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Bon, avouons déjà que la pochette a un certain cachet, et que cela incite à écouter cet album avec ardor ... pardon, ardeur. Ceci mis à part, Opium Cartel délivre une pop douce, qui manque singulièrement de caractère. Le titre d'ouverture, déjà, pourtant l'un des plus réussis avec son jeu de percussions, traîne en longueur et laisse songeur sur l'orientation musicale choisie. Les titres s'enchaînent ensuite, sans soulever l'enthousiasme. Seul Then Came the last days of may, avec une intro à la guitare électrique son clair, permet de relever un sourcil. En revanche, le saxophone torturé de Mariner m'a semblé, au contraire de Tonyb, aussi interminable qu'insupportable. Comme quoi, les goûts et les couleurs.
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La production est excellente ! Dommage que l'approche mélodique soit moyennement accrocheuse, parfois un peu trop alambiquée. Une mention spéciale pour 'Snowswept', modulant et entremêlant avec habileté la productivité de son impact harmonique immédiat à la complexité de sa narration rythmique.
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Album exceptionnel qui exhibe une nouvelle fois le talent et la versatilité de la scène norvégienne, enterrée plus d'une fois par le passé et qui propose toutefois régulièrement des albums de haut, voire de très haut niveau, comme celui-ci. Un black metal riche, progressif dans l'âme, gravement déjanté tout en demeurant d'une noirceur ne laissant aucun doute quant à son appartenance au genre précédemment cité...
Une très belle surprise qu'il serait regrettable de refuser !
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