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Avis très mitigé sur cet album : Magenta, c’est le Disney du prog : tout y est propret, "Masters of Illusion" est disposé comme le jardin des Sept Nains, il y a Blanche Neige qui chante, l’agencement est très pro et remarquablement réalisé mais terriblement prévisible. Le jardin manque d’épines, tout y est lisse, pas d’aspérités, pas de synthé hirsute ou de guitare menaçante pour dynamiser un paysage qui finit par être monotone. On peut être charmé, difficile d’être fasciné tant le propos est lénifiant.
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Désolé Corto, mais en écrivant "Ce disque est simplement beau", Darialys a tout dit. Magenta s'était perdu ces derniers temps dans des contrées plus rock, avec ce Masters of Illusion, ils reviennent à des titres merveilleusement mélodieux et nous délivrent tout simplement leur meilleur opus. Un album à écouter en boucle.
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Je vais jouer les vilains petits canards au sein du concert de louanges émanant de la rédaction de Music Waves mais cet album représente tout ce que je n’aime pas trouver dans un disque de rock progressif. Certes je ne contesterai pas que ce soit bien écrit, bien joué, agréable à écouter. Alors, de quoi me plains-je ? Simplement que tout est bien trop prévisible, bien trop propre. Les breaks sont là parce qu’il faut des breaks quand on fait du progressif, les titres longs sont plus la conséquence de la juxtaposition de thèmes sans relation les uns avec les autres que d’une évolution naturelle de la trame musicale. Christina Booth chante juste mais ne me donne aucun frisson, pas plus que les musiques dont l’indéniable caractère mélodique ne me touche pas. Magenta nous livre là un album de néo-prog gentillet et prévisible qui personnellement ne m’inspire qu’un profond ennui.
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C'est mauvais du début à la fin : un chant insupportable qui sonne faux dès les premières mesures, et des compositions sans queue ni tête, avec un changement radical de style entre les deux moitiés de l'album.
A oublier avant même de l'avoir écouté.
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Une savoureuse relecture oldfieldienne, indispensable à tout amateur éclairé du maestro. Un album moins linéaire que le "Backdrop" de The Healing Road, mais paradoxalement plus prévisible, dans la mesure où variations rythmiques et mélodiques se manifestent précisément aux moments où on les attend. J'hésite à franchir le cap des 4 étoiles en raison de ce petit manque de surprise, même si Rob Reed va bien au-delà de la simple interprétation. Le son est par ailleurs fabuleux, exceptionnel pour une réalisation en one man show. Un souhait pour le suivant ? Toujours autant de Mike Oldfield... Mais avec un peu plus de Rob Reed !
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Alors que Mike Oldfield vient de toucher le fond avec son dernier opus, Rob Reed fait revivre les meilleures années du maître avec un album tout simplement fabuleux.
Les mauvaises langues pourraient hurler au plagiat, on préfère parler d'un magnifique hommage, qui nous fait revivre des moments que Mike Oldfield n'arrive plus à nous proposer depuis trop longtemps.
Rob, vite, un autre.
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