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Autant j'avais accroché au premier opus, autant la suite m'a moins emballé. Ce petit dernier s'écoute tranquillement, au bureau par exemple où vous n'avez pas à craindre qu'il accaparera votre attention en pleine écriture d'un compte-rendu de réunion. Ca sent le vécu ? Hé bien oui.
Pop doucereuse, le terme est bien choisi l'ami.
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Un album agréable et décevant à la fois. Le passage à la Pop est a présent assumé et l' illustre invité ne participe plus à la composition. Les mélodies sont plutôt sympathiques mais la durée globale de l'album (environ 30 minutes) est pour moi rédhibitoire. Bref du ni ni ... Ni bon, Ni mauvais, Ni fait, Ni à faire et surtout largement dispensable.
Un peu plus de travail, quelques titres supplémentaires et mon jugement aurait été moins sévère.
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Question : si Steven Wilson n'était pas de l'aventure, ce groupe aurait-il autant de buzz autour de lui ? Ce quatrième album est mou du genou, à peine sauvé par des arrangements bien orchestrés. Quant à sa durée (31 minutes) ! Avis aux acheteurs qui s'apprêtent à débourser 15 €.
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Décidément, ce groupe ne cesse de me décevoir depuis leur troisième album. Cela peut peut-être faire illusion auprès de ceux qui cherchent des sensations "pop" mais il existe des tas de groupes du même tonneau dans le milieu de l'indie-rock et qui sont surtout bien plus intéressants (et pourtant, il y avait du potentiel : Brett Anderson , Jonathan Donahue...)
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Ce nouvel album de Blackfield est doucereux ... ce n'est pas un gros mot, mais ce n'est pas une qualificatif glorieux pour de la musique !
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