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Ce double album est une pure merveille, qui s'adresse à tous ceux qui apprécient juste la belle musique. Quelle qualité de composition, quelle richesse dans l'instrumentation, quelle variété dans les voix ! Il y en a pour tous les goûts. Vous pouvez y aller les yeux fermés, car passer outre cette offrande - car s'en est une - serait un véritable crime !
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Cet album navigue sans conteste dans les mêmes eaux que Toto ou Asia, égrenant des mélodies easy listening sympathiques et dynamiques. Les compositions, à défaut d’être originales, sont agréables à écouter et l’interprétation est de qualité. Mais, car il y a un mais, rien ne vient démarquer ce disque de la concurrence. Un peu trop lisse et déjà entendu, un album qui s’écoute agréablement et s’oublie tout aussi facilement.
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Voilà un album qui correspond exactement à ce que j’attends d’un album de rock progressif : mélange de différents styles musicaux et mélodies ciselées et aventureuses constituent un mélange harmonieux et plaisant à écouter, que je ne trouve pas hermétique pour ma part.
Alors certes, il n’y a peut-être pas de "highlights", encore que les quatre mouvements de ’Perelandra´ soient un temps fort de l’album, même s’ils tiennent plus de la musique classique que du rock, mais "Zeitgeist" n’a pas non plus de ventre mou. Et, malgré le contexte sombre lié à l’état de santé de Frank Wyatt, l’album dégage une sérénité fort agréable.
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Batteur manquant de présence, compositions inégales, production plus que moyenne (leur son est le meme depuis le debut, pas pro ... il serait bien de penser a passer par un vrai studio apres 4 album :) ... bref, je me lasse de plus en plus de ce groupe qui pourtant a plus que les capacités de faire un truc sympa.
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Certes, découvrir ELP via ce live serait une grossière erreur tant la batterie virevoltante de Carl Palmer, absente sur cet album, fait partie intégrante du trio. Néanmoins, ce disque reste une relecture acoustique non dénuée de charme qui pourra plaire aux fans curieux de découvrir une autre interprétation de ces quelques titres-phares.
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Alan Simon est un artiste précieux mais ce best-of ne lui rend guère hommage. Dans best-of, on entend le meilleur de. Et Alan Simon peut se targuer d´avoir oeuvré dans presque tous les genres de manière réfléchie et continue. Mais avec ces deux disques dépassant les 2 heures d´écoute, l´auditeur va devoir se préparer à un marathon (que c´est indigne que de sauter les pistes!). En outre, il semblerait que l´excellent (´On The Road´ avec le non moins excellent Justin Hayward) cotoie l´anecdotique voire le risible (´Peace On Earth´, ´Where Is The Way´) comme si on avait voulu appater le chaland en pointant du doight l´ecclectisme de l´artiste. Compartimenter l´oeuvre de cet artiste consiste à prendre des pages de Victor Hugo (et pas les meilleures), à tout secouer et a former une nouvelle oeuvre. Cet indigeste pavé ne doit vraiment etre réservé qu´aux fans les plus extremistes (et encore ils connaissent pratiquement déjà tout), les néophytes feraient bien mieux d´écouter ´´Excalibur´´.
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