|
|
|
Merci à Childeric d'avoir attiré mon attention sur ce groupe qui m'était inconnu, et sur cet album en particulier.
C'est beau, envoûtant, magnifique, mais aussi terriblement long.
'Embers' est une merveille qui vient clôturer de façon magistrale 72 minutes quelque peu inégales : une entame splendide, une fin extraordinaire, mais aussi un ventre mou qui finit par détourner l'attention de l'essentiel.
A rapprocher de la collaboration entre Lisa Gerrard et Klaus Schulze, dans un style certes un peu moins éthéré mais tout aussi hypnotisant.
|
|
|
|
|
|
|
Le premier passage m'a laissé assez dubitatif. Et puis, une écoute plus attentive, entre deux lourdes rythmiques de percussions un peu désincarnées, ou deux féroces vocalises d'outre-tombe, laisse enfin comprendre qu'il se passe réellement quelque chose. C'est assez difficile à expliquer, mais il y a croisement improbable entre sonorité caverneuse et spiritualité atmosphérique (ou même l'inverse, c'est selon). Vous n'êtes pas initié à ce genre étrange, que l'on appelle Doom ? Je ne le suis pas davantage. Mais vous serez peut-être récompensé d'un effort d'approche, avec ce "Frail".
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Haut de page
|
|