr rien de nouveau là-dedans, mais pourquoi se priver d'un "Roméo et Juliette" de toute beauté.
|
|
|
|
|
|
|
Moi aussi vers 1973-74 (ma mémoire me joue des tours), je découvris, grâce à Rock&Folk (eh oui, les temps changent et les journaux aussi), cette merveille !
Pourquoi 8 et pas 9, comme tout le monde, car j'ai depuis découvert les deux originaux italiens qui eux culminent à 10.
Cet album fut pour beaucoup le coup de coeur qui nous permit de découvrir PFM. Maintenant si vous ne les connaissez pas encore, précipitez-vous sur les originaux italiens, c'est à dire tous leurs albums jusqu'à Jet Lag. Si vous avez encore un peu de place, gardez-là pour le dernier "Dracula" qui vaut aussi son pesant de 9 !
Benoît
|
|
|
|
|
|
|
Je suis un grand fan de cet album ! Malgré un passage à vide (atonal) au milieu de "Il Banchetto", "Photos of Ghosts" est un bijou poétique, un des disques (vinyle à l'époque) qui m'a fait découvrir les ruptures du prog (l'intro de "River of Life", morceau d'ouverture, est un exemple parfait de transition plus que réussie entre néo-classique et prog symphonique, suivi d'un refrain d'une amplitude belle à pleurer), la richesse des compositions dont aucune n'est à mettre de côté. A n'ignorer sous aucun prétexte !
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Haut de page
|
|