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Alors cet album il est un peu particulier pour moi... Je l'ai ressorti du grenier de ma mamie (plein de poussière...). Je l'ai écouté une fois, je n'ai pas aimé à la première écoute et je l'ai rangé dans mon bac à vinyle pendant un bon moment.
Ce n'est que quelques mois ( voire années) plus tard que je me suis décidé à le réécouter et honnêtement il m'a beaucoup plus. Alors même si cet album est un peu inégal, il possède quelque chose que je n'arrive pas à pointer, cibler mais que j'adore!!
Depuis ce moment, écoute après écoute j'aime de plus en plus cet album d'un groupe que j'affectionne énormément: SCORPIONS!!
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Je ne comprends pas pourquoi cet album est fréquemment vilipendé ou tout simplement ignoré, car Diamond Dogs est formidable et plus réussi que les bâclés Aladdin Sane et Pinups par exemple !
L'introduction "Future Legend" nous plonge directement dans une ambiance post-apocalyptique et le final "Chant of the Ever Circling Skeletal Family" se termine en points de suspension sur les "bro-bro-bro-bro-bro-bro-bro........." inquiétants des disciples de Big Brother.
Entre les deux, "Diamond Dogs" et "Rebel Rebel" sont deux bons rock Stoniens, "Rock 'n' Roll with Me" est une belle ballade rock assez classique alors que le funk de "1984" anticipe Young Americans.
Le triptyque "Sweet Thing"/"Candidate"/"Sweet Thing (Reprise)" est l'un des plus beaux morceaux de l'oeuvre de David Bowie, tout comme "We Are the Dead" qui est l'une de ses perles oubliée et "Big Brother" est autant majestueux dans sa musique que sinistre dans ses paroles.
Diamond Dogs est l'un des albums les plus importants de Bowie mais peu de gens le savent.
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Ayant découvert la discographie de Bowie à l’envers, et de manière totalement anarchique ("Young Americans" est l’un des albums que j’ai découverts en dernier), je suis moins amené à analyser ses égarements stylistiques ou ses penchants épisodiques pour telle ou telle influence, à l’aune de sa personnalité artistique originelle. Il est vrai qu’après les étapes d’un "Hunky Dory", "Ziggy Stardust" ou "Aladdin Sane", on peut se questionner sur la raison d’être de "Young Americans". Bowie semble de nouveau se chercher (ou s’égarer), non seulement du côté des Beatles, mais aussi du côté de Roxy Music ('Fascination', avec ses choeurs féminins et sa tonalité de festivité équivoque, est très proche de ce que l’équipage Ferry produisait à cette époque). Pourtant, si j’ai toujours eu du mal à voir en David Bowie un dépositaire du rock façon seventies, je me dis qu’il aurait pu évoluer avec talent, peut-être, vers le soul ou le funk rock.
"Young Americans" n’est pas une franche réussite dans le genre, mais je ne trouve pas que Bowie y abandonne son âme. L’album s’écoute plutôt bien, aujourd’hui encore.
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Tout simplement inaudible, à moins d'un snobisme que certains adeptes de musique contemporaine pourraient mettre en avant pour se pâmer devant ce grand n'importe quoi.
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Un bien bel album malgré quelques longueurs. Et ce premier titre ('So Long Ago, So Clear') avec Jon Anderson est tout bonnement magique.
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La belle Lita Ford était le sex-symbol féminin absolu des années 80 et du début des 90’s (avec Doro bien sur !). Alors, j’ai choisi de faire revivre aux plus vieux d’entre-vous, le bon vieux temps où Lita vous faisait fantasmer. Et pour les plus jeunes, c’est une bonne occasion de découvrir cette artiste.
A la fin des années 70, THE RUNAWAYS (le film du même nom est d’ailleurs sorti en France en septembre 2010), un groupe Punk se sépare et deux des membres vont se lancer dans une carrière solo. La première, Joan Jett, connaît un succès fulgurant avec son méga tube « I Love Rock’n’Roll »... ce qui sera, malheureusement, un peu tout ce qu’on retiendra d’elle. La seconde, Lita Ford, va mettre plus de temps à s’imposer. Au début des années 80, elle sort deux albums qui ne connaissent pas un succès démesuré (« Out For Blood » et « Dancin’ On The Edge »), sans doute des albums un peu trop agressifs. Alors, en 1988, la belle blonde change son fusil d’épaule et sort un album sobrement intitulé « Lita », plus soft, qui va la faire véritablement exploser aux USA, avec ce Hard Rock accrocheur, à tendance FM. Sur cet album figurent deux hits : « Kiss Me Deadly », un morceau typique des années 80, avec un synthé et un rythme propre à cartonner sur les radios US ; et « Close My Eyes Forever », une ballade splendide écrite et chantée en duo avec Ozzy Osbourne. Il y a aussi Lemmy Kilmister (MOTORHEAD) et Nikki Sixx (MOTLEY CRUE) qui ont co-écrit chacun une chanson. « Can’t Catch Me » du père Lemmy est d’ailleurs un autre moment fort de « Lita », assurément le titre le plus rentre-dedans !
Deux ans plus tard, notre Lita nous revient avec ce « Stiletto » et, une fois encore, elle change son fusil d’épaule. Enfin, niveau musique, pas trop, mais, cette fois, pas de compositeurs extérieurs stars comme sur le précédent. Ca commence fort avec « Your Wake Up Call », une intro instrumentale Heavy, qui nous réveille en beauté et on enchaîne sur « Hungry » qui sera le principal single de cette galette. Ce titre est vraiment excellent, ainsi que le clip. D’ailleurs, celui-ci a fait un petit scandale à sa sortie avec un petit chaperon rouge coquin. Je vous laisse découvrir par vous même de quoi elle a faim, la petite coquine... héhéhé... c’est pas ça qui va calmer les ardeurs de ses fans masculins ! On peut noter quand même que sur ce « Hungry », on retrouve des cuivres, chose inhabituelle chez LITA FORD. Le morceau suivant, « Dedication », avec son gros riff et ses chœurs pourrait être une musique lors d’un show de chippendales. Excellent ! Je ne vais pas vous détailler chaque titre, sachez juste que pour moi, cet album est le plus homogène de LITA FORD, le moins inégal, voilà pourquoi je l’ai choisi, alors que pour beaucoup, cet album est en dessous du monument « Lita ». J’adore « Lita », mais je trouve qu’à part les chansons que j’ai citées plus haut, les autres sont franchement inférieures. Pour en revenir à « Stiletto », on retrouve une émouvante ballade (« Lisa ») qui est presque aussi splendide que « Close My Eyes Forever » et une reprise d’ALICE COOPER (« Only Women Bleed »). Lita s’en sort plus qu’avec les honneurs avec ce classique, une franche réussite ! Enfin, je vous parlerai pour conclure de « The Ripper », titre franchement génial, rapide, avec à la fin, un long solo de guitare, explosif comme je les aime.
Malheureusement, cet album ne connaîtra pas le même succès que « Lita » et seulement un an plus tard, sort « Dangerous Curves », également un très bon album où on retrouve de nouveau un titre écrit par des stars (« Little Too Early » écrit par Joe Lynn Turner, Ritchie Blackmore et Al Pitrelli), un nouveau hit (« Shot Of Poison ») et des tas de super chansons. Mais voilà, la tornade Grunge arrive déjà et en 1994 sort « Black » qui passe totalement inaperçu... et de toute façon, il est vraiment pas terrible. Lita disparaîtra ensuite de nombreuses années avant de resurgir en 2009 en mode cougar avec le très critiqué « Wicked Wonderland ».
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