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Premier volet d’une nouvelle saga clôturée avec « Passion », plus métalo-progressive que néo-progressive, « Believe » surprend à plus d’un titre. Il agrège différents styles sous une même bannière rock, et il s’agit là d’une réelle rupture dans la discographie. Il surprend aussi parce que jusqu’à 'Wishing Well', la musique ne décolle pas vraiment, elle semble hésiter, mais en même temps ruser pour nous emmener vers un endroit secret. Et puis, c’est la révélation du 'Wishing Well Part II - Sou' by Sou'west', avec son refrain en oracle ravageur qui semble décrypter l’univers d’un seul coup, un moment de plénitude qui illumine littéralement le reste de l’album. Un tour de force, que l’on ne constate que très rarement (je pense aussi au vrai faux mauvais album de Marillion, « Radiation », avec son inaltérable 'A Few Words for the Dead').
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Bou Diou ! Que ce Pendragon là est bon !
L'intro de Wishing Well ainsi que l'ensemble des titres provoquent émotion et autres sentiments qui font que cet album est particulier dans la disco du combo. D'ailleurs, à lire les différents avis il provoque moult réactions toutes plus justifiées les unes que les autres.
Pour moi un des sommets du bébé de Nick Barrett.
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Disons seulement que Believe m'a donné le goût de réécouter du Pendragon. Car, il faut bien l'admettre cet album a quelque chose de particulier, différent de Not of this World et en même temps similaire à celui-ci. Je ne peux que recommander l'achat de Believe. 7.5
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La perfection n'étant pas de ce monde, je me suis arrêté sur la note de 9. Il n'y a en effet que du bon, du très bon dans cet album de Pendragon. Que l'attente fut longue, mais pour quel résultat !
Une intro atmosphérique très réussie, portée par une splendide voix féminine enchaînée par un "solo" de talk box (déjà utilisé par Pink Floyd sur Division Bell). 'And now everybody to the dance floor' pour le second titre "No place for the innocent", qui débute par un riff assassin avant de poursuivre sur un tempo élevé. Une mention spéciale également pour les paroles, basées sur les fausses croyances jamais remises en cause. "Wisdom of Solomon" suit, qui propose en apéritif 2 soli pour le prix d'un, électrique Gilmourien puis acoustique (superbe, quel touché !). La pièce centrale s"The wishing well" 'étale sur près de 18 minutes et s'articule autour de 4 morceaux ; une intro quasi parlée, plaquée sur des nappes de clavier, un mid tempo au refrain accrocheur qui s'achève par un solo de guitare classique, "we talked", excellent titre emmené par la rythmique sans faille de Fudge Smith avant de s'achever par "Two roads" (peut être le titre le moins intéressant de l'album). L'avant dernier morceau "Learning curve" est mon titre préféré.
Tout y est, atmosphère, changement de rythme, solo. "The edge of the world" conclut l'album en douceur, avec un Barrett au sommet de sa forme sur un long instrumentel tout en finesse. A acheter les yeux fermés, donc.
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La musique de "Pengragon" est désormais teintée de New Age commerciale ( vous souvenez vous des chants grégoriens de "Enigma" ? ... On est pas loin ). Tout cela n'est pas pour me faire changer d'avis sur ce groupe dont les compositions n'arrivent toujours pas à me séduire.
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Je ne suis pourtant pas un fan de Pendragon mais cet album passe trés bien, et pour une fois, je dirais même que le groupe innove un peu (il ne nous avait pas habitué à cela). Est-ce le goût de Nick Barret pour le sample ? Le fait qu'il est pris son temps pour composer l'album ? Toujours est-il qu'entre surprises et retrouvailles, je pense que Pendragon a trouvé le juste milieu. Un bel album de rentrée.
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