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Un album très mélodieux, qui développe des harmonies classieuses. On peut lui reprocher certes un certain manque de caractère, mais personnellement, je préfère une musique que je prends plaisir à écouter que des expérimentations attirant les louanges mais qui me laissent de marbre. Bruce Soord exite à côté d'un Steven Wilson ou d'un Rob Reed, et c'est tant mieux !
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Je serai donc le seul à émettre un petit couac dans ce concert de louanges mais, si je reconnais volontiers que les musiciens jouent bien leur partition, je ne trouve que peu d'intérêt à la musique interprétée ici, manquant trop de caractère et d'âme. Bref, Pineapple Thief fait du Pineapple Thief : si vous aimez ce groupe, vous ne devriez pas être déçus, sinon, comme moi, vous vous ennuierez profondément à l'écoute d'un disque un peu fade.
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Très agréable. Pour être franc, je n’entends pas vraiment le côté progressif dans la musique de Pineapple Thief. Plutôt des titres à consonance atmosphérique avec des parties instrumentales plus longues que les morceaux mainstream, mais qui ne s’évadent guère du thème de départ. Nous sommes plutôt dans une mouvance anathémienne, seulement voilà : Bruce Soord n’a pas le timbre exceptionnel de Vincent Cavanagh, et ne possède pas non plus le même talent pour faire monter les ambiances. "Your Wilderness" doit surtout sa valeur à la qualité des arrangements, extrêmement soignés, avec notamment un travail de batterie d’une rare finesse.
Au fait, c’est qui à la batterie ? Ah, ouais, j’aurais dû m’en douter : Monsieur Gavin Harrison. Bien sûr. Quel prodigieux musicien ! "Your Wilderness" lui doit sa quatrième étoile : rien que pour lui, album recommandé.
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