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C'est le 2ème album que j'ai découvert dans la discographie, après "When Age has done its Duty". Assez réservé à la première écoute (les saillies hard rock dont Robin Amstrong a pris l'habitude de parsemer sa composition ont tendance, en surface, à me rebuter), ma stupéfaction est allée grandissante lorsque je me suis aperçu que le curseur de l'addiction ne cessait de grimper, au fur et à mesure que ce "Capacitor" entrait dans mon oreille. A tel point qu'il m'est actuellement très difficile de passer à autre chose à la fin de la boucle, si ce n'est me rabattre sur un autre album estampillé Cosmograf. J'ai une grande admiration pour les artistes dont l'oeuvre me passionne, sans que je parvienne à en décrypter le mécanisme ; et j'ai compris que le fondateur de Cosmograf avait intégré ce cercle restreint, aussitôt sous l'influence de "Capacitor". A partir de là, pas question de passer à côté du reste de la discographie...
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J’ai découvert Cosmograf tout à fait pas hasard il y a environ 2 ans .
Cette trouvaille m’avait permis de découvrir « When Age Has Done its Duty » .La perception de l’album était vraiment incroyable et traitait d’un sujet qui nous concerne tous , l’effet du vieillissement sur le corps humain .
Je n’ai pas été capable de résister au besoin de me procurer l’album suivant , soit « The Man Left in Space » , je le trouvais une petite coche sous WAHDID , mais il valait largement la peine d’être acheté pour ensuite être savouré .
Un peu plus d’un an après , « Capacitor » faisait son entrée dans le marché .
Ayant vraiment « trippé » sur les deux précédents , je pouvais pas renoncé à l’acheter .
Grande déception lors de l’écoute .
Autant je trouvais que WAHDID et TMLIS étaient différent l’un de l’autre , Capacitor ressemble comme un frère jumeau à TMLIS .
Néanmoins , il demeure un très bon album , mais il n’a pas réussi à me faire vibrer autant que ses prédécesseurs . Il mérite tout de même un 3,8 , une petite coche sous les 4 étoiles .
Mais si j’avais une suggestion à faire pour ceux qui ne connaisse pas du tout Cosmograf , ne pas hésiter à découvrir ce groupe , il en vaut grandement la peine .
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Robin Armstrong réussit encore son coup, et si on peut penser à Anathema notamment, je préfère Cosmograf à Anathema car moins "pesamment" atmosphérique que son confrère. Après la mise en bouche du premier titre, je décolle littéralement sur le second: The fear created, qui me fait irresistiblement penser au grand dirigeable (Kashmir). J'adore!!
Ensuite, The reaper's song est calme, mais magnifique!
The drover, continue dans un registre apaisé, avec parfois des accents yessiens dans les vocaux. Joli!
White car atteint presque les 10 minutes: intro avec une voix trafiquée qui prend les intonations (de loin mais bon) de Mr Waters. La guitare ensuite nous rappelle Mr Gilmour David. Je plane sévère.
Le piano, doux mélancolique habille tout cela, puis brutalement les guitares s'énervent pour nous rappeler aux bons soins de Mr Wilson. Puis le morceau se calme à nouveau avec le retour de la guitare aux accents Floydiens en diable. Redécollage stratosphérique. Puis final un peu plus musclé.
Le plus long titre de cet album et un des meilleurs assurément.
The ghost gets made: un début qui me rappelle furieusement un morceau de la BO de Dune de Toto (BO que j'adore). Ca commence donc très fort pour moi, ensuite ça se muscle rapidement. Entre nous, la voix de Mr Armstrong me rappelle quelque part celle du vocaliste de BJH. Le tempo est relativement calme ensuite car l'ambiance se teinte d'ambiance à la WYWH (l'album de qui vous savez), pour ensuite repartir d'une manière un peu plus musclée, pour ensuite reprendre une teinte très WYWH (je ne peux m'empêcher de penser à welcome to the machine).
On finit par Stuck in the wood, début samplé, guitare aérienne en diable, tempo lent, voix majestueuse, claviers rappelant une fois de plus un certain Mr Wright comme sur le morceau précédent. Le lent tempo a des accents bluesy. Gazouillis de la guitare, phrasés gilmouriens, ça plane à 10 000 mètres d'altitude. Final quelque peu crimsonien avec une guitare volubile. Et the end, on applaudit un grand album. J'ai mis au départ 4 étoiles, car je bute un peu sur la voix, mais au final j'en ai mis 5, pour l'ensemble, remarquablement mélodique, inspiré. Un grand album.
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Une fois de plus, Robin Amstrong a réussi son pari : maintenir la qualité de ses compositions et l'accompagner d'une production sans faille. Les intervenants magnifient l'ensemble des titres et la mayonnaise prend plus qu'on ne pourrait l'espérer. Du beau, du très beau travail...Du niveau de WAHDID... Sincérement
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